Qu’est-ce que les trois ans de pandémie liée au Covid-19 disent de l’état de santé mentale de notre monde ? Pour Jean-Dominique Michel, il s'agit d'un sujet entre contemplation et questionnement. L’analyse sur Sud Radio de cet anthropologue de la santé. Il est l'auteur de Autopsie d’un désastre : mensonges et corruption autour du Covid aux éditions Marco Pisteur.
Covid-19 : une réalité de substitution
"Pour résumer la crise sanitaire en allant à l’essentiel. On savait très bien quoi faire et on ne l’a pas fait. On a eu tout de suite les données qui nous expliquaient que l’épidémie de Covid-19 n’était pas celle que l’on nous présentait. Et les professions de santé ont fait en sorte que les innombrables anomalies que l’on a imposées à la population soient présentées comme normales. Alors qu’elles contredisaient toute la science et tous les plans pandémiques", explique Jean-Dominique Michel. Il est anthropologue de la santé, auteur de Autopsie d’un désastre : mensonges et corruption autour du Covid aux éditions Marco Pisteur.
"Il y a eu des ordres insensés par rapport à la réalité des connaissances en santé publique", ajoute-t-il sur Sud Radio. "Un substitut de réalité l’a emporté. De sorte que les gens n’ont plus tenu compte ni de la réalité, ni de ce que l’on avait appris avant", lance également Jean-Dominique Michel.
Une corruption généralisée dans le milieu de la santé
Néanmoins, ce dernier explique rester assez prudent sur les théories et autres analyses découlant de la crise sanitaire du Covid-19. Néanmoins, il affirme qu’il existe "une corruption généralisée dans le milieu de la santé. C’est affirmé par tout le monde. Y compris les rédacteurs en chef des principales revues médicales. Le constat de la corruption généralisée dans le domaine de la santé est posée. On a fait paniquer la population. On a donné l’occasion à l’industrie pharmaceutique de faire un maximum de blé avec une situation qui ne le méritait pas".
"Cette opposition criminelle lucrative a été portée par les pharmas. C’est une évidence à ce stade. Mais il semble qu’il y ait un agenda de contrôle de la population. Un agenda qui aille encore plus loin que le simple fait de tirer le maximum de profit possible d’une pseudo pandémie. Sur le plan technique, cela n’était pas une pandémie", conclut l’anthropologue de la santé, et auteur de Autopsie d’un désastre : mensonges et corruption autour du Covid aux éditions Marco Pisteur.
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