Les réactions au décès du pape sont nombreuses du côté des chefs d’État. Le président de la République, Emmanuel Macron, lui a d’ailleurs rendu hommage lors de son déplacement à Mayotte.
La Première ministre italienne a exprimé sa tristesse dans un communiqué : « La mort du pape nous afflige profondément, parce qu’un grand homme nous quitte », avant d’ajouter : « J’ai eu le privilège de profiter de son amitié, de ses conseils et de ses enseignements, qui n’ont jamais manqué, même dans les moments d’épreuve et de souffrance. »
De nombreux chefs d'État ont réagi suite à la mort du pape François : les déclarations avec @Matheolmbt pic.twitter.com/wl1HxfWYqK
— Sud Radio (@SudRadio) April 21, 2025
Sur le réseau X, de nombreux autres chefs d’État ont réagi et exprimé leur tristesse, comme le nouveau chancelier allemand, Friedrich Merz, qui salue la mémoire d’un homme « guidé par l’humilité et la foi en la miséricorde de Dieu ». Il restera, dit-il, « dans les mémoires pour son engagement infatigable en faveur des plus vulnérables, pour la justice et la réconciliation ».
Il est d’ailleurs rejoint sur ce point par le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, qui salue également son engagement « pour la paix, la justice sociale et les plus vulnérables ».
Des réactions à la mort du pape aussi au Moyen-Orient
L’Iran, pays musulman entretenant de bonnes relations avec le Vatican, a présenté « ses condoléances à tous les chrétiens du monde », a déclaré, lors d’un point de presse, le porte-parole de la diplomatie iranienne, Esmaïl Baghaï, avant d’ajouter qu’il priait « Dieu Tout-Puissant pour accorder la paix à l’âme du pape François ».
Le président israélien, Isaac Herzog, a lui salué « un homme de foi profonde et de compassion sans fin ». « Il accordait à juste titre une grande importance au renforcement des liens avec le monde juif et à la promotion du dialogue interreligieux comme voie vers une meilleure compréhension et un respect mutuel. »
Retrouvez notre édition spéciale ici.