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Dr Henri Joyeux : "Certains avaient un intérêt à me faire passer pour un anti-vaccins"

Par Benjamin Jeanjean

Alors que sa radiation professionnelle par le Conseil de l’Ordre a été annulée en appel par la chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon, le Dr Henri Joyeux était l’invité du Grand Matin Sud Radio.

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Radié par le Conseil de l’Ordre, le Dr Henri Joyeux a vu sa radiation annulée en appel par a chambre disciplinaire du Languedoc-Roussillon. Une décision qui ravit le médecin, soucieux de faire passer le message qu’il n’est pas opposé aux vaccins, contrairement à ce que certains veulent faire croire selon lui. "Je n’ai jamais été contre les vaccins. Si c’était le cas, il eut été normal que je sois radié définitivement. Par contre, un certain nombre de personnes, qui avaient un intérêt particulier, ont tout fait pour faire penser que j’étais contre les vaccins", dénonce-t-il avant de préciser son combat.

"Moi, j’étais contre les abus. Je ne suis pas contre le vaccin Ror (rougeole, rubéole, oreillons), je suis contre la vaccination contre l’hépatite B à l’âge de deux mois et contre l’apparition de cet aluminium toxique pour un enfant de deux mois. Je suis pour la vaccination contre le TTP telle qu’elle existait il n’y a encore pas si longtemps, sans aluminium ! Ça a libéré la parole de mes collègues, dont beaucoup avait la trouille de l’État et du Conseil de l’Ordre ! Cette décision donne raison non seulement à moi mais aussi aux lanceurs d’alerte qui ne doivent plus avoir peur de dire les choses quand ils les observent… L’aluminium, tant dans les vaccins que dans des produits comme les pansements gastriques, doit être supprimé !", clame-t-il.

"Beaucoup de collègues n'osent pas trop s'exprimer"

Si certains peuvent agiter le fait que la démonstration de la dangerosité de l’aluminium dans certains vaccins n’est pas encore admise par toute la communauté scientifique, le Pr Joyeux reste droit dans ses bottes. "Je l’ai prouvé scientifiquement, et la chambre disciplinaire nationale l’a vu. Une publication qui sortira en juillet prochaine démontre que quantité d’aluminium que nous injectons à un enfant de deux mois représentent quatre à cinq fois la dose toxique ! Comment un médecin peut-il injecter cette dose à un bébé de deux mois ? Parce qu’il n’est pas au courant, mais maintenant il l’est !", souligne-t-il.

D’après lui, cette décision de la chambre disciplinaire sonne comme un message clair envers toute la communauté scientifique. "Certains avaient un intérêt particulier à faire passer le Pr Joyeux pour un anti-vaccin. Qui ça ? D’une part, ceux qui sont dans la fabrication de vaccins et qui veulent les injecter à tout le monde sans distinction ni discussion, alors que c’est au médecin de juger ça, pas au Conseil de l’Ordre national ou aux experts de la ministre, qui ne connaît pas le sujet. J’ai écrit un bouquin là-dessus, sur lequel je ne touche pas de droits d’auteur, que personne n’a attaqué parce que je dis la vérité scientifique, tout simplement. (...) Beaucoup de collègues n’osant pas trop s’exprimer peuvent se dire que si Joyeux y est arrivé, pourquoi un autre n’y arriverait pas ? Mais il faut des preuves scientifiques, et si je ne les avais pas eues ou si j’étais un taliban anti-vaccins, il eut été normal que je sois radié ! (…) Je vais continuer de démontrer que l’aluminium dans les vaccins est absolument à supprimer. Nous ne sommes pas là pour faire plaisir aux laboratoires pharmaceutiques en écoulant leurs stocks contre la santé des nourrissons", conclut-il.

Réécoutez en podcast toute l’interview du Pr Henri Joyeux dans le Grand Matin Sud Radio

 

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