Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio, comment va la planète ? » « Bonjour Morada Itabouche ! » « Bonjour Jean-Marie ! » « Réalisateur de la série « Sale temps pour la planète », c'est diffusé à la fois sur France 5 et sur Rouchoya TV.
- Alors chaque semaine sur Sud Radio, vous nous emmenez à la rencontre de ceux qui luttent contre le changement climatique.
- Cette fois-ci, on part dans le Nord et on rencontre ceux qui réinventent le tourisme. » « Exactement Jean-Marie, je vous emmène loin de Paris et de sa pollution. C'est parti, on respire d'abord. » « On est au bord d'un lac à Paluel, un village situé dans le Pas-de-Calais. On souffle, on respire, à nouveau, que de l'air pur.
- Mais ce matin, j'ai une petite baguette magique et vous allez comprendre très vite pourquoi.
- Avec Pierre qui est notre guide et le gérant de cet endroit en pleine nature. » « Achak, l'équipe, allez viens. Tiens Achak. » « Si on est un tout petit peu attentif à l'environnement sonore, il y a toujours des petits oiseaux à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit où on entend toujours un petit peu la vie.
- Quand j'appelle, tu l'entends super fort. » « Et ça, c'est le bonheur en fait. C'est en permanence, c'est apaisant. C'est devenu presque rare de pouvoir se déconnecter comme ça sans aller forcément au bout du monde, aller chercher un avion à une heure de l'île ou d'Arras, d'une ville quoi. » Voilà pour le décor et l'ambiance. Maintenant, il est l'heure de partir pour des lieux et des hébergements insolites.
- Tout est regroupé sur deux ou trois hectares entre lacs et forêts. Mais pas seulement. On voyage, Jean-Marie, dans le temps et l'espace. Hop, nous voici chez les Indiens.
- » « On a le titre. » « Tipeee Navarro. On a déjà des habitués qui sont venus deux, trois fois différentes dans différents logements parce que ça leur permet de se déconnecter à 20, 30 minutes de chez eux. » « Un voyage sans empreinte carbone. » « C'est ça. C'est ça. Un voyage sans aller forcément loin par le trajet, mais loin dans sa tête et dans le ressenti. » Hop, nous voici en Ouzbékistan. Je crois que vous connaissez. Vous y êtes allés en Mongolie ou aussi en Afghanistan.
- « Donc là, c'est la yurte Altaï. » « C'est la yurte Altaï qui nous a été transmise d'un écolieu voisin de l'Aisne qui déménage en Bretagne. Donc, ils changeaient un petit peu leur infrastructure. » Ici, pas de question de dormir à l'hôtel dans une chambre climatisée. Non, que de la récup ou presque.
- « Nous, on avait comme volonté soit d'éco-construire avec des matériaux biosourcés comme la terre ou le chanvre, la chaux ou alors d'occasion comme cette yurte-là. » « On a partagé des moments privilégiés avec sa petite tribu, que ce soit en famille ou entre amis. » Chambre, je...
Transcription générée par IA