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Stéphane Rotenberg : "L’Asie, c’est un peu la madeleine de Proust de Pékin Express"

Par Jean Baptiste Giraud

L'animateur de télévision, Stéphane Rotenberg, était l’invité de Valérie Expert et Gilles Ganzmann sur Sud Radio le 8 février 2024 dans "Sud Radio Média".

Stéphane Rotenberg
Stéphane Rotenberg, invité de Valérie Expert et Gilles Ganzmann dans "Sud Radio Média" sur Sud Radio.

Tous les jeudis, M6 diffuse la saison 18 de "Pékin Express", intitulée "Sur les traces du tigre d’or".

Pour cette nouvelle route, Stéphane Rotenberg et les candidats vont commencer par découvrir l’Indonésie avec un départ sur les rives du lac Batur à Bali. Ils découvriront ensuite d’incroyables volcans sur l’île de Java : le Bromo et le Kawah Ijen, qui abrite le lac le plus acide du monde. Puis, ils traverseront un deuxième pays, la Malaisie, avec ses plages paradisiaques et sa trépidante capitale Kuala Lumpur. Pour terminer par le Vietnam, de la baie d’Along jusqu’à la grande finale à Hanoi.

 

Stéphane Rotenberg : "Si jamais je donne l’impression d’être partial ou d’avoir mes favoris, c’est l’enfer"

Stéphane Rotenberg confie qu’il ne veut pas rencontrer les candidats avant et évite de les croiser dans l’avion… "J’essaie, tant que ça ne commence pas. Il faut qu’ils soient dans le mystère. Et puis, je suis aussi l’arbitre, c’est moi qui donne les pénalités. Si je commence à parler à un binôme et que je ne parle pas à un autre, il va y avoir tout de suite ‘pourquoi eux, pourquoi pas nous ?’. C’est une compétition, il y a 100.000 euros en jeu. Si jamais je donne l’impression d’être partial ou d’avoir mes favoris, c’est l’enfer. Toujours est-il que je suis très bien renseigné quand ils arrivent !", s’est expliqué l’animateur.

 


Stéphane Rotenberg raconte aussi ne pas annoncer d’emblée les conditions de participation à son émission, d’où énormément de travail pour les équipes de casting. "On s’arrête à 40.000 candidatures, après on n’arrive plus à traiter. Déjà, 40.000, c’est énorme. Déjà, 45 jours, on perd 80% des gens. Les gens n’imaginent pas. Ils se disent : ‘moi, 15 jours, ça me va’. Ah, ben, non ! Nous, ça ne va pas. Du coup, on perd plein de gens parce qu’ils n’imaginent pas que ça dure 45 jours. Et puis, ils ne savent pas que ça se tourne fin août – début septembre. Il faut pouvoir se mettre en congé professionnel."

"Cela fait 13 ans qu’on n’était pas allés à Bali"

Pékin Express semble être une émission qui n’a pas de profil type de candidat… "La directrice de casting, qui fait d’autres émissions également m’a dit : 'il y a souvent une sociologie ou un profil dans chaque émission : dans 'Koh Lanta', même dans 'Des chiffres et des lettres'. Mais dans 'Pékin Express', j’ai 18-72 : j’ai des riches et des pauvres, des costauds et des faibles… C’est surprenant, le point commun, c’est :je veux y aller’", a raconté Stéphane Rotenberg.

 


Ce n’est pas la première fois que Pékin Express va dans ces trois pays, et même dans certains des endroits. Les choses ont-elles changé depuis leur dernière visite ? "On était déjà venus dans ces trois pays, mais il y a plein de choses qu’on n’avait jamais faites. On n’avait jamais fait Kuala Lumpur, on n’avait jamais pris cette route dans ce sens ni dans ces endroits-là. L’Asie, c’est un peu la madeleine de Proust de Pékin Express, historiquement Paris-Pékin, c’est la première route. J’adore aller en Asie. On alterne. Cela fait 13 ans qu’on n’était pas allés à Bali, ça n’a pas beaucoup changé. Treize ans qu’on n’était pas allés dans la baie d’Along, ça a énormément changé : il y a beaucoup de tourisme. La Malaisie a beaucoup changé, mais pas forcément en mal", a fait savoir Stéphane Rotenberg.


Retrouvez “L'invité média” de Gilles Ganzmann chaque jour à partir de 10h00 dans “Sud Radio Média” avec Valérie Expert.

Cliquez ici pour retrouver l'intégralité de l’interview média en podcast.

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