Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Christine Bouillaud. » « Et avec vous au 0826 300 300, parlons vrai, on va tenter de se mettre d'accord ce matin avec nos quatre débatteurs que je salue immédiatement.
- Marine Cazard, bonjour Marine. » « Bonjour. » « Chef du pôle Jeune à Horizon, Magali Vissane, bonjour. Communicante politique, Jérôme Dubu, bonjour Jérôme.
- Président de France-Israël, Romain Marcili. » « Vice-président. » « Vice-président, qu'est-ce que j'ai dit, président ? » « Oui. » « Alors, à bientôt. » « L'avenir le dira. L'avenir est un certain. » « Allez, vice-président. Et Romain Marcili, bonjour. Romain, directeur général de Nouvelle Énergie.
- Alors évidemment, on va revenir tous ensemble sur cette mission terminée, nous a dit Sébastien Lecornu.
- Et ces heures qui s'égrenent aujourd'hui, on est à moins de 34 heures maintenant de l'annonce d'un nouveau Premier ministre.
- C'est ce qu'il nous a dit hier soir sur France 2. Est-ce que la réforme des retraites sera suspendue ? Emmanuel Macron doit-il prendre la parole ? Beaucoup de questions encore se jouent aujourd'hui autour de cette pagaille politique que vous qualifiez de quoi, tiens, Jérôme ? « C'est la chienlit. Mais c'est la chienlit qui était inévitable après la dissolution.
- Puisque le résultat mathématique, il ne suffit pas d'être grand stratège, il suffit de faire des additions, ça c'est très simple.
- Un enfant de 5 ans les aurait faites. À l'issue de la dissolution, il n'y a pas de majorité absolue ni de majorité relative.
- En 2022, elle a été remise en cause par cette dissolution. On en arrive à plus de majorité du tout.
- Donc on avait une majorité absolue en 2017. On avait une majorité relative en 2022. On n'a plus de majorité.
- Donc il faut en tirer les conséquences, mais on va en parler tout à l'heure.
- Oui, on va en parler tout au long de cette matinée. J'aimerais bien aussi vous entendre, chers auditeurs 0800 26 300 300.
- Vous pouvez également intervenir sur les réseaux sociaux, nous dire exactement ce que vous pensez.
- Tout cela a assez duré. C'est ce qu'on entend. Là, je m'adresse à la communicante que vous êtes.
- Magali, les Français, quand on va au resto tous, on va faire nos courses, on aimerait qu'ils s'entendent, qu'ils arrivent à s'accorder.
- Oui, mais presque avec un an de retard, j'ai envie de dire. On est vraiment là en train de vivre.
- On est au cœur d'une série Netflix où les Français, malheureusement, sont des figurants.
- Et je trouve que l'image, elle est très percutante parce que alors que les Français devraient être acteurs et qu'on devrait tous contribuer justement à faire en sorte que le monde politique s'élève.
- Eh bien là, il faut en sorte que nous ne soyons que de simples figurants.
- Donc, il y a un an de retard, c'est-à-dire qu'il y a un an, les Français voulaient cette stabilité.
- Il y a un an, les parlementaires devaient s'accorder. On parlait de stabilité, on parlait de compromis.
- Mais aujourd'hui, la seule chose que les Français veulent, c'est qu'ils s'en aillent.
- En fait, on a changé de cap, on a changé de sentiment, on a changé de colère parce qu'aujourd'hui, ils ont juste montré une chose et c'est là où je trouve, en termes de communication, il y a un impact, j'en parle souvent, un non-verbal et para-verbal, c'est-à-dire les comportements, les postures, les actes ont eu un impact sur le monde.
- Sur les Français, il n'y a plus personne aujourd'hui qui, en fait, ne porte une vision et en qui les Français ont confiance.
- Nous avons autour de la table des représentants de partis politiques. Vous entendez ce que dit Magali ? J'entends tout à fait ce que vous dites, madame, et je le partage, y compris dans votre analyse.
- Est-ce que ça va laisser des traces au-delà de la crise actuelle ? Est-ce que ça va laisser des traces durables ? Je le crains. Après, le pire n'est jamais certain.
- Mais effectivement, vous l'avez dit, il y a aussi tous les signes non-verbaux.
- On a effectivement un spectacle désastreux.
- Le mot de stabilité a changé. Il y a un an, la stabilité,...
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