Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Johan est avec nous, bonjour Johan.
- Ça va ? Ça va, le Marseillais ? Ça va bien, un peu grippé mais ça va.
- Un peu grippé, oui, mais bon à Marseille, la grippe passe vite.
- Oui, parce qu'elle passe aussi vite que la pluie, mais bon, quand elle passe, elle est là.
- Quand elle passe, elle est là, oui.
- Dites-moi, vous avez quitté Twitter, vous, Johan ? Pardon ? Vous avez quitté Twitter ? Oui, oui, oui, tout à fait.
- Ben pourquoi est-ce que vous avez ? Parce qu'il y a beaucoup, beaucoup de Français qui ont quitté Twitter, pourquoi ? Oui, alors en effet, il y en a beaucoup qui ont quitté le réseau, alors certains par conviction politique, suite aux positions des non-masques, ce qui peut s'entendre.
- Moi, personnellement, j'en suis parti parce que c'est un réseau que je trouve malsain.
- Oui.
- De plus en plus malsain, je suis totalement d'accord avec vous, Johan, de plus en plus malsain.
- De part, c'est son mode de fonctionnement historique, parce qu'avant, il y avait un certain nombre de caractères limités par commentaire, donc du coup, les gens étaient dans une réaction immédiate, et qui n'était pas forcément, où ils n'étaient pas forcément à l'éforme, et puis depuis que les caractères ont été levés, enfin, sa limitation de caractère a été levée, les gens sont toujours restés dans la réaction, mais maintenant, c'est encore plus virulent.
- Oui.
- Donc moi, je ne trouve pas ça, je ne trouve pas le débat très constructif là-dessus.
- Oui.
- Et donc voilà, j'ai préféré se renforcer, on ne va pas se manger le cerveau pour faire quoi.
- Moi, je peux vous dire que si je n'étais pas dans ce métier, il y a bien longtemps que je ne serais plus sur Twitter.
- Mais je regarde encore, je regarde encore, parce que pour des raisons professionnelles, mais sinon, il y a bien longtemps que j'aurais quitté Twitter, je vous le dis.
- Je vous comprends.
- Ah bah oui, oui, non mais franchement, parce que c'est un déversoir, c'est devenu un déversoir de haine.
- Oui, complètement, sur des réactions, on cherche la réaction immédiate, on cherche à faire le buzz.
- Moi, ce que je déplore, c'est qu'il y a même des politiques qui lancent leurs politiques via Twitter.
- Oui, je suis d'accord.
- Ce n'est pas le meilleur moyen de communication, clairement.
- Bon, merci Johan, et soignez-vous, mon cher Johan.
- Ah oui, merci Jean-Jacques.
- Soignez-vous, allez, on pense à vous.
- Merci.
- 5h56, est-ce que nous avons notre gagnant ? .
Transcription générée par IA