Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio Bercov dans tous ses états, le fait du jour.
- Mais pourquoi veulent-ils le faire partir ? Pourquoi ? Je parle évidemment.
- Cet après-midi, le suspens sera à son comble.
- François Bayrou va-t-il quitter Matignon alors que c'est lui-même qui a demandé un vote de confiance ? On en parle tout de suite.
- Je suis là. Il y a eu un peu de mélange dans mes pages. Je suis un néophyte.
- Burger King.
- Donc il y a entre 200 et 400 fois 1000 millions de soleils dans le système solaire.
- Et alors après, si vous vous demandez combien il y a de galaxies comme la Voie lactée dans le système solaire, là vous en trouvez 2000 milliards, dit-on récemment.
- Mais ça veut dire qu'il n'y a pas assez de grains de sable sur la Terre pour représenter les étoiles du système, de notre univers.
- Il y a des femmes qui pèsent plus.
- Elles sont plus lourdes que d'autres.
- Moi j'ai connu dans ma vie des femmes qui pesaient plus de 100 kilos.
- Et elles aimaient nager.
- L'histoire de ces selfies, c'est l'histoire de ma vie parce que quand j'étais très jeune, il y avait des jeunes filles qui venaient me voir en disant « Est-ce que je peux faire un selfie parce que je vous adore ? » C'est-tu contre le cumul des mandats ? Non, c'est pas vrai.
- Peut-être, j'ai oublié.
- Mais un grand nombre de celles-là sont depuis venues me voir en disant « Est-ce que je peux faire un selfie ? » Parce que ma mère vous adore.
- Est-ce que vous vous êtes aperçu qu'il pleuvait ? Mais je viens de le voir, monsieur le Premier ministre.
- Vous serez de nouveau candidat au poste de Premier ministre, voire de président de la République.
- Inch'Allah.
- Ce n'est qu'un au revoir, François Bayrou, ce n'est qu'un au revoir.
- Philippe Pascoe, écoutez, on ne va pas vous présenter.
- On vous connaît, on vous reçoit toujours avec plaisir.
- Vous avez écrit « Pilleurs d'État », version 1, 2, 3.
- Vous avez vendu des centaines de milliers d'exemplaires.
- Et vous venez de ressortir aux éditions Max Milot, toujours, « Pilleurs d'État », encore et encore.
- Alors, on ne dit pas du tout que François Bayrou est un pilleur d'État.
- Mais, au fond, comment vous interprétez cette espèce de valse permanente du pire de tous les deux ans ? Je ne parlais pas de valse comme ça.
- Quoi ? Manu, si tu m'écoutes, je t'appelle Dark Vador maintenant.
- Mais ce n'est pas une valse.
- Malheureusement, c'est une bérésina.
- C'est une honte.
- On n'a jamais vu, depuis 1958, des gouvernements qui « valsaient » aussi vite et aussi souvent.
- C'est le vide sidéral.
- J'ai entendu, dans ce que vous disiez il y a deux secondes, quelqu'un qui parlait de Burger King.
- C'était mal gros.
- On est dans la politique de la malbouffe.
- C'est-à-dire que c'est du n'importe quoi.
- On ne sait pas ce qu'on mange, on ne sait pas comment on le mange, on ne sait pas ce qu'il y a comme produit.
- Mais, en temps d'entente, c'est le peuple qui l'ingurgite et c'est le peuple qui a une indigestion.
- Par contre, pendant ce temps-là, ces gens-là, eux, ils mangent bien.
- Mais alors, justement, au-delà de nos incantations et de notre colère de la vôtre, au fond, est-ce que c'est vraiment quelque chose qui ne marche plus et dont on voit comment on a atteint les limites ? Je rappelle simplement, voilà, au début, on sait très bien que le Parlement, il n'y a pas de majorité, en tout cas, il n'y a pas de parti majoritaire, il n'y a pas de formation majoritaire.
- Ils s'entendent.
- Et puis là, apparemment, encore une fois, ce qui va se passer cet après-midi, apparemment, ils s'entendent, en tout cas, les oppositions s'entendent et ils peuvent être majoritaires pour renverser le gouvernement.
- Alors, certains pensent, comme vous le savez, à la dissolution avec de prochaines élections législatives.
- Mais au fond, on se demande, mais comme ça, ça peut durer encore jusqu'à la fin du mandat de Macron, c'est-à-dire pendant un an et demi.
- C'est évident parce qu'en plus, il faut le savoir, et je le...
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