Au lendemain de l'annonce de la candidature de Vincent Peillon à la primaire de la gauche, Pascale Boistard, secrétaire d'Etat chargée des personnes âgées et de l'autonomie a répété son soutien à l'ancien Premier ministre, Manuel Valls, faisant valoir son expérience.
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Nos articles
L'ancien ministre et candidat à l'élection présidentielle a rejeté les demandes, notamment de Jean-Christophe Cambadélis, lui intimant de rejoindre la primaire de la gauche, leur demandant de ne pas lui "mettre sur le dos leurs divisions et leurs échecs".
Le commissaire européen et ancien ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, appelle à une primaire "de débat" et "respectueuse" entre les candidats, pour permettre le rassemblement à gauche derrière celui ou celle qui sera désigné, prônant "des gauches qui se concilient" plutôt que des "gauches irréconciliables".
Le député Nouveau Centre et président du conseil départemental du Loir-et-Cher veut "en finir avec les zig et les zag de Jean-Christophe Lagarde".
Au lendemain de sa candidature pour la primaire de la gauche, Manuel Valls est crédité de seulement 10 % des intentions de vote au premier tour de la présidentielle, d'après un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Il terminerait seulement 5e, derrière Jean-Luc Mélenchon, Emmanuel Macron, Marine Le Pen et François Fillon.
Le député européen du Front national, Florian Philippot, a placé Marine Le Pen comme "le seul rempart viable" face au "projet de casse sociale" de François Fillon, estimant que la gauche n'était "pas en mesure d'incarner une alternative".
Dans la foulée de l'annonce de son renoncement pour l'élection présidentielle de 2017, François Hollande connaît une hausse de popularité de 13 points dans le dernier tableau de bord politique Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match. Manuel Valls stagne, avec deux tiers des Français qui jugent défavorablement son action à Matignon. Alors que l'opposition, incarnée par Les Républicains, gagne en crédibilité, suite à la primaire.
Pour Arnaud Montebourg, la candidature de Manuel Valls à la primaire de la gauche, que le Premier ministre doit officialiser ce lundi soir, n'est "pas une surprise", mais prévoit des difficultés, pour "le théoricien des gauches irréconciliables", de parvenir à unir au-delà du Parti socialiste.
François Kalfon, porte-parole d'Arnaud Montebourg et conseiller régional d'Ile-de-France, a fait part de son émotion suite au discours de François Hollande annonçant qu'il ne briguerait pas un nouveau mandat présidentiel, et évoque "la pression très forte" de Manuel Valls sur le président de la République pour le contraindre à renoncer.
Gilbert Collard, député Rassemblement Bleu Marine et soutien de Marine Le Pen pour la présidentielle 2017, a réagi à l'annonce de François Hollande de ne pas briguer un second mandat en 2017.
Le président du groupe socialiste au Sénat a réagi à l'annonce de François Hollande de ne pas briguer un nouveau mandat en 2017.
Le président de Debout la France et candidat à l'élection présidentielle a réagi à l'annonce de François Hollande de renoncer à briguer un nouveau mandat présidentiel.
Quelques minutes après l'annonce de François Hollande de ne pas briguer un second mandat, les politiques ont été nombreux à réagir.
L'écologiste, candidat à la primaire de la gauche, a réagi à l'annonce de François Hollande de ne pas briguer un second mandat.
Le conseiller régional LR d'Ile-de-France Pierre-Yves Bournazel a réagi à l'annonce de François Hollande de ne pas briguer un second mandat présidentiel.
Pendant le lancement de sa candidature à la primaire organisée par le Parti socialiste, Arnaud Montebourg était interrogé par notre envoyée spéciale sur la possibilité, pour François Hollande, de se présenter à l'élection présidentielle sans passer par la case primaire. Une hypothèse qui signerait, selon Arnaud Montebourg, "la fin, la destruction finale du PS et du parti de Jean Jaurès".
Le président du conseil régional des Pays de la Loire et président du groupe Les Républicains au Sénat a assuré qu'un rapprochement entre François Bayrou et François Fillon était possible, mais sur la base du projet défendu par le vainqueur de la primaire et "sans petite tambouille dans les arrières-boutiques".
Le président de Debout la France et candidat à l'élection présidentielle a critiqué le programme de François Fillon sur son absence de dimension sociale et sa cure d'austérité, affirmant qu'on "peut gouverner autrement".
Attaqué par l'opposition, lors des questions au Gouvernement, sur ses velléités présidentielles exprimées dans le JDD dimanche dernier, Manuel Valls a assuré qu'il existe, entre lui et François Hollande, "un rapport de respect, de confiance, de loyauté et de franchise".
INFO SUD RADIO. Les nouveaux membres du bureau politique du parti Les Républicains, remanié après la victoire de François Fillon lors de la primaire de la droite et du centre, sont connus.
Le secrétaire d'Etat chargé du budget juge "dangereuse" la volonté de la droite de confier aux assureurs privés une partie de l'assurance maladie, qui "a été réformée" et dont "la survie est assurée" et observe d'ailleurs que "François Fillon recule sur ce point", depuis son élection dimanche.
Le député LR de Haute-Savoie et ancien président de l'Assemblée nationale a salué la victoire de François Fillon lors du 2e tour de la primaire de la droite et du centre et critiqué la "décadence" d'un l'exécutif tiraillé par les ambitions personnelles pour 2017.
Danielle Simonnet, coordinatrice du Parti de gauche, a réagi à la victoire de François Fillon lors de la primaire de la droite et du centre, au micro de Sud Radio
Le conseiller de Paris et soutien d'Alain Juppé a réagi à la victoire de François Fillon au micro de Sud Radio.
François Fillon a pris la parole après les résultats du second tour de la primaire de la droite et du centre, qui font de lui le candidat pour l'élection présidentielle de 2017.
Le maire de Bordeaux a prononcé son discours ce dimanche, alors que les résultats partiels donnent une très large avance pour François Fillon. Alain Juppé a félicité Fillon pour sa victoire et lui a souhaité bonne chance pour l'élection présidentielle de 2017.
La droite et le centre désignent ce dimanche soir leur candidat pour l'élection présidentielle de 2017. Un duel entre François Fillon, arrivé largement en tête du premier tour et Alain Juppé, longtemps favori mais dépassé dans la dernière ligne droite. Suivez ici les résultats et les principales réactions.
Ce dimanche, Sud Radio vous fait vivre le second tour de la primaire de la droite, avec une soirée spéciale de 19h à 1h.
Le sénatrice LR de l'Oise est revenu sur le débat de l'entre-deux tours de la primaire de la droite et du centre, jeudi soir, entre Alain Juppé et François Fillon, où elle a trouvé que ce dernier a "montré qu'il avait envie de réformer la France".
Le député LR de la Drôme est revenu sur le débat entre François Fillon et Alain Juppé de jeudi soir. Soutenant lui-même le maire de Bordeaux, il s'est montré plus critique envers les propositions de François Fillon sur les fonctionnaires.
Sud Radio diffuse ce jeudi soir le débat de l'entre-deux tours entre les deux finalistes de la primaire de la droite et du centre, François Fillon et Alain Juppé. Une soirée spéciale qui commence dès 17h et se poursuit jusque après la fin du débat.
Le président du comité d'organisation de la primaire de la droite, Thierry Solère, se félicité que cette primaire se soit "très bien passée" et qu'il n'y ait "pas de cicatrice" entre les différents candidats. Pour lui, aucun obstacle n'empêchera "la droite et le centre-droit de se rassembler dimanche soir", après le 2e tour.
Un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match donne François Fillon largement vainqueur du 2e tour de la primaire de la droite et du centre, dimanche prochain, avec 65 % des intentions de vote.
Le président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, souhaite la victoire d'Alain Juppé lors du deuxième tour de la primaire de la droite et du centre, dimanche prochain et reconnaît "des différences, des divergences" avec François Fillon.
Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a estimé que c'était "une chance" que le probable candidat désigné par la droite ait un programme "clairement identifié", qui est "l'opposé total de ce qui est mis en œuvre par le président de la République".
L'ancien ministre de la Défense, soutien de la première heure de François Fillon, a fait part de sa surprise devant l'ampleur du score réalisé par Fillon lors du premier tour de la primaire de la droite. Pour lui, son programme "plaît à l'électorat du centre et de la droite".
François Fillon est arrivé largement en tête du premier tour de la primaire de la droite et est en très bonne position pour l'emporter dimanche prochain. Il sera opposé à Alain Juppé, qui termine 2e, devant Nicolas Sarkozy, qui a annoncé à demi-mot la fin de sa carrière politique.
Arrivé tard à son QG de campagne, Jean-François Copé a reconnu que son score, 0,3 % sur 90 % des bureaux de vote, représentait une "déception".
Le maire de Bordeaux, 2e du premier tour de la primaire de la droite largement derrière François Fillon, espère "une autre surprise" dimanche prochain.

François Fillon a pris la parole, remerciant ses proches et ses concurrents qui lui apporté leur soutien. Il a aussi eu "une pensée particulière pour Nicolas Sarkozy"
La candidate de cette primaire annonce qu'elle soutiendra le maire de Bordeaux, parce qu'elle "ne court pas après les postes".
L'ancien président de la République a laissé entendre que cette défaite pourrait signifier la fin de sa carrière politique.
Crédité de moins de 3 % selon les résultats provisoires, Bruno Le Maire a apporté son soutien à François Fillon pour le 2e tour, dimanche prochain.
Le président du conseil départemental de l'Ain, Damien Abad, et soutien de Bruno Le Maire, s'est dit déçu du score provisoire de son favori.
Le conseiller LR de Paris Pierre-Yves Bournazel a défendu la candidature d'Alain Juppé, souhaitant une victoire du maire de Bordeaux qui serait le "mieux placé" pour faire gagner la droite à la présidentielle.
Soirée spéciale primaire de la droite sur Sud Radio. De 19h jusqu'à la fin de la soirée, suivez toutes les informations, résultats et réactions...
Ce dimanche, dès 19h, suivez les résultats du premier tour de la primaire de la droite et du centre, en direct sur Sud Radio et sur sudradio.fr
Jean-Frédéric Poisson, président du parti chrétien-démocrate et candidat à la primaire de la droite, a rappelé son opposition à la loi Taubira qui, selon lui, mène "tout droit vers la reconnaissance de la gestation pour autrui", indiquant qu'il était le seul, parmi les prétendants à l'investiture LR, à prôner l'abrogation pure et simple du texte.
Deux jours après la candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle, un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Lyon Capitale placerait l'ancien ministre de l'Economie en 3e position, quels que soient ses adversaires. Devant François Hollande, mais pas suffisant pour accéder au 2nd tour.
Jérôme Chartier, député du Val d'Oise et porte-parole de François Fillon pour la primaire de la droite, estime que l'ancien Premier ministre a proposé une issue au vote Sarkozy ou Juppé, qui étaient respectivement, selon lui, des votes "contre François Bayrou" ou "contre Nicolas Sarkozy".
Alors qu'Emmanuel Macron doit annoncer ce mercredi sa candidature à l'élection présidentielle, le sénateur-maire PS d'Alfortville, Luc Carvounas, estime que l'ancien ministre de l'Economie manque de fidélité alors qu'il est "un pur produit inventé par François Hollande".
Pour le secrétaire général des Républicains et député de l'Oise, Eric Woerth, la primaire de la droite et du centre, dont le premier tour a lieu dimanche, doit rassembler un maximum d'électeurs de droite et du centre-droit, mais aussi d'anciens électeurs de droite qui ont basculé vers l'extrême-droite. Selon lui, Nicolas Sarkozy est le candidat le plus à même de les séduire.
Le dernier sondage avant le premier tour de la primaire de la droite et du centre marque le recul d'Alain Juppé et confirme la remontée de François Fillon. Si Nicolas Sarkozy ne gagne pas de terrain, il entrevoit une possible première place dimanche soir, même s'il est encore largement devancé en cas de second tour avec Alain Juppé.
Le secrétaire d'Etat à l'enseignement supérieur, Thierry Mandon, a reconnu des erreurs dans le quinquennat de François Hollande, notamment la suppression des avantages pour les heures supplémentaires. Il espère que la primaire de la gauche sera l'occasion de faire un bilan.
Gérard Filoche, membre du bureau national du PS et candidat à la primaire de la gauche, souhaite rassembler autour de sa candidature et n'épargne pas Emmanuel Macron, qu'il qualifie de "stupide", ou François Hollande, qui "rendrait service à tout le monde" s'il ne briguait pas un deuxième mandat.
Le candidat à la primaire de la droite, Alain Juppé, souvent attaqué par Nicolas Sarkozy pour être soutenu par François Bayrou, assure qu'il n'a promis aucun poste au président du MoDem en échange de ce soutien. Et laisse entendre que ses rivaux à la primaire ont été plus généreux avec leurs proches.
Le vainqueur des élections présidentielles américaines a donné un discours dans lequel il s'est voulu rassembleur, après sa victoire face à Hillary Clinton.
L'ancien ministre de droite, Renaud Dutreil, soutient aujourd'hui Emmanuel Macron pour la prochaine présidentielle. Il souhaite que l'ancien ministre de l'Economie se présente et accède à l'Elysée, pour "moderniser le pays".
Pour l'ancien ministre Renaud Dutreil, Donald Trump, nouveau président des Etats-Unis, devra "négocier avec les républicains" s'il veut gouverner, ce qui sera "très difficile pour lui".
Le candidat républicain est assuré de l'emporter face à sa rivale démocrate, Hillary Clinton.