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Jean-Marc Sylvestre : "On ne fait pas assez la pédagogie de l'histoire"

Par La Rédaction

Jean-Marc Sylvestre (Journaliste et auteur de l'ouvrage "Les grands entretiens de l'histoire") était ce lundi l'invité de Patrick Roger dans le Grand Matin Sud Radio.

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Dans son dernier ouvrage intitulé "Les grands entretiens de l'histoire" (éditions Saint-Simon), le journaliste Jean-Marc Sylvestre, passé notamment par TF1 et iTELE, imagine ce qu'auraient pu être des entretiens menés avec des grandes figures historiques.

Invité de Patrick Roger ce lundi dans le Grand Matin Sud Radio, notre confrère est venu nous présenter ce livre, racontant sa genèse et les motivations qui l'ont poussé à le rédiger. "Pourquoi j'ai fait ce livre ? Parce que c'est un rêve de vieux journaliste, celui de rencontrer des monstres sacrés, des gens qui nous ont appris beaucoup de choses et qu'on a peut-être oubliés", a-t-il d'abord raconté. "C'était aussi une façon de faire la pédagogie de l'histoire. Je crois qu'on ne fait pas assez la pédagogie de l'histoire, c'est-à-dire regarder ce qu'il s'est passé et prendre du recul", a-t-il ajouté. Tout au long de cet ouvrage, une vingtaine de figures de l'histoires, parmi lesquelles Napoléon, Émile Zola, Cléopâtre ou encore Marie-Antoinette, se succèdent dans une série d'entretiens imaginaires, au cours desquels Jean-Marc Sylvestre n'hésitent pas à établir des parallèles avec certaines personnalités politiques contemporaines.

Interrogé par ailleurs sur la situation de la Russie, dont il revient après avoir participé au Forum économique, notre invité nous a livré une analyse quant à la situation du pays dirigé par Vladimir Poutine. "Quand vous voyez vivre la Russie, du moins dans les grandes villes comme Saint-Pétersbourg et Moscou, vous vous apercevez qu'elle vit avec beaucoup de dynamisme. il y a une jeunesse importante avec beaucoup d'énergie, il y a un commerce fleurissant. Les données macro-économiques sont moins bonnes parce qu'il y a un ralentissement, le rouble est très bas, il y a des effets d'embargo, mais ce que l'on sent, c'est qu'il y a un gouvernement qui a le soutien de la population et qui a la volonté de réformer ce pays, de le faire sortir de sa monoculture du gaz et du pétrole en y introduisant les startups, le digital, l'industrie etc...", a-t-il ainsi expliqué.

>> Retrouvez l'intégralité de l'interview, disponible en podcast

 

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