Revenons sur les sorties récentes d’Assa Traoré, Yseult et Camélia Jordana
Pas un jour ne se passe sans qu’un soi-disant antiraciste diffame gravement son pays.
- Camélia Jordana, en mai dans On n’est pas couché, osait : « des hommes et des femmes se font massacrer pour leur couleur de peau, c’est un fait ». Par la suite, elle dénigre Brigitte Bardot et Catherine Deneuve.
- Yseult, chanteuse noire, criait sa colère sur Canal + dimanche. « Je ne vois pas ce qu’on doit à la France. » Quant à moi, j’ai quelques idées à ce sujet : la langue, la culture, la liberté et la tolérance – sans même parler de l'État social.
- Plus grave car reçue comme une intellectuelle, Assa Traoré à Jeune Afrique : « Les Noirs sont en danger. Les Arabes sont en danger. J’ai peur pour mes enfants. » Jeune Afrique résume alors : « Assa Traoré dénonce le racisme profond de la société française et de l’État». Les associations, la justice, les lois, France Inter, et le président de la République qui les caresse dans le sens du poil, tout ça n’existe pas. Le réel n’existe pas. Je suis née victime et j’entends le rester.
Ce ne sont pas que des propos isolés.
Non, ce racisme anti-français est l’étendard d’un nouveau militantisme, encouragé par de grands médias et de certains milieux universitaires et culturels. Dans le show-biz, beaucoup font semblant d’approuver pour flatter leur public.
En effet, ces fadaises influencent une partie des jeunes de l’immigration. Vous êtes « racisés », et donc jamais responsables de vos échecs. C’est la faute à la colonisation et à l’esclavage. Les propagateurs de ces thèses ne luttent pas contre le racisme mais veulent bien allumer une guerre des races.
Ça finit par énerver. Quand Assa Traoré dit qu’elle ne se sent pas en sécurité, beaucoup de gens pensent alors : “qu’elle aille au Soudan, en Afghanistan, au Pakistan, au Nigéria”, pays réputés pour leur atmosphère paisible et la civilité de leur police.
Réagir ainsi, est-ce céder au racisme ?
Absolument pas ! Des millions de Français noirs et arabes ne supportent plus qu’on insulte leur pays. Certains se taisent, par peur du groupe. Mais beaucoup sont suffisamment célèbres et puissants pour parler librement : d’éminents professeurs, artistes choyés, sportifs encensés, et élus. Certes, ils ne représentent pas une communauté. Mais Traoré et consorts vomissent la France en leur nom, alors ceux qui ne cautionnent pas ces propos accusateurs doivent proclamer : “pas en mon nom” ! Appel à tous ces Français venus d’ailleurs : ne laissez pas les calomniateurs gagner. Votre pays a besoin de vous.