Henri Guaino n'a trouvé "aucun candidat convaincant" lors du premier débat de la primaire à droite jeudi soir. Et a défendu sa candidature à l'élection présidentielle, "contre le régime des partis".
page-nosarticles.php
Nos articles
Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes a fustigé le ralliement de l'UDI derrière Alain Juppé, faisant valoir que "certains ont des convictions comme boussole, d'autres ont l'air du temps".
Le sénateur-maire Front national de Fréjus, David Rachline, a tenu à rappeler la ratification, par Nicolas Sarkozy, du traité de Lisbonne, après le non au référendum de 2005, en référence à la promesse de l'ancien président de la République d'organiser deux référendums s'il est élu.
Le maire de Bordeaux l'emporterait avec 56 % des voix en cas de duel avec Nicolas Sarkozy, parmi les sympathisants Les Républicains. Un chiffre qui monte même à 72 % parmi l'ensemble de la population française, d'après le dernier tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match.
Le vice-président de l'UDI Louis Giscard d'Estaing a jugé "irréalisable" la promesse de Nicolas Sarkozy d'organiser deux référendums s'il est élu et a soutenu Alain Juppé, "homme d'expérience et de dialogue" en vue de la primaire de la droite.
Pour lutter contre le terrorisme, le député de la Haute-Marne et président du conseil national des Républicains a appelé à une "unité sans faille", jugeant qu'actuellement, "c'est l'urgence partout, mais il n'y a pas beaucoup d'Etat".
La sénatrice UDI de Paris, Chantal Jouanno, si elle reconnait des bienfaits au non-cumul des mandats, a tenu à alerter sur la question du statut de l'élu et l'avenir des politiques une fois leur carrière publique terminée.
La sénatrice UDI de Paris a rappelé qu’elle n’a pas pris position pour un candidat de la primaire de la droite et se tiendra à la prise de position du parti. Un parti qui, confie-t-elle, aura bien du mal à suivre Nicolas Sarkozy si celui-ci l’emporte.
François Kalfon, conseiller régional d'Ile-de-France et directeur de campagne d'Arnaud Montebourg, critique "les primaires de la droite extrême" et juge que "Jean-Christophe Cambadélis se comporte en agent électoral de François Hollande".
Le ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales a laissé la porte ouverte à des négociations pour aider les départements, mais a regretté la position de certains présidents de conseils départementaux, qu'il considère plus "politicienne que politique".
Le chef de l'Etat gagne 3 points d'opinions favorables, à 21 %, dans le tableau de bord politique Ifop-Fiducial du mois de septembre pour Sud Radio et Paris Match. Il atteint son plus haut niveau depuis le mois de mars.
La secrétaire d'Etat chargée de la biodiversité, Barbara Pompili, s'est montrée critique envers son ancien parti, EELV, qui "ne fera rien gagner à l'écologie politique, mais qui pourrait faire perdre la gauche". Elle préfère apporter son soutien à François de Rugy, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, pour que "l'écologie pèse par la suite".
Le sénateur Les Républicains de l'Yonne, Jean-Baptiste Lemoyne, a fait part de son soutien pour Alain Juppé en vue des primaires de la droite, jugeant que le maire de Bordeaux "a une capacité hors paire à réunir les différentes générations".
Le député Les Républicains de l'Yonne et porte-parole des Républicains souhaite revenir à "une lecture rigoureuse de la loi de 1905".
Le sénateur de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a assuré de la sincérité du budget 2017, présenté mercredi par Michel Sapin, alors que le Haut conseil des finances publiques a douté du réalisme des objectifs fixés, notamment en termes de déficit public.
Le sénateur-maire PS de Lyon, Gérard Collomb, a défendu l'idée d'une candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle de 2017.
Alain Juppé sortirait vainqueur de la primaire à droite selon un dernier sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux devancerait Nicolas Sarkozy au premier comme au second tour, mais l'ancien président reste largement majoritaire parmi les sympathisants Les Républicains.
Après les mauvais chiffres du chômage pour le mois d'août, le président du groupe PS à l'Assemblée nationale, Bruno Le Roux, préfère parler de "phase de stabilisation" et en déduit qu'il faut "renforcer l'effort".
Le président Les Républicains de la région Pays de la Loire, Bruno Retailleau, a dénoncé la "politique de dilution de la jungle de Calais" et critiqué le déplacement du chef de l'Etat dans le Nord, ce lundi, qu'il considère n'être qu'une simple opération de communication.
Le députée européenne et maire du 7e arrondissement de Paris a défendu l'idée qu'une "nation se construit sur un récit national" et a fustigé les critiques d'Alain Juppé sur "la nullité du débat" autour des ancêtres gaulois lancé par Nicolas Sarkozy.
Le président du Sénat et sénateur des Yvelines, Gérard Larcher a appelé à "s'occuper des migrants avec humanité et objectivité". Ce qui passe, selon lui, par le démantèlement de la jungle de Calais et la renégociations des accords du Touquet avec la Grande-Bretagne.
L'enveloppe dévolue aux contrats unique d'insertion est à la baisse. Conséquence, leur nombre diminue considérablement au 2e semestre 2016. Certains centre Pôle Emploi ne les proposent même plus.
Candidate à la primaire à droite, Nathalie Kosciusko-Morizet a jugé le statut du fonctionnaire inadapté à beaucoup de fonctions, notamment s'agissant de "l'emploi à vie".
Le secrétaire général du Parti communiste et sénateur de Paris, Pierre Laurent, a appelé à "une candidature de rassemblement de la gauche", pour éviter que l'Assemblée nationale ne "ressemble au conseil régional de PACA, où la gauche a disparu".
Le député Les Républicains des Hauts-de-Seine, Thierry Solère, a critiqué la situation dans les prisons, où "il y a des portables partout" et regretté que le Gouvernement attende la fin du quinquennat pour s'attaquer au problème de la surpopulation carcérale.
Le secrétaire d'Etat chargé de la réforme territoriale et de la simplification, Jean-Vincent Placé, a reconnu un bilan mitigé de la gauche au pouvoir depuis 2012. Et fustigé les déclarations de Nicolas Sarkozy sur le réchauffement climatique.
Benoît Hamon, député PS des Yvelines et candidat à la primaire socialiste a pointé les lacunes de François Hollande à rassembler à la gauche et dénoncé l'agressivité de Manuel Valls. Pour lui, "on ne peut pas tout le temps être dans le déni en disant que c'est de la faute des autres".
Le député Les Républicains de Charente-Maritime, Dominique Bussereau, a répété sa préférence pour Alain Juppé en vue des primaires à droite et a tiré la sonnette d'alarme quant au manque de moyens des départements pour verser le RSA.
Alain Juppé est toujours en tête du tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match du mois de septembre 2016, devant François Bayrou et Jean-Pierre Raffarin. Si Emmanuel Macron bénéficie d'une popularité plus forte que François Hollande ou Nicolas Sarkozy, il serait battu en cas de duel avec le maire de Bordeaux.
Le député de l'Oise et secrétaire général des Républicains Eric Woerth a défendu la candidature de Nicolas Sarkozy aux primaires à droite, tout en attaquant François Hollande, qu'il juge "inaudible".
Le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement a lancé un appel à Emmanuel Macron pour qu'il soutienne une éventuelle candidature de François Hollande lors de la présidentielle de 2017.
La gauche absente du second tour, quelles que soient les hypothèses. C'est le résultat du sondage Ifop-Fiducial pour Lyon Capitale et Sud Radio. François Hollande, au premier tour, serait au coude à coude avec Jean-Luc Mélenchon. Emmanuel Macron ne ferait guère mieux.
Si Geoffroy Didier n'a pas obtenu les parrainages nécessaires pour se présenter à la primaire des Républicains, il assure avoir "conquis [sa] liberté". Et regrette que ce soit "plus dur de se présenter à la primaire qu'à la présidentielle".
Le député PS de Seine-et-Marne Eduardo Rihan-Cypel regrette une "hystérisation pas normale" contre la personne du président de la République et appelle François Hollande à se battre.
Jean-Christophe Lagarde, président de l'UDI, a reconnu "des points de cohérence" avec Emmanuel Macron, "mais aussi des divergences".
L'été n'a pas apaisé la défiance envers le couple exécutif. François Hollande reste stable, avec 18 % d'opinions positives, tandis que Manuel Valls gagne 2 points, à 29 %, mais reste très proche de son plus bas niveau de confiance.
Le maire de Bordeaux remporterait la primaire de la droite d'après un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match, avec 54 % des suffrages au second tour. Mais son avance sur Nicolas Sarkozy s'est grandement réduite pendant l'été.
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, député-maire de Yerres dans l'Essonne et candidat à l'élection présidentielle, a estimé qu'il n'y a "pas une démocratie au monde où un candidat, ancien président de la République, qui a triché avec ses comptes de campagne, oserait se représenter et même où la société tolèrerait qu'il se représente".
Le député de l'Yonne et porte-parole des Républicains, Guillaume Larrivé, a défendu la candidature de Nicolas Sarkozy aux primaires, prônant des mesures fortes et assurant que "la droite doit être de droite".
Brigitte Lahaie animera une émission quotidienne, de 14h à 16h, sur Sud Radio, à partir du lundi 5 septembre.
Sud Radio et 40 Millions d'automobilistes s'associent pour lancer une pétition contre la fermeture à la circulation des voies sur berge, rive droite, à Paris.
Droit de réponse. La Fondation Assistance aux Animaux nous a fait parvenir un droit de réponse suite à l'article publié sur notre site reprenant les observations et les critiques émises par la Cour des comptes. Un droit de réponse reproduit, ci-dessous, dans son intégralité.
Le procureur de la République, François Molins, a confirmé que le conducteur du camion qui a foncé sur la foule, jeudi soir à Nice, "était totalement inconnu des services de renseignement, tant au niveau national que local, et n'avait jamais fait l'objet de la moindre fiche au le moindre signalement de radicalisation".
Le président de la République s'est exprimé en début d'après-midi, quelques heures après le conseil de sécurité réuni suite à l'attentat de Nice, jeudi soir, après le feu d'artifice du 14 juillet.
Au lendemain de l'attaque terroriste sur la promenade des Anglais, à Nice, David Cormand a répété son opposition à une nouvelle prolongation de l'état d'urgence, annoncée dans la nuit par François Hollande. Le secrétaire national d'EELV, ce ne sont "pas des mesures d'exception" qui doivent être prises pour lutter contre le terrorisme.
En ce jour de fête nationale, Jean-Marie Bockel, l'ancien Secrétaire d'État à la Défense et aux anciens combattants a critiqué un budget de l'armée qui "n'est pas à la hauteur", mais a tout de même loué le travail de Jean-Yves le Drian : "Il fait un travail remarquable"
Au lendemain du meeting d'Emmanuel Macron, le député PS de la Drôme, Didier Guillaume, demande au ministre de l'Economie de "mettre du fond et d'aller vanter le bilan" de François Hollande pour "sortir de l'ambiguïté".
Le secrétaire d'Etat aux sports Thierry Braillard s'est félicité des conditions d'organisation de l'Euro, attendant des retombées économiques supérieures aux 1,2 milliard d'euros initialement prévus.
Le maire de Bordeaux reste la personnalité politique préférée des Français, selon le dernier tableau de bord politique Ifop-Fiducial pour Sud radio et Paris Match du mois de juillet. Mais son avance, notamment sur Nicolas Sarkozy, en cas de duel, se réduit.
Nathalie Kosciusko-Morizet, députée Les Républicains de l'Essonne et candidate à la primaire de la droite, évoque "les pressions" que connaissent les parlementaires pour parrainer une candidature et l'absence d'information à destination des adhérents.
Le sénateur-maire PS d'Alfortville Luc Carvounas a réagi à l'annonce de la candidature de Cécile Duflot pour l'élection présidentielle de 2017 et l'a encouragée à rejoindre la primaire de la gauche.
Le député Les Républicains de l'Oise a expliqué l'absence de motion de censure de la part de l'opposition après le nouveau recours au 49.3 par le Gouvernement sur la loi Travail, disant qu'il fallait "passer à autre chose".
Le président du MoDem et maire de Pau a regretté la décision de Manuel Valls de dégainer une nouvelle fois le 49.3 pour le deuxième passage de la loi Travail à l'Assemblée nationale, critiquant le fait qu'il n'y a "jamais eu de débat à l'Assemblée".
Le président de la République gagne 2 points de popularité dans le tableau de bord politique Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match du mois de juillet, pour remonter à 18 %. De son côté, le Premier ministre Manuel Valls perd encore un point (27 %) et atteint son plus bas niveau depuis sa prise de fonction.
Le député Les Républicains de la Drôme Hervé Mariton a indiqué qu'il votera la motion de censure si le Gouvernement a de nouveau recours au 49.3 pour la loi Travail, jugeant que le pays est "mal gouverné".
La ministre des Familles, de l'enfance et des droits des femmes est revenue sur l'amendement adopté par les députés ce week-end qui "dit que l'autorité parentale doit s'exercer dans le meilleur intérêt de l'enfant et qu'elle doit exclure aux humiliations et aux violences corporelles".
Le député PS des Hauts-de-Seine, Jean-Marc Germain, a expliqué que les dernières concessions du Gouvernement n'étaient pas encore suffisantes pour le convaincre de voter le projet de loi Travail. Tout en rejetant l'idée de voter une motion de censure en cas de nouveau recours au 49.3.
Pour le député des Yvelines et candidat à la primaire de la droite, le quinquennat de François Hollande est "le plus catastrophique de la Ve République".
La secrétaire d'Etat chargée du numérique s'est dit "inquiète par le niveau d'impréparation du Gouvernement conservateur" britannique après le résultat du référendum, la semaine dernière, sur la sortie de l'Union européenne.
Une nouvelle vidéo de l'association L214 montre des actes de maltraitance des animaux au moment de leur mise à mort dans deux abattoirs français, celui de Pézenas (Hérault) et celui du Mercantour (Alpes-Maritimes).