Retranscription des premières minutes :
- Les reines de France, par exemple, accouchées en public, non pas pour donner en pâture leur intimité, évidemment, mais pour s'assurer que l'enfant qui était né serait bien celui qui assurerait la continuité dynastique, qu'il n'y ait pas de substitution d'enfants.
- Il y a deux positions, ou du moins deux niveaux d'analyse, ceux qui restent au simple niveau juridique et judiciaire, et ils ont raison, la charge de la preuve n'incombe pas à Brigitte Macron.
- Et puis, il y a ceux qui, comme moi, pensent que, dans l'intérêt de la France, de mettre fin à cette rumeur en apportant une preuve massue.
- Les vraies voix sud-radio.
- Donc, je rappelle cette information, Emmanuel Macron et sa femme Brigitte vont donc présenter des photographies et des preuves scientifiques à une juridiction américaine, Philippe.
- Ça va loin, hein ? Oui, bien sûr, mais il faut voir que c'est le couple Macron lui-même qui a changé de stratégie.
- Pendant un certain temps, le couple Macron, comme le suggérait Philippe, a traité ça par l'indifférence, même s'il devait être touché intimement, voire par le mépris.
- Parce que, pour rappeler que ça existe depuis 2017, quand même.
- Et le président, il y a quelques mois, a indiqué, qu'ils avaient décidé de changer de méthode, parce que c'était devenu insupportable.
- Et donc, il avait indiqué qu'ils allaient réagir judiciairement à chacune des attaques.
- Et ce qui se passe là, évidemment, est très humiliant pour la Première Dame.
- Mais, je dirais, la conséquence logique de cette volonté présidentielle de ne plus laisser passer cette ignominie.
- Alors, la question qui se pose.
- Déjà, il faut voir d'où vient l'ignominie.
- D'ignominie, pardon.
- Condé-Sowens, je suis allé voir quelques-uns de ses états, je dirais.
- Alors, à la base, ça ne vient pas d'elle.
- Ça vient d'Amandine Roy et Natacha Ray, qui ont été d'ailleurs coupables en diffamation en première instance.
- Mais, elles ont fini Philippe et elles ont été relaxées là, au mois de juillet.
- Au nom de la liberté d'expression.
- Je te trouve hallucinant.
- Parce que, quand même, Condé-Sowens, elle a dit, pour parler de Joseph Mengele, celui qu'on appelait à Auschwitz l'ange de la mort, quand même, qui a fait des expériences.
- Enfin, non, ce n'est pas des expériences, c'est des mutilations.
- Il n'y a pas d'autre mot.
- Des massacres sur des jumeaux.
- Elle a dit que ça lui paraissait complètement absurde et que c'était de la propagande bizarre.
- Vous voyez un peu.
- Mengele, qui a fui, parce que sinon, il aurait été...
- Alors, lui, il serait passé au procès d'Auschwitz ou à Nuremberg.
- Il aurait été pendu.
- Il n'aurait eu que ce qu'il méritait.
- Mais ça, c'est mon point de vue.
- Mengele, qui a fui au Brésil, qui est mort au Brésil en 1979.
- On l'a prouvé.
- Vous parlez de Brésil Macron ? Non, mais attendez.
- Qu'une femme ose dire ça de Mengele ? Oui, mais d'accord.
- Ça veut dire que ce n'est pas quelqu'un de sérieux.
- Ça veut dire que c'est même quelqu'un de particulièrement abject.
- Moi, je crois que porter plainte, pourquoi pas ? Mais la traiter par le mépris, c'était beaucoup mieux.
- Ils l'ont fait.
- Oui, mais ils l'ont fait.
- Ça n'a fait rien.
- Pardon.
- Mais je vous en prie.
- Il y a dans ce pays, on le sait, toute une frange de la population complotiste et qui essaye toujours de faire du mal au pays, qui est parfois, d'ailleurs, orchestrée par des puissances étrangères.
- Il faut oser le dire.
- Il y a des puissances étrangères qui essayent de déstabiliser la démocratie française et, par exemple, de dire que Mme Macron est un homme et un angle d'attaque.
- La réalité, c'est qu'il n'y a pas besoin de cet angle d'attaque pour pouvoir critiquer de manière beaucoup plus saine Macron, sa politique et son entourage.
- Donc, je trouve que c'est totalement répréhensible d'attaquer Mme Macron.
- Moi, je suis clair là-dessus.
- C'est inadmissible.
- C'est complètement insensé.
- Ça fait partie de ces véhicules complotistes qui ont déstabilisé le pays.
- Et donc, à ce titre, c'était extrêmement condamnable.
- Voilà.
- S'en prendre à cette femme, c'est de la manipulation pour essayer aussi d'atteindre, évidemment, le président.
- Vous savez, j'ai regardé les antécédents.
- Bien entendu, Michelle Obama, pareil, elle...
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