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Tristan Edelman : "Derrière le Covid-19, il y avait un projet post-humain"

Par Jean Baptiste Giraud

Tristan Edelman, auteur, compositeur, chorégraphe et énergéticien, était l'invité de "Bercoff dans tous ses états" le 29 juin 2023 sur Sud Radio.

Tristan Edelman
Tristan Edelman, invité d’André Bercoff dans "Bercoff dans tous ses états” sur Sud Radio.

Pour Tristan Edelman, le Covid-19 a été synonyme de contrôle des populations et d'une mainmise des États-Unis encore plus dure sur l'Europe.

 

Tristan Edelman : "Le Covid-19 permettrait une accélération du capitalisme"

Tristan Edelman se définit comme énergéticien. Qu'est-⁠ce que ça veut dire ? "L'énergétique, c'est une pratique où on va s'occuper du rythme profond de la personne. On est fait d'énergie. Quand tu vois une plante qui se lève, qui croît, il y a une énergie vitale. On a en nous des baisses d'énergie, des montées d'énergie… On emploie donc divers moyens : le magnétisme, la parole, des exercices… Tout cela, afin d'aider la personne à se retrouver elle-même."

 


Comment Tristan Edelman a-t-il réagi lorsque le Covid-19 est arrivé ? "Pour moi, c’était une évidence. J’ai compris que cette maladie était multi-⁠usages. J’ai dénoncé tout de suite que ça permettrait une accélération du capitalisme dans sa transformation entre l'industrie et le digital, que ça permettrait un contrôle des populations, que ça permettrait, dans le domaine de la santé, de tout passer au digital, une mainmise des États-Unis encore plus dure sur l'Europe et sur le monde autant qu'ils peuvent…"

"Il y avait tout un projet de transformer l'homme biologique en machine"

Tristan Edelman pense par ailleurs que la distanciation sociale avait été imposée afin de transformer les humains en machines. "La distanciation sociale, c'est quand même un terme assez incroyable pour un énergéticien, c'est contre nature. Au contraire, on va chercher la fluidité entre l'autre et soi-même. C'est comme ça qu'on va comprendre l'autre. L'énergie, c'est quelque chose de très concret. C'est pas du tout mystique, on la sent avec les mains, on sent les humeurs des gens. Si on pousse encore plus loin, il y a tout ce projet post-humain qui est de transformer la matière vivante, notamment l'homme biologique, en machine, un objet inerte, un objet marchand. On est vraiment dans l'anti-énergétique. On est dans la terreur.

La terreur, c'est un statut très particulier dans l'énergétique puisque c'est une motion, un mouvement qui empêche le mouvement. C’est différent de la peur. La peur, en énergétique, est un sentiment tout à fait utile, indispensable. Une voiture fonce dessus, tu as peur, tu dégages. La terreur va te sidérer, va arrêter la circulation des émotions. À partir du moment où on arrête la circulation des émotions, on fait de toi une forme de zombie. On te vide de ton énergie, de ton psychisme, de ta faculté critique, de la faculté d'écouter l'autre, d'être en empathie et on te dirige."

 


Peut-on parler de management par la terreur ? "Tout à fait. D’ailleurs, le management, c'est une technique militaire. Le Troisième Reich a été le premier de la classe des techniques de management venant des États-Unis. Il faut lire L'étrange défaite de Marc Bloch : il analyse sur le terrain l'efficacité des troupes nazies. Il est très impressionné en disant : ‘il y a une forme de démocratisation dans ces troupes-là, le chef a vraiment tout pouvoir sur ses troupes et a même une faculté de décision. Et cette responsabilisation lui donne encore plus d'efficacité’".

 

 

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Retrouvez “Le face à face” d'André Bercoff chaque jour à 12h30 dans "André Bercoff dans tous ses états" Sud Radio.

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