Retranscription des premières minutes :
- Les Vraies Voix Sud Radio, le coup de projecteur des vraies voix.
- Dans deux ans, au revoir monsieur dame.
- Je serai à des chenons 7, les mômes sont élevés, j'ai ma cabane en Dordogne, la retraite faut la prendre jeune.
- Faut surtout la prendre vivante.
- Oh, c'est moi ! Il est vivant ! Vous faites quoi dans la vie ? Je suis retraité, j'ai inventé l'eau tiède.
- Ah bon ? Il a rien compris.
- C'est ça.
- Et la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse assure avoir déjà mis en place plusieurs des mesures recommandées par la Cour des Comptes pour lutter contre la fraude sociale, avec par exemple la biométrie et deux agents de contrôle au consulat d'Alger pour vérifier que les pensionnés sont toujours en vie.
- Alors parlons vrai, est-ce qu'il faudrait prendre cette mesure avec l'ensemble des pays étrangers ? A la question, la CNAV a-t-elle raison de durcir les contrôles sur les retraités algériens ? Vous dites oui à 95%, vous voulez réagir ? Le 0826 300 300.
- Alors si on revient sur les chiffres, le déficit pourrait atteindre 24,1 milliards en 2028 et 22 milliards d'euros.
- Cette année résulta les magistrats de la rue Cambon.
- La trajectoire des complexes sociaux est devenue hors de contrôle, dit-elle.
- Peut-être on va se tourner vers Luc Gras.
- Aujourd'hui, effectivement, il faut trouver des solutions et enfin les solutions tombent.
- Vous savez, c'est aussi la relation entre la France et l'Algérie.
- Moi je dis toujours, quand on est dans une relation, dans un dialogue, on essaye d'améliorer les choses.
- Il y a un moment où se pose la question...
- Il y a une question où on ne peut vraiment pas s'entendre.
- Alors à ce moment-là, il faut en tirer les enseignements.
- Et à ce moment-là, cette relation évidemment privilégiée avec l'Algérie, on pose la question, est-ce qu'elle doit durer ? Si on considère que non, on arrive au stade du divorce, en fait on revient à une normalité.
- C'est-à-dire un rapport d'État à un État, c'est l'Algérie, c'est la France, ils sont respectables, mais ce sont des États.
- À ce moment-là, oui, on doit le traiter de cette manière-là et la CNAV fait très bien de faire les choses.
- Et pour finir, évidemment que la remarque de Philippe David est extrêmement...
- extrêmement pertinente, ce qu'on fait avec l'Algérie, on doit le faire avec les autres États.
- Pour ce qui est de l'Algérie, ça devrait permettre des économies entre 40 selon l'État algérien et 80 millions selon plutôt les autorités françaises.
- Mais vous imaginez si on multiplie ça avec tous les pays qui ont des ressortissants qui retournent au pays, ça fait quand même une masse.
- Et il n'y a pas de petites économies pour aider la France à rétablir ses comptes publics.
- La CNAV, pour nos auditeurs, c'est la Caisse Nationale d'Assurance Vieillesse.
- Je viens de vérifier avant de dire une bêtise.
- Moi, en fait, ça ne me choque pas qu'on contrôle les retraités algériens, mais en fait, la problématique, ce n'est pas l'Algérie, c'est le contrôle tout court.
- Tout court, oui.
- On a besoin aujourd'hui que ce soit la CNAV, que ce soit la CAF, que ce soit France Travail.
- C'est pour ça que je le dis, c'est aussi au Portugal, en Algérie, en Espagne, au Maroc.
- C'est partout, c'est partout.
- On sait qu'aujourd'hui, la dépense publique, elle est nécessaire.
- On est dans un pays qui est, je dirais, au niveau mondial, on est sur la première marche de la dépense sociale.
- Je dirais, toute dépense confondue, on peut être fier de ça.
- La problématique, c'est l'efficience.
- Est-ce que cet argent public, quelque part, consacré au bien commun, faire en sorte que des gens vivent mieux après avoir travaillé toute une vie, pour que des gens se soignent, pour que des gens...
- Les gens, et souvent les plus petits, ou même tout au long de la vie, se forment.
- Il faut juste accepter qu'il ne peut pas y avoir de distribution ou de redistribution de la richesse créée sans une forme de contrôle.
- Le contrôle, c'est la responsabilité.
- Le manque de contrôle, c'est ce que je disais tout à l'heure, c'est l'irresponsabilité dans laquelle, par naïveté, par électoralisme, par...
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