Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » Bonjour à toutes et à tous, une nouvelle semaine qui démarre lundi 15 décembre avec vous sur Sud Radio et avec Alexis Bachelet.
- Bonjour Alexis, maire adjoint à Colombe, ça fait longtemps que vous n'étiez pas venu mais je suppose que vous avez suivi l'actualité de façon assidue.
- Pascal Bataille, animateur, producteur, chef d'entreprise, bonjour Pascal, votre dernier livre, « Petit traité du silence à l'usage des gens bruyants » chez Guy Trédaniel.
- Je ne sais pas quel effet ça peut faire à Noël si on offre ça, ça dépend à qui vous l'offrez.
- Écoutez, il y a pas mal offert, ce qui me fait très plaisir évidemment, pas mal offert en cadeau et je ne sais pas si effectivement il faut prendre ça un peu comme vraiment un vrai cadeau ou un cadeau un peu empoisonné.
- Voilà, je me poserai des questions si vous me l'offriez, vous l'avez déjà offert.
- Bien, nous attendons Alex Armand, journaliste politique et nous attendons également Gilles Platret, maire de Châlons-sur-Saône qui sera avec nous évidemment.
- Nous vous attendons, auditeurs de Sud Radio, agriculteurs en particulier, vous êtes très nombreux à nous appeler tout au long de la journée.
- Sud Radio est en pointe sur l'information puisque la région sud-ouest évidemment est extrêmement touchée par cette dermatose.
- Et Christine Bouillaud.
- Est avec vous sur le terrain régulièrement et vous êtes nombreux à nous appeler.
- La colère n'a pas l'air de faiblir, la ministre pourtant est prête à des discussions.
- Qu'attendez-vous ? Est-ce que...
- Alors vendredi on nous disait que la vaccination n'était pas possible, ce matin visiblement elle l'est.
- En tout cas de nombreux blocages persistent, appelez-nous pour nous donner votre état d'esprit.
- Évidemment on va parler de l'attentat antisémite en Australie, les juifs ne sont plus en sécurité nulle part dans le monde.
- En tout cas cette...
- Cet attentat pose un certain nombre de questions et puis les français ne travaillent pas assez.
- C'est un sondage, une enquête qui nous l'apprend.
- Trois semaines de moins qu'en Allemagne, ça vous fait sourire Alexis ? Toujours.
- Toujours.
- Vous trouvez qu'on travaille assez ? Le travail c'est la santé mais il faut savoir la conserver aussi.
- Les prisonniers du boulot ne font pas de vieux os.
- Moi je voulais faire un...
- Alors je voulais faire un oyez-oyez à la population.
- Vous savez on disait manger des pommes, manger des choux-fleurs.
- C'est bon le choux-fleur.
- Vous en mangez ? Oui.
- Oui, vous Pascal ? Oui.
- Oui, le brocoli.
- C'est encore meilleur.
- Oui, moi je préfère le brocoli et le choux-fleur.
- Mais il y a une surproduction de choux-fleurs.
- Cinq groupes de la grande distribution, Auchan, Casino, Carrefour, Coopérative...
- Il fallait me le dire avant, j'en aurais acheté dimanche.
- Eh ben voilà.
- Moi je l'ai retweeté sur mes réseaux sociaux.
- Appellent les consommateurs à acheter des choux-fleurs français pour soutenir la filière qui traverse une crise grave.
- C'est-à-dire qu'avec la température il y a eu une surproduction de choux-fleurs.
- Les français n'achètent pas assez de choux-fleurs.
- C'est bon cru, cuit, avec de la béchamel.
- En potage.
- En potage, en gratin.
- On a des spécialistes là, je vois.
- Ah oui, oui, oui.
- Quand je vous dis j'en mange, j'en mange.
- On ne fait pas ça pour que vous vous fassiez plaisir.
- En taboulé, c'est très bon râpé.
- Donc achetez des choux-fleurs.
- Je ne sais pas si mon appel sera entendu, je l'espère.
- Mais il y a une surproduction.
- Et si vous voulez aider nos agriculteurs, puisque les français les soutiennent massivement, achetez des choux-fleurs.
- Voilà, c'était mon appel du jour.
- Parlons des agriculteurs avec cette colère qui ne faiblit pas.
- Je vois sur les différentes chaînes d'info en continu la colère avec de nombreux blocages contre l'abattage de nos cheptels.
- Et on a Christian en ligne qui nous appelle de Toulouse.
- Bonjour Christian.
- Bonjour.
- Bonjour, vous êtes agriculteur ? Moi maintenant je suis à la retraite, mais j'ai mon fils qui a repris, malheureusement.
- Pourquoi ? Pourquoi vous dites malheureusement ? Parce que j'ai peur de le laisser dans une galère terrible quoi.
- Là cette année, bon lui il est céréalier, cette année la vente de...
Transcription générée par IA