La droite et le centre désignent ce dimanche soir leur candidat pour l'élection présidentielle de 2017. Un duel entre François Fillon, arrivé largement en tête du premier tour et Alain Juppé, longtemps favori mais dépassé dans la dernière ligne droite. Suivez ici les résultats et les principales réactions.
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Ce dimanche, Sud Radio vous fait vivre le second tour de la primaire de la droite, avec une soirée spéciale de 19h à 1h.
Le sénatrice LR de l'Oise est revenu sur le débat de l'entre-deux tours de la primaire de la droite et du centre, jeudi soir, entre Alain Juppé et François Fillon, où elle a trouvé que ce dernier a "montré qu'il avait envie de réformer la France".
Le député LR de la Drôme est revenu sur le débat entre François Fillon et Alain Juppé de jeudi soir. Soutenant lui-même le maire de Bordeaux, il s'est montré plus critique envers les propositions de François Fillon sur les fonctionnaires.
Sud Radio diffuse ce jeudi soir le débat de l'entre-deux tours entre les deux finalistes de la primaire de la droite et du centre, François Fillon et Alain Juppé. Une soirée spéciale qui commence dès 17h et se poursuit jusque après la fin du débat.
Le président du comité d'organisation de la primaire de la droite, Thierry Solère, se félicité que cette primaire se soit "très bien passée" et qu'il n'y ait "pas de cicatrice" entre les différents candidats. Pour lui, aucun obstacle n'empêchera "la droite et le centre-droit de se rassembler dimanche soir", après le 2e tour.
Un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match donne François Fillon largement vainqueur du 2e tour de la primaire de la droite et du centre, dimanche prochain, avec 65 % des intentions de vote.
Le président de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde, souhaite la victoire d'Alain Juppé lors du deuxième tour de la primaire de la droite et du centre, dimanche prochain et reconnaît "des différences, des divergences" avec François Fillon.
Le président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale a estimé que c'était "une chance" que le probable candidat désigné par la droite ait un programme "clairement identifié", qui est "l'opposé total de ce qui est mis en œuvre par le président de la République".
L'ancien ministre de la Défense, soutien de la première heure de François Fillon, a fait part de sa surprise devant l'ampleur du score réalisé par Fillon lors du premier tour de la primaire de la droite. Pour lui, son programme "plaît à l'électorat du centre et de la droite".
François Fillon est arrivé largement en tête du premier tour de la primaire de la droite et est en très bonne position pour l'emporter dimanche prochain. Il sera opposé à Alain Juppé, qui termine 2e, devant Nicolas Sarkozy, qui a annoncé à demi-mot la fin de sa carrière politique.
Arrivé tard à son QG de campagne, Jean-François Copé a reconnu que son score, 0,3 % sur 90 % des bureaux de vote, représentait une "déception".
Le maire de Bordeaux, 2e du premier tour de la primaire de la droite largement derrière François Fillon, espère "une autre surprise" dimanche prochain.

François Fillon a pris la parole, remerciant ses proches et ses concurrents qui lui apporté leur soutien. Il a aussi eu "une pensée particulière pour Nicolas Sarkozy"
La candidate de cette primaire annonce qu'elle soutiendra le maire de Bordeaux, parce qu'elle "ne court pas après les postes".
L'ancien président de la République a laissé entendre que cette défaite pourrait signifier la fin de sa carrière politique.
Crédité de moins de 3 % selon les résultats provisoires, Bruno Le Maire a apporté son soutien à François Fillon pour le 2e tour, dimanche prochain.
Le président du conseil départemental de l'Ain, Damien Abad, et soutien de Bruno Le Maire, s'est dit déçu du score provisoire de son favori.
Le conseiller LR de Paris Pierre-Yves Bournazel a défendu la candidature d'Alain Juppé, souhaitant une victoire du maire de Bordeaux qui serait le "mieux placé" pour faire gagner la droite à la présidentielle.
Soirée spéciale primaire de la droite sur Sud Radio. De 19h jusqu'à la fin de la soirée, suivez toutes les informations, résultats et réactions...
Ce dimanche, dès 19h, suivez les résultats du premier tour de la primaire de la droite et du centre, en direct sur Sud Radio et sur sudradio.fr
Jean-Frédéric Poisson, président du parti chrétien-démocrate et candidat à la primaire de la droite, a rappelé son opposition à la loi Taubira qui, selon lui, mène "tout droit vers la reconnaissance de la gestation pour autrui", indiquant qu'il était le seul, parmi les prétendants à l'investiture LR, à prôner l'abrogation pure et simple du texte.
Deux jours après la candidature d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle, un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Lyon Capitale placerait l'ancien ministre de l'Economie en 3e position, quels que soient ses adversaires. Devant François Hollande, mais pas suffisant pour accéder au 2nd tour.
Jérôme Chartier, député du Val d'Oise et porte-parole de François Fillon pour la primaire de la droite, estime que l'ancien Premier ministre a proposé une issue au vote Sarkozy ou Juppé, qui étaient respectivement, selon lui, des votes "contre François Bayrou" ou "contre Nicolas Sarkozy".
Alors qu'Emmanuel Macron doit annoncer ce mercredi sa candidature à l'élection présidentielle, le sénateur-maire PS d'Alfortville, Luc Carvounas, estime que l'ancien ministre de l'Economie manque de fidélité alors qu'il est "un pur produit inventé par François Hollande".
Pour le secrétaire général des Républicains et député de l'Oise, Eric Woerth, la primaire de la droite et du centre, dont le premier tour a lieu dimanche, doit rassembler un maximum d'électeurs de droite et du centre-droit, mais aussi d'anciens électeurs de droite qui ont basculé vers l'extrême-droite. Selon lui, Nicolas Sarkozy est le candidat le plus à même de les séduire.
Le dernier sondage avant le premier tour de la primaire de la droite et du centre marque le recul d'Alain Juppé et confirme la remontée de François Fillon. Si Nicolas Sarkozy ne gagne pas de terrain, il entrevoit une possible première place dimanche soir, même s'il est encore largement devancé en cas de second tour avec Alain Juppé.
Le secrétaire d'Etat à l'enseignement supérieur, Thierry Mandon, a reconnu des erreurs dans le quinquennat de François Hollande, notamment la suppression des avantages pour les heures supplémentaires. Il espère que la primaire de la gauche sera l'occasion de faire un bilan.
Gérard Filoche, membre du bureau national du PS et candidat à la primaire de la gauche, souhaite rassembler autour de sa candidature et n'épargne pas Emmanuel Macron, qu'il qualifie de "stupide", ou François Hollande, qui "rendrait service à tout le monde" s'il ne briguait pas un deuxième mandat.
Le candidat à la primaire de la droite, Alain Juppé, souvent attaqué par Nicolas Sarkozy pour être soutenu par François Bayrou, assure qu'il n'a promis aucun poste au président du MoDem en échange de ce soutien. Et laisse entendre que ses rivaux à la primaire ont été plus généreux avec leurs proches.
Le vainqueur des élections présidentielles américaines a donné un discours dans lequel il s'est voulu rassembleur, après sa victoire face à Hillary Clinton.
L'ancien ministre de droite, Renaud Dutreil, soutient aujourd'hui Emmanuel Macron pour la prochaine présidentielle. Il souhaite que l'ancien ministre de l'Economie se présente et accède à l'Elysée, pour "moderniser le pays".
Pour l'ancien ministre Renaud Dutreil, Donald Trump, nouveau président des Etats-Unis, devra "négocier avec les républicains" s'il veut gouverner, ce qui sera "très difficile pour lui".
Le candidat républicain est assuré de l'emporter face à sa rivale démocrate, Hillary Clinton.
Le Train pour l'emploi et l'alternance parcourt la France pendant plus de deux semaines pour mettre en relation recruteurs et demandeurs d'emploi. Sud Radio était présent lundi, pour le grand départ, gare du Nord.
Le président du MoDem perd 6 points dans le tableau de bord des personnalités politique Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match du mois de novembre, suite aux attaques de Nicolas Sarkozy sur son soutien passé à François Hollande. Alain Juppé est toujours en tête, devant François Fillon et Jean-Pierre Raffarin.
L'ancien président de la République et candidat à la primaire de la droite a jugé majeur le débat autour de l'implication de François Bayrou dans la primaire et de son soutien à Alain Juppé. Pour Nicolas Sarkozy, le président du MoDem "n'a fait que se présenter contre les candidats de la droite et du centre".
La vice-présidente du MoDem, Marielle de Sarnez, est revenue sur les attaques de Nicolas Sarkozy à l'encontre de François Bayrou. Pour elle, "autant de violence n'est pas à la hauteur du moment".
Le député LR des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti, a noté une "agressivité pas toujours légitime" des autres candidats à la primaire contre Nicolas Sarkozy lors du 2e débat télévisé.
Le secrétaire national du PCF, Pierre Laurent, a défendu l'idée d'une candidature commune, à gauche, pour la prochaine présidentielle, tout en regrettant que les socialistes se soient "laissés enfermer" dans une primaire et que Jean-Luc Mélenchon veuille "continuer seul".
Le dernier tableau de bord Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match montre une chute de 5 points du président de la République, à 16 % d'opinions favorables. Dans le même temps, Manuel Valls progresse de 6 points, à 34 %.
À moins de trois semaines du premier tour de la primaire de la droite, Nicolas Sarkozy rattrape quelques points sur Alain Juppé dans le dernier baromètre de la primaire Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux est toujours donné gagnant au premier comme au second tour, mais la lutte s'annonce serrée.
L'ancien Premier ministre et favori de la primaire a reçu le soutien de la présidente de la région Ile-de-France, Valérie Pécresse. Le maire LR du Havre, Edouard Philippe, assure qu'Alain Juppé n'a pas promis de poste en échange de ce soutien.
Le député européen et candidat à la primaire EELV ne veut pas que la France "devienne un Far-West comme les Etats-Unis".
Le député de l'Eure et candidat à la primaire de la droite a reconnu que le scrutin qui aura lieu le 20 novembre s'apparente, pour le moment, à un référendum pour ou contre l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy. Il souhaite éviter "un vote par défaut", pour ne pas recréer "la même déception qu'avec François Hollande".
Le sénateur PS de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a rappelé que la courbe du chômage "était la condition" d'une candidature de François Hollande pour un nouveau mandat. Et pour lui, avec les bons chiffres publiés mardi, "l'inversion est là".
Le président de la République, s'il brigue un nouveau mandat, serait éliminé au premier tour dans tous les cas de figure. Et même s'il affrontait Marine Le Pen au second tour, François Hollande serait battu par la candidate frontiste.
La maire adjointe de Bordeaux, Virginie Calmels, a relativisé le lien qui unit Alain Juppé et François Bayrou, qu'elle juge "monté médiatiquement", affirmant que ce dernier n'est "qu'un soutien" du maire de Bordeaux.
Michèle Rivasi, députée européenne et candidate à la primaire EELV pour la présidentielle, s'est dit pour le démantèlement de la jungle de Calais, qui a débuté ce lundi, mais reproche la méthode du Gouvernement qui a été d'imposer plutôt que de discuter avec les maires prêts à accueillir des migrants.
Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris et candidate à la primaire du Parti socialiste, imagine mal François Hollande capable de se présenter pour briguer un nouveau mandat présidentiel.
Le président de la fondation pour l'islam de France a dit "comprendre les policiers" qui manifestent contre les agressions dont ils sont victimes, mais "soutient le ministre de l'Intérieur".
La dernière vague du baromètre de la primaire de la droite Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match montre que l'écart se creuse fortement entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy. L'ancien président serait même battu de 22 points au 2e tour.
À l'origine d'un début de polémique, la petite phrase de Nicolas Sarkozy sur "nos ancêtres, les Gaulois" ne bénéficie que d'un crédit limité, tant parmi la population française que les sympathisants Les Républicains.
La musique selon laquelle "c'était mieux avant" a corps dans la population française. Ils sont 69 % à penser que leurs parents vivaient mieux qu'eux au même âge.
La députée européenne Nadine Morano a estimé qu'Alain Juppé "incarne la continuité de François Hollande", laissant entrevoir sa préférence pour Nicolas Sarkozy ou François Fillon qui ont "su incarner l'autorité de l'Etat".
Une longue enquête Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match laisse apparaître une société fracturée, dans laquelle l'Islam est les immigrés ont du mal à trouver leur place. Pertes de repères, manque de confiance en l'avenir, inégalités sociales, autant de marqueurs qui influent sur la vision qu'ont les Français de la société dans laquelle ils vivent et qu'ils jugent sévèrement.
L'économiste et écrivain Jacques Attali a regretté que les primaires qui s'annoncent, tant à droite qu'à gauche, soient simplement des "primaires de candidats" et que les programmes, les projets et les visions à long terme pour le pays n'aient pas plus d'importance.
Le vice-président du Front national Florian Philippot a dénoncé la visite à Florange de François Hollande et l'absence de "stratégie industrielle" à la tête de l'Etat.
Henri Guaino n'a trouvé "aucun candidat convaincant" lors du premier débat de la primaire à droite jeudi soir. Et a défendu sa candidature à l'élection présidentielle, "contre le régime des partis".
Le député Les Républicains des Alpes-Maritimes a fustigé le ralliement de l'UDI derrière Alain Juppé, faisant valoir que "certains ont des convictions comme boussole, d'autres ont l'air du temps".