Retranscription des premières minutes :
- Le Grand Matin Sud Radio, la vérité en face, Jean-François Achilini.
- Jean-François Achilini, la vérité en face ce matin.
- Quelle question posez-vous aux auditeurs et évidemment quel sujet tout à l'heure à 9h30 ? Il y en a des débats du jour Patrick.
- La question d'abord, est-ce que vous êtes pour ou contre cette relance du service militaire volontaire que va présenter aujourd'hui à Vars ? C'est en Isère le président Emmanuel Macron.
- Beaucoup de sujets également avec cette interdiction que vous avez largement évoquée de fumer en montagne.
- Vous êtes pour, vous êtes contre, vous réagissez au 0826 300 300.
- Interdiction de fumer sur les pistes de ski ? Sur les pistes de ski, oui.
- Déjà dans les remontées c'était interdit bien sûr.
- Ces individus qui jettent le petit mégot par terre, moi ça me chagrine à chaque fois.
- Bon bref, il y a l'emprunt forcé effectivement proposé par le Parti Socialiste dans le cadre du budget.
- Forcer les riches à prêter leur argent, ça remplacerait la taxe Zucman.
- Qu'en pensez-vous ? Vous avez également le débat à 9h30 de la vérité en face.
- Nous avons invité deux sénateurs, c'est en cascade dans cette histoire de budget.
- Est-ce qu'on va revenir au 49.
- 3 ? Ça serait la blague finale.
- Ça serait une grosse blague à la fin cette histoire, parce que tout ça pour ça.
- Il avait promis le Corneu pas de 49.
- 3.
- Et c'est François Hollande qui le conseille.
- Qui le conseille désormais.
- Les socialistes ils sont aux manettes en ce moment.
- Ils décident un peu de l'appui du beau temps sur le budget.
- Allez bonne émission.
- Quand la nostalgie du 49.
- 3 part de nos politiques et plus particulièrement du Parti Socialiste.
- Un ancien président peut dire ça.
- Il ne faut jamais se priver d'une disposition constitutionnelle.
- François Hollande d'une formule a entreouvert la porte à cet éventuel retour de l'article 49.
- 3 de la constitution auquel le Premier ministre Sébastien Lecornu a promis de ne pas avoir recours pour faire passer le budget 2026.
- Et ce pour obtenir justement la non censure du Parti Socialiste.
- Quel est le constat aujourd'hui ? Le seul volet recette du budget a été rejeté à l'unanimité sauf une voix du jamais vu.
- Quant au budget de la Sécu, les sénateurs l'ont tellement transformé qu'il revient à la case départ à l'Assemblée Nationale.
- Tout est à refaire et il ne reste que 26 jours avant la date butoir pour le vote.
- Deux mois d'intenses débats budgétaires ont donc mené à une impasse totale.
- Les différents partis, à l'inverse de ce qui se pratique ailleurs en Europe, ont fait la démonstration qu'ils sont dans l'incapacité à trouver des compromis.
- C'est d'autant plus vrai que nous sommes à trois mois des élections municipales et à un an et demi de la présidentielle.
- Imaginez des candidats votant des textes contre nature à Paris et expliquant des choix contraires chez eux quand ils sont en campagne sur le terrain.
- Le compromis oui, mais pas la compromission pour des électeurs qui, dans un même temps, c'est là encore un paradoxe, aspirent majoritairement à une forme de stabilité.
- Oui à un changement de système, mais non au chaos.
- Olivier Faure a mouillé sa chemise, il faut le dire, préférant négocier pied à pied et obtenir des résultats plutôt que de censurer.
- Mais il n'aura plus rien à sortir sans le vote du budget.
- Finalement, certains socialistes se prêtent à rêver.
- Et si Sébastien Lecornu déballait le 49-3 qui a été remisé à la cave ? Mais qui va officiellement le demander à l'autre ? Le PS, au risque de se renier, ou le gouvernement, le Premier ministre, au risque d'être humilié ? Le 49-3 oui, mais à quel prix ? Bienvenue dans La Vérité en face.
- La Vérité en face Et nous sommes avec vous Lionel, vous êtes à Grasse, Lionel.
- Oui, c'est ça, bonjour à tous.
- Bonjour Grasse, il y a...
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