Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Christine Bouillaud.
- Et avec vous, vous le savez, au 0826 300 300 pour cette dernière émission de la semaine.
- Lundi, vous retrouvez Valérie Expert, mais là, on vous attend également ce matin au 0826 300 300.
- Vous n'hésitez pas à réagir et intervenir sur cette antenne avec, non pas, ah bah ils sont trois, les trois mousquetaires.
- Il arrive, il arrive, il arrive, il arrive.
- Il est dans l'enfer des transports parisiens.
- C'est pour ça que vous êtes tous venus en vélo ? Exactement.
- Ils ont, si vous vous connectez sur Facebook, regardez comme ils sont bien.
- Non, Frédéric Dhabi ? J'étais à TF1 LCI, donc à 100 mètres d'ici.
- Alors vous, c'est la marche à pied.
- Voyez que Anne Hidalgo a réussi à vous convertir à la marche et au vélo.
- C'est ça, on ne peut pas faire de rendez-vous.
- Allez, vous les avez entendus.
- Voilà, donc comme vous avez quatre minutes de retrait.
- Côtard, mon cher Mehdi Raïch, c'est un euro la minute.
- C'est comme dans les équipes de foot.
- Voilà, c'est la caisse noire qui se remplit.
- On est autour de la table ce matin avec Mehdi Raïch, analyste politique.
- Lucas Véran, bonjour.
- Adjoint au maire de Neuilly, vous l'avez entendu également.
- Arnaud Stéphan, fondateur de l'agence lanote.com.
- Bonjour Arnaud.
- Et puis Frédéric Dhabi, le directeur.
- Bonjour Frédéric.
- Bonjour Christine.
- Le directeur général de l'IFOP, co-auteur avec Brice Socol, qui était là en début de semaine.
- Vous avez co-écrit tous les deux, parlons-nous tous la même langue, aux éditions de l'Ontario.
- Je crois que ça n'a jamais aussi bien porté son nom sur votre titre.
- Et on en sort un deuxième le mois prochain qui s'appelle « L'écharpe et les tempêtes ».
- C'est Gérard Devilliers de la politique.
- C'est sympa.
- J'aimerais bien.
- Il sort des bouquins tous les quinze jours.
- On est en forme.
- Vous êtes gentil.
- On est en forme, pourtant cette semaine.
- Oui, c'est vendredi.
- Mais c'est surtout qu'on sort d'une semaine politique absolument folle.
- Quand on lit les papiers, on écoute les journalistes politiques, éditorialistes, plus personne.
- Je ne sais comment qualifier cette séquence, puisqu'on a appris dans la nuit qu'Emmanuel Macron avait envoyé un SMS et un mail à tous les chefs de partis politiques, sauf au RN et à LFI, pour venir cet après-midi à l'Elysée, 14h30.
- À 1h53.
- Donc il ne dort pas.
- Ce n'est pas lui qui l'a envoyé, mais en tout cas, les services de l'Elysée...
- Mais qu'est-ce ici ? C'est lui, 1h53.
- Il l'a envoyé personnellement, le mail ? Je n'avais pas cette info.
- Pour moi, c'était les services de l'Elysée.
- Les services de l'Elysée, ça a baissé.
- Ils sont tous fatigués.
- Donc, que veut-il dire le chef de l'État ? Qu'est-ce qu'il va leur dire ? Surtout, est-ce qu'il fallait aussi convier LFI ? On a entendu tout à l'heure la conférence de presse de Jean-Luc Mélenchon, le Rassemblement national qui n'est pas convié.
- Alors, il y a les gagnants, les perdants, l'option Lecornu qui revient dans la boucle, l'option Borloo, qui, pour incarner ce gouvernement d'urgence, on le rappelle quand même, parce qu'il faut déposer ce budget 2026 dès lundi au plus tard.
- Et puis, votre sondage aussi, que l'on publie avec Le Figaro et Sud Radio, Frédéric, en cas de dissolution, si on devait voter ce dimanche, le RN arrive largement en tête et on décryptera ça ensemble.
- Et puis, autre sujet également à voir tous ensemble, on fait un petit pas de côté, si vous le voulez bien, pour changer non pas d'air, mais parler du quotidien des Français.
- Il y a une sénatrice, Les Républicains de l'Aisne, qui veut un projet de loi pour s'attaquer à la présence des fast-foods dans les centres.
- Et au nom de la lutte contre la malbouffe, alors, bonne ou mauvaise idée ? Est-ce qu'effectivement, il faut réglementer, en sachant qu'il y a la liberté de commerce également ? On verra ce que vous en pensez.
- 0826 300 300, est-ce qu'il y a des auditeurs qui veulent intervenir ? Vous n'hésitez pas à nous rejoindre.
- Je commence avec vous, Frédéric.
- Emmanuel Macron, on le disait, qui envoie un SMS...
Transcription générée par IA