Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Bien, il est 7h56, nous sommes avec Daniel et Marie-Claude.
- Daniel d'abord, bonjour Daniel ! Bonjour Jean-Jacques.
- Bon, dites-moi, les terrasses, vous êtes dans le 15ème arrondissement de Paris, hein Daniel, c'est ça ? Absolument, oui.
- Vous allez à la terrasse le soir en ce moment, en fin d'après-midi, quel bonheur d'aller boire une bière ou autre chose.
- D'ailleurs, moi je préfère aller boire une bière un bon demi le soir, comme ça, là.
- Oui, je vous vois parfois, boulevard Montparnasse, oui, vous aimez bien.
- Vous me voyez, vous avez raison, vous me voyez au Boa, un bar qui s'appelle le Boa.
- Boulevard Montparnasse, j'y vais souvent, très souvent.
- Et dites-moi Daniel, ben venez me voir si vous me voyez.
- Venez me dire bonjour en boir une bière.
- Eh ben voilà, écoutez, je pense que là vous avez parfaitement résumé, la terrasse, c'est ça.
- C'est le côté, on va boire un pot entre copains.
- Voilà.
- Et on va profiter, et je pense que, et le confinement, ils en ont suffisamment dégusté nos cafetiers, nos restaurateurs.
- Et les interdictions de chauffer les terrasses en hiver, ils ont été des interdictions.
- Et d'interdiction en interdiction, on va encore tuer ce business, cette profession, cet endroit convivial.
- Pour l'instant non, Daniel, parce que quand il fait beau comme ça, les terrasses sont pleines.
- Donc là, je ne m'inquiète pas pour eux.
- Mais vous avez raison.
- Vous avez raison de dire, les interdictions, ça va maintenant.
- Bon, ça suffit.
- Tout à fait.
- Ça suffit.
- Alors, vous trouvez que la ville est sale ? Moi, je trouve qu'il y a eu une amélioration à Paris, non ? Vous ne trouvez pas ? Alors...
- Une petite, petite.
- La ville est sale, oui.
- Je pense que c'est l'arbre qui cache la forêt.
- Là, on commence à parler de cette histoire de terrasses bruyantes.
- Mais les réalités de la vie quotidienne à Paris, ce n'est pas la nuisance sonore des terrasses.
- Il y a bien d'autres choses.
- Oui.
- C'est-à-dire que ce chantier à ciel ouvert permanent est vivable.
- Oui.
- Ça, c'est vrai.
- C'est devenu impossible.
- Les incivilités, que ce soit entre les deux roues, entre les tickets, entre les chauffeurs, c'est devenu vraiment une jungle pour rouler, pour se déplacer.
- Et donc là, vraiment vouloir intervenir sur ce genre de la vie au quotidien des Parisiens, il y a bien d'autres sujets.
- Bon, alors, vous parliez de la propreté.
- C'est vrai.
- Alors, c'est vraiment à géométrie variable.
- Oui.
- Il y a des périodes.
- Oui.
- Je suis d'accord avec vous.
- Oui.
- D'accord.
- Oui.
- Il y a des périodes où, effectivement, on sent qu'il y a des efforts qui sont faits.
- Mais globalement, quand il a fallu la propreté au moment des JO, ça, c'est vrai que là, on a donné une belle image.
- C'est vrai.
- C'est très vite relâché.
- Merci, mon cher Daniel.
- Et venez boire un pot.
- Allez, au bois.
- Marie-Claude, très vite.
- Parce que je ne peux pas ne pas donner la parole à Marie-Claude.
- Bonjour, Marie-Claude.
- Marie-Claude, vous êtes argentin.
- Ah, argentin.
- Argentin.
- C'est beau, hein ? Ah, bah oui, c'est beau, argentin.
- Oui, vous avez...
- Au bord de la Dordogne, dites-moi.
- Au bord de la Dordogne.
- Oui.
- Ah, bah oui.
- Au-dessus d'argentin, je suis.
- Ah, bah oui.
- Oui, oui.
- Je vois.
- Alors, vous avez deux chattes.
- Vous avez entendu ? Oui.
- Cette chatte qui a survécu à une chute de 115 mètres.
- Oui, mais c'est ce que m'a dit Manu, là.
- Ah, bah oui.
- Je pensais intervenir pour la politique, mais ça ne fait rien.
- Ah, bah non.
- Alors, disons.
- Les chattes, c'est des équilibristes, hein.
- Bah oui.
- Ce sont les animaux.
- Parce que les demi-êtres.
- Ouais, mais 115 mètres, quand même.
- Ah, bah ça, il faut le faire, oui.
- Il faut le faire, c'est beau.
- Ah, oui, oui, oui.
- Vous voyez, à Cannes, on a une petite commune.
- Oui.
- Bah, je suis pauvre, mais j'ai la joie de vivre.
- Oui, je le sens à votre voix, que c'est la joie de vivre.
- Ah, ouais, ouais.
- Ah, mais je vous le dis, il y a longtemps, à la radio.
- Je vais vous dire.
- Bah, il...
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