Reportage Sud Radio de Christine Bouillot
Empêcher les gouttelettes de passer et donc de vous contaminer, mais aussi tuer le virus en même temps: c'est l’idée qu’ont eu le président de Paul Boyé Technologies, Jacques Boyé avec ses équipes: "On a démarré ces recherches il y a cinq ans, pour répondre à un besoin du personnel hospitalier contre les maladies nosocomiales, staphylocoque doré ou les choses comme ça. Cela a très bien marché, puis ensuite on a enclenché sur des recherches pour la protection contre l'anthrax"
Testé à grande échelle par l'Etat
Rien ne peut différencier un masque FFP2 classique d'un masque baptisé Biox. C'est entre les couches de tissus que se trouve le procédé top secret, explique Valérie Foropon, toxicologue chez Paul Poyé Technologies:
"Ce masque fonctionne comme un masque FFP2 normal, à part qu'il a dans sa couche supérieure un désinfectant incorporé, qui permet de tuer les bactéries et les virus." - Valérie Foropon
Un masque tueur de virus déjà testé à grande échelle la demande de l'Etat, "ils se sont rendus compte que notre masque tuait le covid". L’entreprise espère rapidement commercialiser ce fameux masques Biox. Son prix devrait être un peu plus élevé que le FFP2 classique.
"On a lancé des essais très concluants sur le coronavirus, mais on n'avait pas la souche du covid-19. C'est l'Etat qui a voulu les tester à grande échelle dans les ses laboratoires. On a fabriqué un million de masques pour ça" - Jacques Boyé