Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio. Le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- Et on est ensemble jusqu'à midi avec vous pour commenter l'actualité avec Julien Houbert, président de l'Institut Velmy, vice-président des Républicains, ancien député.
- Bonjour. Frédéric Dhabi, directeur général de l'IFOP. Vous avez publié avec Brice Socol « Parlons-nous tous la même langue » aux éditions de l'Aube.
- C'est une bonne lecture de vacances. Autre lecture possible, Noémie Alioua, « La terreur jusque sous nos draps » qui est parue chez Plon.
- Vous êtes journaliste et essayiste. Et Jean-Christophe Gallien, politologue et conseiller en communication. Bonjour à vous.
- Bonjour. Jour du verdict pour l'appel de Boilem-Samsal. On attend le verdict d'une minute à l'autre. Ça devait intervenir vers 10h.
- Ça ne devrait pas tarder. Motion de censure. Dernier avertissement pour François Bayrou. Et puis faut-il conditionner le permis des seniors à une visite médicale ? Et puis évidemment, bien d'autres.
- D'autres sujets. On pourra revenir sur la canicule, ces questions autour de la clim. Est-ce que pour 2 jours ou 3 jours de canicule, même si ces épisodes sont effectivement de plus en plus nombreux, il faut prendre des mesures ? On pourra parler de tous ces sujets avec vous.
- Coup de cœur, coup de gueule. Coup de cœur, Frédéric. Coup de cœur rapide, mais un cocorico pour les Français, autant être tennis de Wimbledon.
- Comme souvent, ils ont beaucoup de mal à Roland-Garros, mais ils brillent sur le gazon londonien.
- Pas de pression peut-être des médias. Une tristesse de voir ce grand tournoi si peu médiatisé, qui ne passe plus sur les grandes chaînes comme par le passé.
- Ça passe complètement au-dessus des radars. Mais pour les fans de tennis et les auditeurs qui nous écoutent, c'est le plus grand tournoi du monde.
- C'est le tournoi historique. Et on a Benjamin Bonzy qui a battu Medvedev, qui est un très bon joueur de gazon, et un autre Royer que je ne connaissais pas, qui a profité de l'abandon de Tsitsipas. Donc voilà, un petit cocorico qui nous sort de la politique.
- De la politique et de l'actualité.
- Et puis un coup de cœur aussi pour un joueur italien de 38 ans qui est sorti de sa retraite, Fabio Fognini, quelqu'un qui a le sang chaud et qui a poussé Alcaraz au cinquième set avec un match qui a duré 4h30 et des échanges que j'ai pu voir un petit peu ce matin.
- Oui, c'est ce que j'allais dire. Comment vous suivez ça ? Non, mais sur Internet, sur Twitter. J'ai pas eu le temps encore de lire l'équipe. Mais voilà, le match a été incroyable.
- 4h30 sur le gazon, c'est beaucoup, beaucoup. J'attends les réactions de Julien qui me regarde avec circonspection.
- À chaque fois que je vis, on parle tennis.
- Ah bon ? Et en fait, je trouve que je suis...
- Je suis pas du tout tennis.
- Non, mais Frédéric, dès qu'il peut...
- Non, mais je suis impressionné parce que moi, j'arrive pas à m'intéresser 4h à un match.
- Non.
- Encore quand c'est Roland-Garros.
- Vous avez vu la finale de Roland-Garros qui était quand même...
- Oui, j'ai vu des fragments, mais j'ai dû aller une fois dans ma vie à Roland-Garros.
- Je suis un provincial, vous savez.
- Bon, il y a beaucoup de provinciaux.
- Ben oui, il y a Roland-Garros aussi.
- Le tennis près de Marseille, ouais.
- Jean-Christophe, vous, c'est également un coup de gueule.
- Ah ouais, alors c'est moins léger, c'est moins...
- Je suis désolé, là, pour le coup, pour une fois.
- C'est une énième histoire.
- On est à Nantes, dans un tramway, au cœur de la ville de Nantes, et une jeune femme, on en a un peu assez, il est 8h30, elle dit à deux garçons qui mettent leur musique, vous savez, maintenant, sur des enceintes portables, très fortement.
- Elle rentre du boulot, certainement, à 8h30, ou en tout cas, elle rentre chez elle.
- Il fait très chaud, tout le monde est un peu fatigué.
- Et elle leur demande gentiment, apparemment, le son de leur machine, et là, ça bascule.
- Elle se fait agresser, elle se fait violemment agresser, et quelqu'un veut intervenir, et la personne, le monsieur qui veut intervenir, lui-même se fait agresser...
Transcription générée par IA