"Cher Evan Hansen" (mise en scène par Olivier Solivérès) se joue actuellement au Théâtre de la Madeleine, du lundi au dimanche, jusqu’au 21 Janvier 2026.
Olivier Solivères : "Heureusement que TF1 étaient là"
À travers le parcours d’un adolescent en quête de lien, Cher Evan Hansen explore des thèmes essentiels : solitude, santé mentale, réseaux sociaux, deuil et besoin de reconnaissance.
Gilles Ganzmann : Sans TF1 cette pièce n'aurait pas existé…
Olivier Solivères : Oui, c'est vrai. TF1 Spectacles est incroyable, et le Théâtre de la Madeleine a tout de suite dit : "On y va". Alors que ce n'est pas une comédie musicale qui est connue en France, c'est pas un grand titre. Mais ils y sont allés. Heureusement qu'ils étaient là, a confié Olivier Solivères au micro de Sud Radio.
Gilles Ganzmann : Mais à côté, est-ce qu'il y a des espaces pour exister, faire parler de votre pièce dans les médias ou sur les chaînes de télé ?
Olivier Solivères : Les chaînes de télé, elles essaient de faire leur travail. Mais je pense que c'est plus facile d'aller chercher des stars qui jouent au théâtre parisien.
Antoine Galey : "C'est une comédie musicale comme on n'en a pas beaucoup vu en France"
Christine Bouillot : Qu'est-ce qu'on vous dit autour de vous de cette comédie musicale ?
Antoine Galey : Mes amis ne connaissaient pas. Moi non plus, je ne connaissais pas du tout. L'avantage de faire venir mes potes, c'est qu'ils viennent et qu'ils se rendent compte que c'est mortel, quoi. C'est une pièce qui est super bien écrite.
Christine Bouillot : Qu'est-ce qui vous a touché ? Parce que c'est particulier, la comédie musicale : c'est chanté, et c'est du théâtre aussi…
Antoine Galey : Je pense que c'est l'approche d'Olivier. Ce truc de vouloir faire quelque chose comme ça, qui n'a pas vraiment été fait en France. De vraiment lier le théâtre et la musique, faire une comédie musicale comme on n'en a pas beaucoup vu en France. Moi, c'est quelque chose qui me parle : c'est nouveau, on crée des choses nouvelles.
Gilles Ganzmann : Vous avez gagné "The Voice" il y a dix ans. Qu'est-ce qui se passe en dix ans ? Est-on contacté quand même ?
Antoine Galey : Ça dépend, il y a plusieurs chemins pour y accéder. Je pense surtout qu'il faut y aller en étant prêt, en sachant sur quoi on enchaîne après. Moi, j'y suis un peu allé parce que je passais mon bac, je n'en avais rien à foutre, j'ai tracé, on m'a proposé… ça m'évitait d'aller en cours, quoi ! Donc, c'était pratique. Et il s'est trouvé que ça a marché.
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