Ce vendredi 7 novembre 2025, M6 diffuse : "Pékin Express – La route des glaces" (saison 21). Pour cette nouvelle saison, cap sur un territoire inédit pour la course : le Kazakhstan, neuvième plus grand pays du monde, qui mesure cinq fois la superficie de la France. Un pays aux paysages immenses et spectaculaires, habité par un peuple à l’accueil chaleureux et sincère, profondément attaché à ses traditions nomades.
Stéphane Rotenberg : "Depuis des années, la chaîne voulait faire un "Pékin Express" des glaces"
Valérie Expert : Il est rare que "Pékin Express" s'aventure dans des pays froids…
Stéphane Rotenberg : D'habitude, on faisait une ou deux étapes dans le froid : le Kilimanjaro ou la Cordillère des Andes, et puis on redescendait tout de suite. Là, c'est une saison unique, exceptionnelle, plus courte que les autres. Depuis des années, la chaîne voulait faire un "Pékin Express" des glaces. On a pas mal résisté au début parce qu'on savait que ce serait très compliqué à faire. Notamment pour la technique : les batteries, les caméras… Le matériel supporte très mal les très grands froids. Et on ne parle pas de -5 °C : on parle de -15 °C, -20 °C, -25 °C.
Valérie Expert : Quel a été votre quotidien au Kazakhstan ?
Stéphane Rotenberg : On avait une yourte itinérante chauffée avec des tapis, un samovar et un Kazakh qui prenait soin de cette yourte. Ils mangent beaucoup de cheval parce qu'il y a beaucoup de chevaux sauvages. C'est un peu spécial pour nous parce qu'on n'a plus l'habitude. Attention, c'est un aliment de fêtes, c'est pas la base du quotidien. Mais quand vous voulez vous faire plaisir, saucisson de cheval, ragoût de cheval !
"Il n'y a pas du tout d'insécurité dans ces pays-là"
Gilles Ganzmann : Cela a-t-il été rassurant d'être dans les grands espaces ?
Stéphane Rotenberg : Il n'y a pas du tout d'insécurité dans ces pays-là. Il n'y a pas du tout la peur de la violence qu'on peut avoir en Amérique latine. Là, c'est des pays extrêmement sûrs - vous pouvez laisser les clés sur votre voiture.
Gilles Ganzmann : C'est la première fois que Pékin Express est diffusé le vendredi, en face de la "Star Ac'"…
Stéphane Rotenberg : Dans notre métier, il faut qu'on s'y habitue : ça ne se joue plus [sur l'horaire de diffusion], car il y a le replay. Aujourd'hui, plus de la moitié de l'audience de "Pékin", c'est le replay. Et c'est l'émission de M6 la plus rattrapée en pourcentage. On est dans le top 5 des programmes les plus rattrappés de France, toutes chaînes confondues. Certains jours, la concurrence est telle que notre public peut avoir envie d'aller voir autre chose. Mais ce qui est génial, c'est qu'ils ont tout le week-end pour rattraper.
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