Retranscription des premières minutes :
- Sous-titrage ST' 501 La Côte et l'Arête, vous possédez plusieurs restaurants un peu partout en France et notamment du côté de Toulouse.
- Quand on est aujourd'hui dans la restauration, c'est devenu essentiel d'innover pour réussir à recruter.
- Il faut sans cesse se renouveler, se démarquer.
- Oui, tout à fait. C'est exactement ça. C'est vrai qu'aujourd'hui, le secteur est en très, très tendu.
- Aujourd'hui, on essaie d'attirer les candidats et on essaie de les attirer du mieux qu'on peut avec des choses plutôt originales.
- Et les candidats, ça marche plutôt bien.
- Et les candidats sont plutôt sensibles à ça.
- On va revenir sur ce job dating que vous avez fait en façon top chef.
- Vous allez tout nous expliquer.
- Mais d'abord, est-ce que vous vous sentez vous-même depuis quelques années sur votre groupe de restauration, qu'il est de plus en plus difficile de recruter ? C'est véritablement un défi auquel vous êtes confronté.
- Oui, c'est vraiment la cause numéro un.
- Ce qui nous occupe le plus aujourd'hui, c'est vraiment de recruter.
- Au-delà des autres problématiques qu'on peut rencontrer, c'est vrai que le recrutement, depuis l'après-midi, après Covid, ça a été notre priorité.
- C'est vrai que la crise Covid nous a fait beaucoup de mal.
- Enfin, l'après-Covid nous a fait beaucoup de mal.
- Et on s'est remis en question.
- Donc, c'est vrai qu'aujourd'hui, on essaie de trouver des solutions.
- Mais c'est vraiment notre priorité, c'est de recruter, c'est d'avoir des gens qui restent, des ressources humaines épanouies, qui restent et qui ont envie de rester et qui ont envie de s'investir.
- Donc, c'est vrai que c'est notre priorité aujourd'hui, évidemment.
- Et donc, cette année, vous avez notamment décidé d'ouvrir une centaine de postes en salle et en cuisine pour vos restaurants à Toulouse, Labège.
- Et pour recruter, vous avez donc lancé ce job dating à la sauce Top Chef.
- Racontez-nous comment ça fonctionne.
- C'est quoi les épreuves que vous avez fait passer à vos candidats ? Alors, c'était juste une seule épreuve.
- Alors, on avait pas mal de candidats.
- On faisait des petits binômes.
- C'est nous qui avons organisé et qui avons formé des binômes avec tous les candidats qui étaient disponibles et qui étaient là.
- Du coup, l'idée, c'était de leur proposer juste une petite recette.
- Ils avaient trois éléments imposés et tout un tas de petits éléments qu'ils avaient le droit d'utiliser.
- Ils étaient à côté et ils devaient nous proposer une recette.
- L'idée, c'était de faire un concours.
- Mais au-delà du concours, c'était surtout de passer un moment agréable et un moment un peu détendu avec les candidats qui se livrent du mieux qu'ils peuvent dans une ambiance un peu détendue et plutôt bon enfant, plutôt que l'entretien classique en face à face.
- Après, un concours comme ça, ça peut aussi être une source de stress.
- Je ne sais pas comment l'ont vécu ces candidats que vous aviez.
- Alors, on les a mis très, très à l'aise.
- C'est vrai qu'il n'y avait pas de stress.
- On leur a expliqué tout de suite.
- On a tout étendu les choses en leur disant qu'on n'était pas là pour juger leur capacité technique ou alors leur créativité.
- On était vraiment là pour un échange et un atelier.
- C'est vrai qu'on les a mis très à l'aise.
- On a énormément parlé avec eux.
- Et ils ont tous plutôt bien joué le jeu.
- Et puis, en fait, ils se sont pris au jeu parce que ça leur plaisait.
- Mais justement, l'émission Top Chef ayant cette renommée maintenant, aujourd'hui, ça leur a pris l'entretien de se mettre dans la peau d'un candidat.
- Mais oui, évidemment.
- Du coup, ça leur a plu.
- De se mettre dans la peau d'un candidat et de vivre ce truc.
- Donc, du coup, ils étaient bizarrement hyper détendus.
- Hyper détendus.
- En tout cas, c'est vrai que c'est une démarche plutôt originale, Jean-Louis Cateau.
- Vous pensez que la formule a permis d'attirer des profils qui n'auraient peut-être pas postulé sur des entretiens, on va dire, plus classiques ? Alors oui, la formule avait plusieurs...
- Oui, on a des gens, on a des candidats qui sont venus par curiosité.
- On a des gens qui n'étaient pas à la recherche d'un...
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