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Par avec Général André Coustou

Le Général André Coustou met les choses au clair.


André Bercoff reçoit le Général André Coustou, président d'honneur de Place d'Armes, pour une mise au point concernant le conflit russo-ukrainien.
Les invités

André Bercoff met en lumière, du lundi au jeudi, un événement d'actualité qui fait polémique. À retrouver sur Sud Radio et en podcast.

Par André Bercoff avec Général André Coustou

Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 2 premières minutes de votre émission :

"On parlait de Macron, on parlait de Ligne Rouge."

André Bercoff : Daniel Guichard ne parle pas, ne parle pas, ça fait trop de mal, quelquefois... Oui, mais s'il y a des citoyens, s'il y a des hommes et des femmes qui expriment leur mécontentement, leur indignation, quand on est en démocratie, et je pense qu'on est encore en démocratie, il faut le dire, eh bien, en quoi l'en voudrait-on ? Le Général André Coustou a écrit plusieurs missives, plusieurs chroniques, notamment dans Place d'Armes, où il est président d'honneur, et il a mis des points sur les îles, dans ce qui se passe dans le paysage français aujourd'hui, non seulement le gêner, mais provoquer en lui des réactions fortes, et nous l'avions reçu la semaine dernière, le Général Coustou, et il a dit notamment ceux-ci où on parlait effectivement du pouvoir, on parlait de Macron, on parlait de Ligne Rouge, écoutez.

"En 2018, au moment de la crise des gilets jaunes, le chef des armées qu'est le président, avait donné des ordres ou directives pour que l'armée soit interposée entre d'une part les gilets jaunes et d'autre part le palais de Bourbon et l'Élysée. Avec, c'est ça qui est important, éventuellement la possibilité de tirer sur les manifestants. Et bien là, il a été fait savoir au président, sous une forme que j'imagine un peu diplomatique quand même, que l'armée ne tirer pas, ce qui veut dire qu'il y a des Lignes Rouges."

André Bercoff : Alors, je voudrais, parce que c'est assez grave ce que vous avez dit général, vous avez dit, éventuellement de tirer, et éventuellement de protéger l'Élysée et le palais Bourbon. Est-ce que vous pouvez éclaircir, parce qu'effectivement ça a fait beaucoup beaucoup de réactions, positives ou négatives, mais quand même, est-ce que vous avez de sources sur cette information que vous donnez là, qui a fait encore une fois beaucoup beaucoup de réactions, qui a engendré beaucoup de réactions. Est-ce que vous avez quelque chose à ajouter là-dessus ?

Général André Coustou : Oui, bonjour monsieur Bercoff, les amis de la France. En fait, je n'ai pas dit que le président avait donné l'ordre de tirer. (...)

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