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Ligue des champions : le PSG, 873 M€ pour rêver encore plus grand

Alors que le PSG débute ce soir sa Ligue des champions face à l'Atalanta, le tenant du titre a investi au total 873 millions d’euros pour constituer son effectif 2025-2026. Un investissement colossal, toutefois loin derrière Chelsea et son 1,3 milliard d'euros.

PSG transferts Ligue des champions classement
Marco BERTORELLO - AFP/Archives

Dans la dernière Lettre Hebdomadaire de l'Observatoire CIES, le Paris Saint-Germain se distingue une fois de plus sur le marché global des transferts. Entre les sommes déboursées par le passé pour s'acheter les services de Dembélé, Hakimi, Marquinhos, Neves, Kvaratskhelia and co et les recrues de cet été (Chevalier et Zabarni pour 103M€), le club de la capitale a dépensé un montant total de 873 millions d’euros pour constituer son effectif actuel 2025-2026 qui tentera de conserver sa Ligue des champions décrochée en juin dernier.

Kvaratskhelia le plus cher

En moyenne, Paris a payé 48,5 millions d’euros par joueur recruté contre indemnité fixe, ce qui le place parmi les plus dépensiers en termes de coût par joueur. Parmi les joueurs de l'effectif actuel, c'est Khicha Kvaratskhelia qui a coûté le plus cher avec 70 millions d'euros d'indemnités de transfert versé la saison passée à Naples.

Le PSG, premier club non anglais

Malgré cette enveloppe faramineuse de près de 900M€, le club de la capitale française ne se classe que 7ᵉ mondial et premier club hors Angleterre dans le classement des effectifs les plus chèrement assemblés. C'est en effet Chelsea (C1) qui domine ce ranking avec 1,314 milliard d’euros investis, suivi de Manchester City (1,128M€ / engagé en C1), Manchester United (1,071M€ / ne disputera aucune coupe européenne cette saison), Liverpool (1,065M€ / C1), Arsenal (1,001M€ / C1) et Tottenham (974M€ / C1).

Le PSG devant le Real

Pour l'anecdote ou pas, le Paris Saint-Germain (qui entre en lice ce soir au Parc des princes face à l'Atalanta Bergame) devance le Real Madrid (854M€), ce qui confirme son statut de poids lourd du football mondial... mais aussi l’écart croissant entre les mastodontes de Premier League et le reste des cadors européens.

Une hausse des dépenses

Enfin, le rapport du CIES souligne une hausse de 15 % des dépenses des dix clubs les plus dépensiers par rapport à l’année précédente. Le PSG, bien qu’en dehors du podium, participe activement à cette inflation, illustrant une tendance où les ambitions sportives s’alignent de plus en plus sur des logiques financières.

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