Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio Bercov dans tous ses états. Nous sommes en guerre. » « J'ai avec mon amie, on passe les portiques du métro. » « Vous avez demandé la police, ne quittez pas. » « Et là, il y a une agent de la RATP qui arrive et qui me demande nos passes Navigo. » « Je voyage toujours sans papier. » « Et là, du coup, elle m'explique en fait, ma plante est donc trop grande, c'est considéré comme un encombrant et je vais devoir payer une amie. » « Je croyais qu'on y avait droit à ça, l'article 7 de je sais pas quoi. » « En fait, c'est pas 20 euros ou 30 euros, c'est 150 euros. » « Et bien, j'ai décidé de raconter mon histoire sur Twitter. » « La RATP m'a répondu et ils m'ont plus ou moins répondu que la loi, c'était la loi. » « Mais on est en France ici ! Et il y a des lois, figurez-vous ! » « Oh non, mais c'est dingue cette histoire ! » « Nous sommes en guerre. » « Guerre, eh oui, eh oui, à tous les étages, à tous les étages. » « Et on va parler beaucoup, beaucoup du Proche-Orient aujourd'hui. » « Beaucoup du Proche-Orient, comme vous le savez. » « Le président de la République, Emmanuel Macron, reçoit Ahmed El-Jarrah. » « Plus connu sous le nom d'El-Joulani, qui est l'homme fort, qui est le président de la Syrie aujourd'hui. » « Qui a appartenu au froid de Nostra, qui a appartenu effectivement au mouvement, pas Daesh, mais très, très, très proche. » « Et qui aujourd'hui a le pouvoir. » « Et il se passe beaucoup de choses en Syrie. » « De cause à effet, je ne sais pas. » « Mais il y a actuellement des expéditions punitives sur les Druzes et sur les Alaouites. » « Sans parler des chrétiens, il se passe des choses assez graves. » « Pendant justement qu'Emmanuel Macron reçoit le président syrien, on va en parler avec Adnan Azam, un écrivain franco-syrien. » « Et nous allons aussi parler d'un drame, d'un drame terrible. » « C'est ce qui se passe avec les enfants placés. » « Alors il y en a qui sont bien placés, vous savez, les enfants, de l'aide sociale à l'enfance, effectivement. » « Mais il y a aussi la face cachée. » « Le fait pervers. » « Le fait pervers terrifiant, ce sont les réseaux de prostitution. » « Et trois départements sont aujourd'hui, trois conseils départementaux sont aujourd'hui accusés de ne pas faire leur travail. » « On va en parler longuement. » « Et puis nous allons évidemment, les pères, les luets et les bravos. » « Et puis on va parler pas seulement de la Syrie, mais aussi du Liban. » « Du Liban qui, vous savez, on parle beaucoup de libanisation, de communautarisation, etc. » « Le Liban qui survit. » « Alors qu'il est, on le disait, en état de faillite. » « Et il est aujourd'hui en état de survie. » « Mais peut-il survivre ? » « Et vous savez que la France et le Liban, il y a des liens extrêmement forts, tissés depuis des siècles. » « On va en parler avec Fouad Rouré-Helou, qui vient d'écrire un livre remarquable sur le Liban. » « A tout de suite. » « Ici Sud Radio. » « Les Français parlent au français. » « Je n'aime pas la blanquette de veau. » « Je n'aime pas la blanquette de veau. » « Sud Radio Bercov dans tous ses états. » « Ce n'est pas moi qui dois être dans tous mes états, mais tout le monde. » « Tout le monde, avec ce qui se passe avec un certain nombre de mineurs, vous savez, qui sont dans des familles défaillantes, avec énormément de problèmes, qu'elles soient de violence ou autres, ou de prédation, etc. » « Eh bien, on les place. On les place et c'est l'aide sociale à l'enfance qui est régie par les départements, » « qui doit s'en occuper, qui...
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