Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- Et nous sommes ensemble avec vous sur Sud Radio pour le 10h midi. Bonjour à toutes et à tous. Jeudi 18 septembre, journée de mobilisation un petit peu partout en France, des blocages, des actions. On le voit en ce moment sur les images dans beaucoup de villes de France. Déjà, des interpellations, évidemment.
- On va y revenir. Et on attend vos réactions. 0826 300 300, vos commentaires. Est-ce que vous irez manifester ? Qu'attendez-vous de cette manifestation, de ces manifestations ? Le mot d'ordre, on l'a déjà un petit peu évoqué hier, n'est pas très clair. On a le pouvoir d'achat. On voit quand même fleurir des slogans Free Palestine un petit peu partout, qui n'ont pas grand-chose à voir. Mais on sent qu'il y a une mobilisation, en tout cas, qui est en train de s'organiser.
- Pour commenter l'actualité.
- Frédéric Dhabi, bonjour. Directeur général de l'IFOP. Je rappelle votre dernier livre, Parlons-nous tous, la même langue parue aux éditions de l'Aube, que vous avez co-écrit avec Brice Socol, qu'on connaît bien ici désormais, grâce à l'IFOP.
- Un autre arrive le 7 novembre.
- Qui s'appellera ? L'écharpe et les tempêtes.
- Ça m'a parlé à Patrick Vigny, un ancien député Renaissance de l'Hérault. Bonjour.
- Benjamin Cauchy, chef d'entreprise, ancien gilet jaune.
- Absolument, bonjour à tous.
- On va pouvoir parler avec vous de ces manifestations également.
- Christian de Villeneuve, bonjour.
- Journaliste politique, vous avez dirigé de nombreuses rédactions, celle de Paris Match, du Parisien, entre autres.
- Et on va évidemment commenter cette actualité de mobilisation aujourd'hui.
- On va parler également d'Emmanuel Macron. Où est-il passé ? Dites-nous, vous, auditeurs de Sud Radio, si vous souhaiteriez qu'il soit un peu plus présent.
- Il va partir à New York dimanche, mais on entend dire qu'il est...
- qu'il a laissé son Premier ministre, que toutes ces questions concernent le gouvernement et pas lui, mais enfin quand même.
- La censure. On a senti hier, à travers les paroles de Rémi Branco, que l'EPS n'était pas tout à fait disposé encore à se rallier à Sébastien Lecornu.
- Et c'est des choses qu'on comprend. Je ne sais pas vous, Christian.
- On va y revenir.
- On va y revenir parce que moi, je suis très surpris par...
- Si on parle des négociations qu'il y a actuellement, je suis très surpris par l'attitude du PS.
- Et je trouve qu'il n'a pas intérêt... Enfin, il prend des risques en jouant les gros bras.
- Parce que si, effectivement, ces demandes sont inacceptables du point de vue...
- Si on se place du point de vue de Macron, puisque c'est la suspension ou l'abrogation de la réforme de la retraite, c'est la taxe à ce man.
- Donc... Et si... Bon, s'il n'y a pas d'accord avec l'EPS...
- Les solutions semblent inévitables.
- Et je crois que dans le cadre de nouvelles élections, compte tenu des relations qu'a le PS actuellement avec les Unis et l'INFP, ce serait une déroute.
- On va en reparler avec Frédéric.
- Je serai prudent là-dessus.
- Pardon ? Je serai prudent sur une déroute du PS quand on voit les rapports de force électoraux, notamment à gauche.
- Mais ça sera moins facile qu'une gauche-union. On est bien d'accord.
- On va en reparler. Mais dites-nous, si vous, vous souhaitez une censure du gouvernement, 0, 826, 300, 300...
- Moi, j'avais envie de...
- Comme mot du jour, de choisir...
- Je vais choisir cible, puisque ce matin, Delphine Ernotte a accordé au Monde une interview dans laquelle elle accuse CNews d'être une chaîne d'extrême-droite.
- Pascal Praud lui répond qu'elle met ainsi une cible dans le dos des journalistes de CNews qui seront sur le terrain.
- Hier, c'est Éric Coquerel qui accusait Bruno Retailleau de mettre des cibles sur ses opposants politiques.
- C'est Bruno Retailleau, donc...
- Enfin, voilà, c'est...
- Ça va rejoindre, je crois, votre coup de gueule, Patrick.
- Vignal, c'est qu'il y a une violence qui est assez insensée.
- On voit la une du JD News qui met Patrick Cohen en une en accusant le service public de tous les maux.
- De l'autre côté, on a Télérama qui accuse les opposants du service public de mettre une cible.
- Et la une, c'est une cible...
Transcription générée par IA