Retranscription des premières minutes :
- L'Amérique change de visage aujourd'hui.
- Hello Washington and hello America. We're going to stop the invasion of our borders, we're going to reclaim our wealth and we are going to make America great again.
- And the 0826... 0826 300 300, je vais y arriver. Christian est avec nous de Béziers. Bonsoir Christian, bienvenue sur Sud Radio ce 24 décembre.
- Bonsoir et joyeux Noël à tous.
- Joyeux Noël également.
- De très bonnes fêtes aussi à vous Christian.
- Exactement.
- Sur le fait que Thierry Breton soit personnel.
- Non grata aux Etats-Unis, est-ce que ça vous choque ? Alors, il y a déjà une remarque, c'est qu'en fait, si vous voulez, on ne peut pas critiquer le choix et la position de Trump.
- Je pense qu'il a une analyse qui est assez claire et qui est assez structurée dans sa tête en regard aussi de ce qui se passe au niveau international, y compris avec la Russie et son petit chemin qu'elle veut faire avec ses pétroliers.
- Donc je crois que quand on fait une analyse, il faut la faire de façon complète.
- En ce qui concerne M. Breton, je pense qu'il devrait déjà réfléchir un tout petit peu.
- Avant d'attaquer les gens.
- Et s'il attaque effectivement les Etats-Unis, je comprends très bien que les Etats-Unis lui disent « Bah écoutez, vous nous attaquez, c'est très bien, bah restez chez vous. » Donc si vous voulez, il y a une logique à avoir et une tenue à avoir par rapport aux gens.
- Et nous, on ferait bien de prendre exemple là-dessus et aussi de traiter les affaires de l'Algérie de la même manière.
- Ça veut dire qu'on peut critiquer, c'est ça que vous dites ? Ça veut dire que quand vous critiquez...
- C'est pas ça du tout.
- Non, non, non, non.
- Je n'ai pas dit ça.
- Vous pouvez très bien être critique, mais critique constructif.
- D'accord.
- Aujourd'hui, ce n'est pas le cas de figure.
- Aujourd'hui, on est en train d'essayer de détruire les gens qui cherchent à nous aider.
- Qui nous font une analyse très claire sur une situation qui est catastrophique en France.
- Avec en plus une ingérence immense d'un Etat qui est du Sud, qui est l'Algérie.
- Vous avez vu ce qu'ils nous demandent là.
- Maintenant, ils sont en train de créer des lois en nous disant qu'on est vraiment les mauvais et les méchants.
- Soyons un petit peu logiques.
- Ces gens-là, ils ne sont pas contents qu'ils restent chez eux.
- D'accord ? Et c'est ce que vous dit Trump.
- Trump qui vous dit, vous êtes en train de vous écrouler.
- Et on ne peut pas critiquer quelqu'un qui fait une analyse claire.
- Et c'est ce qui est important.
- Maintenant, son histoire avec le Groenland, c'est un autre débat.
- C'est un débat qu'il doit avoir avec Poutine.
- Ce n'est pas avec nous qu'il doit l'avoir.
- Ah non, pour moi, c'est avec le Danemark qu'il doit l'avoir.
- Ce n'est pas avec Poutine.
- Oui, oui, oui.
- C'est un territoire danois, ce n'est pas un territoire russe.
- Je viens avec le Danemark.
- Non, mais attendez, je viens avec le Danemark, ça, il n'y a pas de souci.
- Mais à ce moment-là, demandez aussi à Poutine qu'il ait la même discussion avec le Danemark, la Suède et la Norvège.
- Et pourquoi ? Et pourquoi, à votre avis, il n'y a pas d'ingérence ? Quand on veut créer un canal qui va permettre de créer une nouvelle voie pour les pétroliers sans demander l'avis aux pays qui sont adjacents, c'est quelque chose qu'on appelle une ingérence, non ? Si c'est dans vos eaux territoriales en grande majorité, je ne vois pas tellement où est le problème.
- C'est quel canal dont vous parlez ? Si c'est dans vos eaux territoriales, vous ne voyez pas où est le problème.
- Non, pas fondamentalement, je ne sais pas.
- Si c'est dans vos eaux territoriales, vous ne voyez pas où est le problème.
- Ah, si ce sont nos eaux territoriales, oui, bien sûr.
- Mais vous parlez de quel canal ? Vous parlez de quel canal ? Je ne parle pas d'un canal, je parle d'un cheminement qui est actuellement en train de se préparer entre la Russie et la...
Transcription générée par IA