Plus de 80 ans après l'appel sur Radio Londres et plus de cinq ans après le fameux "nous sommes en guerre" d'Emmanuel Macron, sommes nous toujours en guerre ?
Covid-19 : un combat pour la liberté humaine
Durant la crise du Covid-19, Chloé Frammery a payé cher ses convictions. Ce n’était pas en France. Mais en Suisse. Cette enseignante publie "La Suisse au coeur", un livre dans lequel elle raconte son combat contre un certain nombre de mesures prises durant la dernière crise sanitaire. "Ce combat n’est que la suite de tous les autres combats pour la liberté humaine, que j’ai démarrés en 2012. Le Covid-19 a été la consécration de toutes ces mesures liberticides qui se sont mises en place au niveau mondial. D’autant plus que Genève est le lieu où siègent les différentes organisations internationales qui ont mis en place les mesures autour de cet évènement" explique-t-elle au micro de Sud Radio.
"Ayant ces organisations proches de chez moi, je me suis dit que je ne pouvais pas passer à côté d’une petite explication de texte. Pour que les gens se rendent compte de la manière dont les choses se passent, de ces décisions prises à l’insu de notre plein gré, par des gens qui n’ont pas été élus" ajoute Chloé Frammery au micro de Sud Radio.
Licenciée pour avoir exprimé son opinion
"En Suisse, nos dirigeants sont moins provocateurs, moins humiliants. Ce qui permet d’avoir une situation politique stable, même si certaines consciences se réveillent. Les frontières étaient quand mêmes fermées officiellement" lance-t-elle également. Avant d’ajouter : "Une vidéo que j’ai faite a dérangé les médias. De nombreux articles ont été relayés sur mon compte. J’ai été traité de sulfureuse, de complotiste, d’extrême-droite alors que je n’ai jamais été de droite de ma vie".
"Cela m’a affecté. Je n’ai plus trouvé de travail depuis mon licenciement en 2022. C’était un licenciement politique avec des raisons qui ne sont pas liées à mon enseignement, mais par rapport à ce que je délivre comme informations. J’ai eu droit à plus de 300 articles, non consentis. Toute chose a un bon côté, cela me laisse de la liberté, même si je n’ai plus de revenus. Je vends mon livre. J’ai des soutiens. Je suis en alignement avec mes valeurs" conclut Chloé Frammery.
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