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Le nouveau président argentin Javier Milei commence à faire trembler les murs !


Vendredi, le président argentin Javier Milei s'est exprimé devant le Parlement pour défendre son plan de réductions drastiques des dépenses publiques. Un discours pour le moins offensif... qu'André Bercoff décrypte pour vous !

André Bercoff met en lumière, du lundi au jeudi, un événement d'actualité qui fait polémique. À retrouver sur Sud Radio et en podcast.

André Bercoff

Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 2 premières minutes de votre émission :

"Il n'y va pas avec le dos d'un cuillère, il y va très fort."

André Bercoff : Bon appétit, messieurs, et gloire à Victor Hugo, évidemment, mon pièce absolument éternelle, bon appétit. Alors, effectivement, bon appétit, vous savez qu'on, ici à Dans Bercoff dans tous ses États et à Sud Radio, on se demande, vous vous demandez aussi, évidemment. C'est vrai, nos impôts, c'est très bien, et on paye des impôts, et c'est très bien de payer des impôts, pour que les services publics fassent leur boulot. Mais où va l'argent ? Où va l'argent ? Par exemple, il y a eu quelque chose qui se passait à Buenos Aires, vous savez, avec Javier Milei. Javier Milei, c'est le nouveau président argentin, effectivement, il est haut en couleur, il est très spécial, on l'aime ou on le déteste, en tout cas, ça fait quelques, quoi, trois mois qu'il est là, ou quatre mois qu'il est là, et bien, ou cinq mois, il n'y va pas avec le dos d'un cuillère, il y va très fort. Écoutez ce qu'il vient de dire, effectivement, au Parlement, dans son discours de l'Union, dans son premier discours sur l'État de la Nation. Écoutez.

(...)

André Bercoff : Applaudissements, applaudissements. Alors, qu'est-ce qu'il a dit Javier Milei ? Alors là, c'est très intéressant. Il ajoute, il ajoute que les déclarent les personnes reconnues coupables de corruption en rappel, nous pourrons pas se présenter aux élections. Et il ajoute aussi, écoutez-moi bien, "réduction des dépenses de l'État à 25% du PIB". Simplement, je signale en passant que chez nous, les dépenses de l'État montent à 58% du PIB en 2022. Rapport de l'INSEE. 58% du PIB. (...)

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