Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » Bonjour à toutes et à tous. Vendredi 19 décembre, début des vacances scolaires, début des vacances de Noël.
- Et vous êtes peut-être nombreux à nous écouter déjà dans votre voiture.
- Vous savez que nous avons de plus en plus d'émetteurs à Sud Radio dans la zone de Rouen, Le Havre, en Normandie, qui est déjà couverte, les secteurs de Bolbert, Evreux, Pondeau-de-Mer, Bernay, Louvier, Ifto, bref, beaucoup de nouveaux émetteurs. En Bretagne, c'est à Vitré et à Saint-Malo et accessible en DAB+, avec plus de 170 émetteurs. Donc vous n'avez aucune excuse pour ne pas écouter Sud Radio.
- Voilà, j'ai dit. Cocorico.
- Pour commenter cette actualité, Alexandre Malafaille, président du think-tank Sinopia.
- Bonjour Alexandre.
- Ça fait longtemps que vous n'étiez pas venu. On est ravis de vous retrouver.
- Virginie Le Guet également, journaliste, éditorialiste politique à France Info TV.
- Bonjour.
- Arnaud Stéphan, vous êtes là tous les vendredis, fidèle au poste, fondateur de l'agence La Note de Com.
- Bonjour.
- Vous êtes spécialiste en communication politique et brise-socol, politologue, essayiste.
- Et vous avez publié avec Frédéric Dhabi, Les Charpes et les Tempêtes, aux éditions de l'Aube.
- Bonjour à vous.
- Bonjour à vous aussi, vous êtes un fidèle de l'émission.
- Alors, on va évidemment parler des agriculteurs.
- On va parler de ces barrages et que vous nous écoutez, appelez-nous et dites-nous si vous allez lever ces barrages, puisque vous avez peut-être entendu Maude Bréjon, porte-parole du gouvernement, dire que le gouvernement ne tolérerait plus, ne tolérerait pas de blocage.
- Est-ce qu'au contraire, c'est de la provoque pour vous ? Est-ce que ça vous détermine encore plus à vous mobiliser ? On vous attend, 0826 300 300.
- On va parler de nos restaurants qui sont de plus en plus nombreux à fermer.
- Dossier du Parisien, ce matin, que je vous encourage à lire.
- Et là aussi, dites-nous si les restaurants sont trop chers, pourquoi est-ce que vous allez de moins en moins au restaurant ? Et puis, on peut en parler de Jordan Bardella, c'était un petit peu le sujet de la semaine après son intervention dans l'émission Quelle Époque ? où il a été moqué pour ne pas avoir eu suffisamment de répartis.
- On en parle, où est-il victime de dénigrement ? Quelle énergie ! Quelle énergie ! Où trouve-t-il toute cette énergie ? Vous êtes moqueur.
- C'est laid, c'est laid.
- Allez, j'avais envie de commencer par cette histoire, je vous ai raconté.
- La séquence était quand même navrante.
- Alors, 0826 300 300, vous connaissez le numéro évidemment.
- Et puis, il y a cette affaire qu'on a découvert ce matin dans Le Parisien, le grand argentier de l'Elysée.
- Alors, le grand argentier, c'est celui qui s'occupe de la vaisselle, de gérer tout ce qui est vaisselle, argenterie, comme son nom l'indique.
- Le grand dîner d'État.
- Voilà.
- Et donc, c'est lui qui tient la comptabilité aussi, parce que parfois, il y a de la casse, etc.
- Eh bien, cet homme, il comparaissait hier devant le tribunal correctionnel de Paris.
- Il a dérobé plus d'une centaine de pièces de porcelaine servant à la réception des grands dîners d'État.
- Donc, c'est une histoire absolument rocambolesque.
- Effectivement, il était le mieux placé, puisque c'est lui qui comptait.
- Donc, il suffisait de subtiliser quelques pièces.
- Donc, pendant près de cinq ans, il a commencé, il a volé la vaisselle de l'Elysée.
- Il était de cheville avec un collectionneur de 30 ans et d'un autre homme, un troisième homme, compagnon de l'argentier qui était vétérinaire.
- Et l'un d'entre eux travaillait au Louvre.
- Et il a interdiction de travailler au Louvre.
- C'est invraisemblable, cette histoire, non ? Mais en tout cas, Macron qui est bavard et qui parle sur tous les sujets quasiment à tort et à travers, il ne s'est pas beaucoup exprimé sur le sujet.
- Parce que je crois qu'il était encore...
- Oui, c'est ça.
- Donc, l'affaire avait été éventée avant.
- Autrement dit, l'affaire a eu le temps d'être instruite, a eu le temps d'arriver devant la justice.
- Et tout ça, on l'apprend, je pense, par le Parisien qui lui-même l'a appris de façon totalement...
- Ce n'est pas glorieux.
- Ce n'est pas l'Elysée qui...
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