Dans "Le président toxique" (Robert Laffont), Étienne Campion dresse le portrait d’un chef d’État "anormal et toxique". À travers une centaine de témoignages, il analyse les dérives psychologiques du pouvoir et les failles du macronisme. Interview au vitriol au micro de SUD RADIO.
EXCLU SUD RADIO - Selon un sondage exclusif IFOP-Fiducial pour LCI, Le Figaro et SUD RADIO, le Rassemblement National (RN) sortirait largement vainqueur du 1er tour si des élections législatives avaient lieu ce dimanche, quels que soient les cas de figure, avec 35 à 36% d'intentions de vote. Loin devant le Nouveau Front populaire (24 %) et le bloc présidentiel (14 %).
OPINION SUD RADIO - Périco Légasse se réjouit de l'entrée de Robert Badinter au Panthéon tout en espérant qu'il n'y aura pas de récupération politique de la part d'Emmanuel Macron.
Dans la foulée de l'annonce par Sébastien Lecornu lui-même de sa fin de mission comme Premier ministre démissionnaire, Emmanuel Macron a promis de nommer son successeur à Matignon d'ici vendredi soir. Quels profils pourraient sortir du chapeau ? Tour d'horizon des noms qui circulent.
La balle est dans le camp du président: Emmanuel Macron doit tirer les leçons des consultations de la dernière chance menées par Sébastien Lecornu afin de nommer un Premier ministre d'ici vendredi soir, les spéculations s'intensifiant sur la personnalité choisie.
Non à un Premier ministre de gauche ou macroniste, non à une suspension de la réforme des retraites: Bruno Retailleau a posé ses conditions à une participation "exigeante" lors d'une réunion en visio mercredi soir avec les parlementaires LR, ont indiqué à l'AFP des participants.
Sébastien Lecornu évoque une possible suspension de la réforme des retraites. Une pause politique qui pourrait coûter cher : jusqu’à 13 milliards d’euros par an d’ici 2035, selon la Cour des comptes. Décryptage des enjeux financiers et politiques.
Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a déclaré mercredi soir que sa mission de négociateur était "terminée", et que cela devrait permettre à Emmanuel Macron de nommer un chef de gouvernement d'ici vendredi soir.
Nouvelle échéance judiciaire capitale pour Nicolas Sarkozy: la Cour de cassation se prononcera le 26 novembre sur son pourvoi contre sa condamnation dans l'affaire Bygmalion.
Sébastien Lecornu a fait un point étape au cours duquel il s'est montré optimiste en vue de l'adoption d'un budget avant le 31 décembre et "écarter les perspectives de dissolution".
Condamné pour financement illégal de sa campagne de 2012, Nicolas Sarkozy joue sa dernière carte devant la Cour de cassation dans l’affaire Bygmalion. L’ancien président espère éviter une peine d’un an de prison.
Nouveau rebondissement dans la crise politique: Sébastien Lecornu a "ouvert la porte" à une "suspension" de la réforme des retraites, au terme d'une première journée "d'ultimes négociations" demandées par un Emmanuel Macron lâché jusque dans son propre camp.
Sébastien Lecornu a fixé mardi un ultimatum jusqu'à mercredi soir aux Républicains pour qu'ils décident s'ils sont prêts à participer à un gouvernement avec la macronie, brandissant la menace d'un Premier ministre "de gauche" ou une dissolution, a affirmé Laurent Wauquiez lors d'une visio avec les députés LR.
Crises politiques à répétition, majorité éclatée, alliances en ruine et motion de destitution. Depuis hier, Emmanuel Macron affronte la tempête la plus violente de son second mandat. Et jamais autant de voix ne se sont élevées pour réclamer sa démission. Capable de tout, le chef de l'État pourrait-il vraiment partir ? Éléments de réponse.
Le patron des Républicains Bruno Retailleau a affirmé mardi qu'il ne fermait pas la porte à un retour de son parti dans le gouvernement, à condition qu'il s'agisse d'une "cohabitation" avec la macronie et que LR "ne se dilue pas" dans le camp présidentiel.
Le président Emmanuel Macron a donné à Sébastien Lecornu, Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, 48 heures pour des négociations de la dernière chance, laissant planer la menace d'une dissolution en cas d'échec.
Emmanuel Macron a donné lundi à Sébastien Lecornu, Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, 48 heures pour des négociations de la dernière chance, laissant planer la menace de dissolution en cas d'échec.
Au lendemain du dévoilement de 18 de ses 25 ministres, Sébastien Lecornu a présenté ce lundi matin sa démission à Emmanuel Macron de son poste de Premier Ministre, qui l'a acceptée.
Nommés dimanche 5 octobre peu avant 20h, démissionnaires dès le lundi 6 vers 10h, les membres du très éphémère gouvernement de Sébastien Lecornu devraient percevoir une indemnité transitoire de près de 28 000 euros chacun. Une situation légale, mais qui interroge sur l’usage des deniers publics à l’heure où les finances de la France sont sous tension.
Emmanuel Macron se retrouve dans une situation politique bancale après la démission surprise de Sébastien Lecornu. Le président de la République doit désormais choisir quel chemin emprunter pour la suite de son mandat. Trois pistes principales s’offrent à lui.
Discret et réputé habile négociateur, fidèle soldat d'Emmanuel Macron, Sébastien Lecornu aura échoué à cimenter le socle commun de sa fragile coalition et à convaincre les oppositions de renoncer à le censurer, devenant le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République.
De la dissolution surprise en juin 2024 à la démission lundi du Premier ministre Sébastien Lecornu, quelques heures après l'annonce d'une partie de son gouvernement, la France a enchaîné, ces 16 derniers mois, les moments politiques inédits.
Le Premier Ministre Sébastien Lecornu a dévoilé ce dimanche une première salve de ministres avec beaucoup de reconductions et des noms déjà bien connus, comme Retailleau, Darmanin, Le Maire, Borne, Valls, Vautrin, Lescure, Dati, etc mais une surprise avec Eric Woerth.
Des reconductions en pagaille et, comme rares nouveautés, le macroniste Roland Lescure à Bercy et le retour surprise de Bruno Le Maire aux Armées: le gouvernement de Sébastien Lecornu, dévoilé dimanche, semble déjà en sursis face à la fronde des opposants mais aussi des Républicains.
Le patron des députés LR Laurent Wauquiez a estimé dimanche que "les conditions (n'étaient) pas réunies" pour participer au gouvernement de Sébastien Lecornu, tandis que le président du parti Bruno Retailleau s'y est dit favorable, ont indiqué à l'AFP des participants à une réunion des parlementaires de la droite.
Le Premier ministre Sébastien Lecornu a transmis dans la nuit de samedi à dimanche une "feuille de route gouvernementale" aux dirigeants du socle commun, appelant ces partis à "s'unir" autour de plusieurs priorités malgré leurs "différences", dans un document révélé par BFMTV et que l'AFP s'est procuré.
Le Premier ministre Sébastien Lecornu est entré dans la dernière ligne droite pour former son gouvernement, mais il se heurte encore aux réticences des Républicains de Bruno Retailleau, qui ont reporté à dimanche une réunion cruciale sur leur participation au futur exécutif.
Le Premier ministre Sébastien Lecornu propose dans son budget une baisse de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), un impôt de production, à hauteur d'1,1 milliard d'euros dès 2026, et envisage sa "suppression progressive d'ici trois ans", a indiqué son entourage à l'AFP.
Sébastien Lecornu a renoncé vendredi à l'article 49.3 de la Constitution et redonne ainsi la main au Parlement sur le budget, un geste salué par les oppositions mais jugé insuffisant pour balayer les menaces de censure.
Le Rassemblement national et le Parti socialiste seront reçus vendredi matin par le Premier ministre Sébastien Lecornu dont ils attendent des ouvertures sur le projet de budget pour 2026, le menaçant d'une éventuelle censure.
Le Rassemblement national de retour au Bureau de l'Assemblée : laissé à la porte de la plus haute instance exécutive de la chambre basse en 2024, le groupe de Marine Le Pen a récupéré mercredi deux vice-présidences, au grand dam de la gauche qui appelait à un "front républicain".
ENTRETIEN SUD RADIO - Cinq jours après la condamnation à 5 ans de prison de Nicolas Sarkozy dans le financement libyen de sa campagne présidentielle 2007, Me Christophe Engrain, avocat de l'ancien chef de l'Etat, conteste toujours la lourdeur de la peine et entend activer tous les recours possibles.
EXCLU SUD RADIO - Selon un sondage exclusif IFOP/FIDUCIAL réalisé fin septembre 2025 pour Sud Radio et L'Opinion, Jordan Bardella (RN) domine largement les intentions de vote au 1er tour de la présidentielle 2027, face à des candidats centristes encore dispersés (Philippe, Attal, Darmanin, Bayrou), une gauche partagée entre Mélenchon, Glucksmann ou Faure et une droite traditionnelle incarnée par Retailleau. Analyse des grands enseignements de cette enquête et des rapports de force politiques à 18 mois de l’échéance.
Resté volontairement discret depuis sa nomination le 9 septembre, Sébastien Lecornu affronte une semaine décisive pour la suite de son action à Matignon s'il veut éviter la censure promise par le PS "si rien ne change" lors d'un rendez-vous de la dernière chance vendredi.
OPINION SUD RADIO - Dans son édito du jour, Françoise Degois s'insurge contre les arguments avancés par Nicolas Sarkozy, condamné à 5 ans de prison dans le financement libyen de sa campagne 2007, et son entourage. Et souligne le danger démocratique qui guette quand on tape régulièrement sur la justice.
ENTRETIEN SUD RADIO - "Le RN doit obtenir des vice-présidences de l'Assemblée nationale" selon Naïma Moutchou, députée du Val d'Oise, vice-présidente de l'Assemblée Nationale et porte-parole d'Horizons. Elle était “L’invitée politique” sur Sud Radio.
Moins d'un an après y avoir été renversé, l'ex-Premier ministre Michel Barnier (LR) va retrouver les bancs de l'Assemblée nationale grâce à son élection dimanche comme député lors de la législative partielle dans la 2e circonscription de Paris.
ENTRETIEN SUD RADIO - Au lendemain de la condamnation de Nicolas Sarkozy, Pierre-Olivier Sur, ex bâtonnier du barreau de Paris, parle d'un "arc pénal".
ENTRETIEN SUD RADIO – Nicolas Sarkozy a été condamné à cinq ans de prison ferme pour association de malfaiteurs dans l’affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007. Philippe Bilger, ancien magistrat, analyse ce jugement et apporte des éclaircissements sur les enjeux de ce dossier.
L'ancien président Nicolas Sarkozy a été condamné jeudi à cinq ans d'emprisonnement avec mandat de dépôt à effet différé, assorti de l'exécution provisoire, pour association de malfaiteurs dans l'affaire du financement libyen de sa campagne électorale de 2007.