Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- Et bonjour à toutes et à tous, nous sommes ensemble pour une nouvelle semaine, lundi 15 septembre, 10h les débats, 11h30 l'émission Média avec Gilles Ganzmann.
- On va revenir, on va parler des To Be Free, puisque ce soir TF1 consacre une fiction à l'histoire de Philippe, le chanteur héros du groupe.
- Mais ce sera tout à l'heure, pour l'instant, nous allons commenter l'actualité et nous sommes tous un peu, les bras nous en tombent un peu ce matin.
- Bonjour Rachida Kaout, merci d'être avec nous ce matin, vous êtes conseillère municipale Renaissance à Ivry-sur-Seine.
- Alex Darmon, journaliste politique, bonjour, vous êtes également producteur et vous animez la chaîne Les Indécis sur Youtube.
- Arnaud Benedetti, professeur à la Sorbonne, rédacteur en chef de la revue Politique et Parlementaire.
- Et je rappelle votre dernier livre au portefeuille.
- Le ministre du pouvoir, RN, l'indéluctable victoire, avec un point d'interrogation qui est paru chez Michel Laffont.
- Vous êtes également à la tête du comité de soutien pour la libération de Boilem-Samsal, vous nous en direz un mot évidemment.
- Et nous attendons Julien Aubert, président de l'Institut Valmy, vice-président des Républicains et ancien député.
- Beaucoup de sujets, évidemment, les premiers pas de Sébastien Lecornu, comment faire pour plaire à la gauche sans provoquer la colère des patrons.
- Ils ont annoncé qu'ils descendraient dans la rue, qu'ils se mobiliseraient.
- Dites-nous ce que vous en pensez, 0826 300 300, la manifestation anti-immigration à Londres.
- Est-ce que vous seriez prêt à descendre dans la rue pour contester les lois immigration ? Est-ce que ce serait possible en France ? On a vu des images assez impressionnantes d'une marée humaine.
- Et puis Olivier Faure qui appelle à faire flotter des drapeaux palestiniens.
- Le 22 septembre, jour de la signature à l'ONU d'une résolution visant à reconnaître l'état de Palestine.
- La Palestine, parlons-en.
- Est-ce que la cause palestinienne aujourd'hui permet toutes les dérives ? Ce week-end, des manifestants pro-palestiniens ont empêché la dernière étape de la célèbre course cycliste, la Vuelta.
- Une honte internationale pour les uns, une leçon au monde entier pour les autres.
- Le gouvernement espagnol, le Premier ministre, lui, en est très fier.
- Néanmoins, ça revient un petit peu à certains de nos débats la semaine dernière sur l'intransigeance, sur le blocage.
- On a vu qu'on rappelle que Raphaël Antoine avait été interdit de salon du livre pour cause de propos qui n'avaient pas plu sur Gaza.
- Un chef d'orchestre israélien a interdit de concert en Belgique.
- On est dans de la censure pure et simple.
- Je vous pose la question 0826 300 300.
- Est-ce que vous avez été choqué par ces images de manifestants qui étaient très nombreux à Madrid pour empêcher cette course cycliste ? Je ne sais pas, on peut peut-être vous faire réagir, Alex ? Oui, j'ai été choqué.
- J'ai été choqué, j'ai été gêné, mais je n'ai pas été étonné.
- Parce que depuis plusieurs semaines, plusieurs mois, on voit bien que la position du gouvernement espagnol, qui est, il faut le dire, différente de la position de la mairie de Madrid.
- Le maire de Madrid, hier, demande à ce que les fauteurs de troupes...
- soient jugés et soient amenés en justice.
- Oui, j'ai été choqué parce que, bien évidemment, qu'on a le droit de manifester son soutien à la Palestine, aux Palestiniens, à Gaza, la situation qui se passe à Gaza.
- Mais on n'a pas le droit de faire n'importe quoi.
- Hier, il y a eu des sportifs de haut niveau qui ont été mis en danger.
- D'ailleurs, c'est le cas depuis trois semaines.
- Ils sont mis en danger depuis trois semaines sur toutes les étapes de la Vuelta.
- On avait demandé à l'équipe, en l'occurrence, qui n'est pas une équipe israélienne, qui est une équipe qui est détenue par un chef d'entreprise israélien, de retirer le nom du pays Israël sur le maillot, ce qu'ils ont accepté de faire.
- Et ça a été fait.
- Et même ça, ça n'a pas suffi à calmer la méchanceté, l'arrogance de ces manifestants.
- Et je vous engage à regarder les images.
- Elles sont extrêmement violentes.
- Mais je vous dis que je n'ai pas...
Transcription générée par IA