Retranscription des premières minutes :
- Le Conseil d'orientation des retraites parle, lui, de 6,1 milliards de déficit.
- Vous remarquerez ce que les exploits que feront Tom Cruise sur sa moto.
- Vous êtes qui, nom de Dieu ? Tom Cruise, oui, Cruise.
- Ce message se détruira dans 5 secondes.
- Nous sommes en guerre.
- Et oui, ce message ne se détruira pas en 5 secondes.
- C'est le message d'Emmanuel Macron il y a 5 ans, au moment du Covid.
- Et puis, nous sommes en guerre.
- Mais alors, quelle guerre ? Eh bien, comme je vous l'ai dit toujours, sur tous les fronts.
- Notamment celui des retraites.
- Et oui, les retraites.
- Ce n'est pas un serpent de mer.
- Ça concerne des millions et des millions et des millions de Français.
- Eh bien, pourquoi c'est si compliqué ? Pourquoi c'est une espèce de forêt, pas vierge, pas vraiment, mais qui nous occupe parce qu'on ne sait plus comment en sortir ? On va en parler avec Cyril Chabanier, qui est président de la CFTC, la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens.
- C'est vrai, ce labyrinthe des retraites, est-ce que ça va se clarifier un jour ? Et puis, nous allons parler aussi de quelque chose, ça n'a rien à voir, mais un festival de drag queens organisé à Nice, qui pose problème.
- Zizanie entre la mairie et un collectif anti-woke, qui se dit quand même que peut-être ça fait un peu beaucoup de parler d'un certain nombre de pratiques sexuelles à des enfants de 4, 5 ou 6 ans.
- On en parlera avec Ewan Poher, fondateur du collectif Eros.
- Et puis, évidemment, comme vous le savez, les huées, les bravos, les pères, évidemment, notamment Eric Coquerel, qui dit, vous voyez, ça ne va pas pour les racailles et les rodéos parce qu'il y a Tom Cruise, oui, Tom Cruise, mission impossible.
- Sauf que chez nous, ça devient mission de plus en plus possible.
- Et en seconde partie d'émission, nous allons parler d'un livre qui vient de sortir, qui fait polémique.
- Clément Vellerénal, la gauche antisémite, une haine qui vient de loin.
- Ah bon, on pensait que c'était réservé à un seul camp, l'antisémitisme, mais non.
- Apparemment, et c'est un livre qui fait polémique et nous allons en parler très longuement dans la seconde partie de l'émission.
- Mais pour le moment, au départ, quelque chose qui vous concerne, qui nous concerne tous, les retraites.
- Aujourd'hui, demain, après-demain, comment ? Ici Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états.
- Auditeurs de Sud Radio, résidents de Sud Radio, vous êtes tous concernés.
- Nous allons parler, effectivement, de quoi ? Eh bien, une espèce de terreau incognito, de terra incognito et de terreau aussi inconnu.
- La réforme des retraites, on en parle tout le temps, depuis longtemps.
- Mais de quoi ces retraites sont-elles le nom aujourd'hui ? Attention, accrochez et attachez bien vos ceintures.
- On va en parler tout de suite.
- Sud Radio Bercov, dans tous ses états.
- Le fait du jour.
- Ah là là, c'est long, la retraite.
- Ah là là, c'est long.
- Ça te rend gaga, la retraite.
- La retraite, c'est con.
- Ça, c'est Gilbert Bécaud.
- Alors, je ne sais pas si ça rend gaga, la retraite.
- Je ne sais pas si c'est con.
- En tout cas, problème posé, il concerne tout le monde.
- Tout le monde.
- Ceux qui ne sont pas encore à la retraite, ceux qui le sont.
- Et, effectivement...
- Tout le temps, depuis toujours, comment on va arranger les choses, allongement de l'âge de la retraite, cotisation, etc.
- On se bat dans ce labyrinthe.
- Bonjour, Cyril Chabanier.
- Bonjour.
- Vous êtes président de la Confédération française des travailleurs chrétiens, la CFTC.
- Et, justement, on voudrait peut-être essayer avec vous de voir un peu plus clair dans ce labyrinthe, ou dans cette forêt vierge.
- Alors, François Bayrou, je rappelle, en février, a donné jusqu'à fin mai au syndicat, donc à vous, et autres, et au patronat, pour tenter d'améliorer la très impopulaire réforme des retraites de 2023, tout en rétablissant un retour à l'équilibre financier du système pour 2030.
- 2030, c'est dans 5 ans, même moins, on va voir.
- Alors, donc, on ne va pas...
-...
Transcription générée par IA