Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, comment va la planète ? » « Avec Morad Aïtabouche, producteur de l'agence de presse « Elle n'est pas belle la vie » et notamment de la série « Sale temps pour la planète » diffusée sur France 5.
- Bonjour Morad. » « Bonjour Laurence. » « Alors, comment ça va la planète ? Vous nous emmenez où aujourd'hui ? » « C'est l'été Laurence. Évidemment, je vous emmène cette fois-ci en Corse à deux pas de Porto Vecchio pour une expérience inédite.
- Imaginez le décor.
- Nous sommes au cœur de la forêt de l'Hospedal, à 850 mètres d'altitude.
- Une vue plongeante sur la mer, mais jusque-là, rien de très surprenant.
- Attendez la suite.
- À Flanfalaise, il y a un nid douillet, un logement accroché à la roche.
- Cinq bulles au total, des petits cocons pour passer la nuit à la belle étoile.
- C'est Karine Labosse qui nous accueille.
- « Il faut mériter pour venir ici. » « Pas grave. » « Il y a du vent. » « C'est une journée très venteuse. » « Mais pareil, vous avez connu pire. » « On a pris jusqu'à plus de 200 km heure de vent. » « 200 km ici ? » « 200 km heure en rafale, ouais. » Cette nuit-là, on a eu des vents à plus de 100 km heure.
- Et je peux vous dire que l'expérience vaut quand même le détour.
- Écoutez Karine en parler.
- « On a eu des rafales à 110 km heure, ouais. C'était assez impressionnant.
- Là, ce que j'adore, c'est qu'il existe un tableau.
- Et ce tableau change chaque jour selon la couleur du ciel, selon la luminosité. » « Vous en laissez jamais. » « Jamais. » Et pour vivre un moment encore plus magique, il faut se rendre dans le cocoon le plus haut.
- Il est perché sur son éperon rocheux à plus de 1000 m d'altitude.
- On s'équipe alors d'un harnais de sécurité.
- Les conseils d'un pro, Jean-Michel.
- L'autre boss, c'est le mari de Karine.
- « Donc sur un baudrier, vous avez la ceinture, vous avez les deux jambières.
- On fait juste attention à une chose, c'est d'avoir les petites boucles de fermeture à l'extérieur des jambes. » Ce cocoon avec terrasse à 360 degrés n'est accessible que par sa via ferrata.
- C'est-à-dire que l'on escalade la falaise avec des prises déjà installées.
- Une petite demi-heure de grimpe.
- « Ça ne fait que monter. » « C'est typique de la Corse. » « 360 degrés ? » « Ouais. Avec la mer en face, on a tout le golfe de Porto Vecchio jusqu'à la mer. » « C'est un peu comme la Sardaigne qu'on voit en fond.
- Et de l'autre côté, le lac de l'Hospedal. » « Et nous voilà à l'abri du vent, dans notre petit cocoon.
- On a beaucoup de demandes en mariage. » « Ici ? » « Ouais. Demandes à mariage, des anniversaires. » « Incroyable. Comment vous avez imaginé ce concept ? » « Au départ, c'était vraiment une alternative à un tourisme de masse ou à un tourisme traditionnel comme on les connaît.
- Et c'était pour permettre à chacun de vivre une expérience immersive complètement dans la nature.
- Donc en dehors de toutes les considérations météorologiques comme on le voit aujourd'hui, on a beaucoup de vent, mais on peut également avoir de la pluie, on peut avoir de l'orage, on peut avoir une magnifique pleine lune, on peut avoir un énorme soleil ou un brouillard complet.
- C'était vraiment le fait d'être dans cette nature, au milieu des éléments. » « Mais on ne choisit pas. » « On ne choisit pas. » « Si on réserve... » « C'est la surprise. » Une expérience en immersion sans chichi, mais dans un cadre.
- Une expérience en immersion sans chichi, mais dans un cadre.
- Idyllique avec les oiseaux, les animaux, le ciel.
- On a le sentiment d'être posé sur un nuage.
- « Ça, c'est l'Altrucello.
- Altrucello, parce que c'est l'autre ciel.
- Ce qu'on peut le voir, en fait, on est complètement sous la voûte céleste.
- Ici, il n'y a pas de pollution lumineuse, ce qui fait que quand l'Inde lui...
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