Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- Il y a sûrement un sujet sur lequel nous serons d'accord ce matin, c'est le tennis.
- Bonjour, si vous nous rejoignez, nous allons commenter l'actualité avec Nicolas Corato, président fondateur du think-tank Place de la République.
- Bonjour Valérie.
- François Monbois, président de la FEVA, de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance.
- Bonjour à vous.
- Bonjour.
- Lucas Véran, à toi, au maire de Neuilly.
- Bonjour.
- Bonjour Valérie.
- Et Jean-Claude Beaujour, qui ne devrait pas tarder à arriver, avocat et président du forum transatlantique.
- On va revenir sur la croisière qui ne s'amuse plus, celle de Rima Hassan et de Greta Thunberg.
- Israël a intercepté le bateau, la fin de la croisière Selfie, a déclaré le ministère de l'Intérieur israélien.
- Ecologie, Emmanuel Macron, en marge de ce sommet, a fait des déclarations hier dans la presse quotidienne.
- Il est en colère contre son gouvernement.
- Bref, on parlera de la dissolution.
- C'était il y a tout juste un an et Bercy qui veut s'attaquer au nombre de fonctionnaires, alors qu'il n'y en a jamais eu autant et que leur nombre n'a jamais autant augmenté.
- Vos coups de cœur, vos coups de gueule.
- Commençons peut-être par le tennis.
- J'étais étonnée qu'aucun d'entre vous n'ait choisi cela en coup de cœur.
- Mais c'est vrai que le match d'hier était absolument insensé entre Carlos Alcaraz et Yannis Sinard.
- C'est vrai qu'il y a eu près de 10 millions de personnes à un moment.
- 10 millions de téléspectateurs sur France 2 et France 3.
- 7 millions en moyenne.
- C'est vrai que ça a été assez incroyable.
- Vous l'avez regardé, Lucas Véran ? Tout à fait.
- Malheureusement, pas sur l'ensemble de la durée parce que 5h29, c'est une chose.
- C'est vrai qu'on était, non pas en mal, mais d'épopée tennistique depuis les belles années Nadal-Federer.
- Et là, en fait, s'installe une concurrence en plus empreinte d'un fair-play, d'un grand respect entre les deux joueurs.
- Les stats sont impressionnantes.
- Côté Alcaraz, plus jeune joueur à avoir gagné 5 titres de grand chelem.
- Plus jeune joueur à avoir été numéro 1 mondial, c'était quand il avait 19 ans.
- Plus jeune joueur à avoir gagné un titre de grand chelem.
- Donc, on sent qu'on est au balbutiement d'une concurrence qui va s'installer sur une décennie, qui va nous faire vivre des moments absolument incroyables.
- Et chez les femmes aussi, la finale était absolument remarquable.
- Vous avez regardé, François ? Oui, j'ai regardé. C'était magnifique.
- Ce qui m'impressionne, c'est la précision des joueurs.
- Ils envoient des balles à pratiquement 200 à l'heure, qui tombent sur la ligne.
- Et à leur niveau, c'est visé. Ils visent la ligne.
- C'était impressionnant. Nicolas ? Oui, nouvelle génération, nouvelle ère.
- Moi, ce qui me marque aussi, c'est les réactions de leurs aînés, qui sont eux-mêmes épatés par, effectivement, cette précision, l'endurance.
- Ils ont quand même joué à un très, très haut niveau pendant 5h30.
- Moi, je n'ai pas, en tant que spectateur, je ne suis pas un spécialiste du tennis, mais je n'ai pas senti, je dirais, de faiblesse, de coups de mou.
- On a l'impression qu'ils étaient toujours aussi frais qu'à la première.
- À la première minute, ce qui était un vrai plaisir pour ceux qui regardaient.
- Je ne sais pas pour ceux qui étaient sur le terrain, si c'était la même chose.
- Et oui, moi, ce qui me marque, c'est surtout, effectivement, le côté un peu ébahi des anciens joueurs de tennis quand ils regardent cette nouvelle génération.
- Oui, à Gassi en particulier.
- Et puis, un coup de cœur aussi pour l'équipe du Portugal, hier, qui a battu l'Espagne, qui a manifesté sur les Champs-Élysées et qui n'a pas eu de débordement.
- Voilà, ils ont fêté ça dans la joie, la bonne humeur.
- Il y avait moins de monde, peut-être.
- Il y avait moins de monde, il n'y avait pas de drapeau palestinien non plus.
- C'était, voilà, non, mais il y a d'autres équipes qui gagnent et qui foutent le bordel, pardon de le dire comme ça.
- Et hier, on peut dire que ça s'est fait dans la sérénité.
- Et bravo à l'équipe portugaise, donc deuxième titre hier, qui,...
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