Retranscription des premières minutes :
- Mettons-nous d'accord, d'abord, effectivement, avec Arnaud Benedetti, professeur à la Sorbonne, rédacteur en chef de la revue politique et parlementaire.
- Je rappelle votre dernier livre « Aux portes du pouvoir, RN, l'inéluctable victoire », avec un point d'interrogation qui est paru chez Michel Laffont.
- Et vous êtes également à la tête, avec d'autres, évidemment, du comité de soutien à Boilem-Samsal.
- Et évidemment, nous en reparlerons. On en a parlé toute la semaine. Et nous continuerons d'en parler autant de fois qu'il le faudra.
- Sophie de Menton, chef d'entreprise, présidente du mouvement Éthique, Mehdi Raïch, analyste politique et Gilbert Azoulay, directeur général de Newstank Éducation et journaliste pour l'hémicycle, avec une couverture assez joyeuse de politique.
- En vacances, qu'est-ce que tu votes pour les vacances ? Avec qui partiriez-vous en vacances ? Je vais vous faire le petit test dans un instant.
- Grève des contrôleurs aériens, un scandale. On peut prononcer le mot. Comment trouver 40 milliards sans augmenter les impôts ? Les profs sidérés par la baisse des exigences pour le brevet des collèges. Les parlementaires qui réfléchissent et le Sénat pour permettre au commerce d'ouvrir le 1er mai.
- Un certain nombre, ça va vous réjouir, ça, Sophie. Et puis, Cécile Collère et Jacques Paris.
- Donc, nos deux otages en Iran, otages emprisonnés, accusés d'être des espions du Mossad. Ils risquent la peine de mort. On va revenir sur tous ces sujets avec vous.
- Sophie, on commence avec vous. Un coup de gueule ? Ah non, mais un coup de gueule, un hurlement de gueule. Dans la situation dans laquelle on est, vous savez que la loi anti-Shine...
- Chine, on dit.
- On dit Chine.
- Oui, moi aussi, je disais Chine, mais c'est Chine.
- C'est le géant chinois de la face.
- D'accord, ça s'écrit S-H-E-I-N, c'est pour ça que je précise.
- Alors, qui a embauché M. Castaner comme lobbyiste.
- Je n'osais pas le dire.
- Voilà, bien sûr, on peut le dire.
- On dit Castaner, pas Castaner, alors, comme Chine.
- Voilà, Castaner.
- Voilà.
- Il y a une loi, évidemment, qui est présentée comme une victoire dans la lutte contre Chine, le géant asiatique de la mode low-cost.
- Alors, la proposition de loi, je vais vous lire ça, parce que c'est surréaliste.
- La proposition de loi s'attaque d'abord à la mode ultra...
- Éphémère.
- Il y a un nouveau mot.
- La PPL, bon, qui s'attaque à ça.
- Mais, ils ont fait tellement fort que, évidemment, ça n'épargne en aucun cas les fabricants français.
- Parce que toutes les normes qu'ils ont mises pénalisent ce secteur.
- Il faut le dire, qui marche très mal actuellement, c'est Bernard Cherki, qui est le président de l'Alliance du Commerce, qui est réuni.
- Parlez bien dans le micro, Sophie, on ne vous entend pas.
- 41, c'est rare.
- 41.
- Restez à côté.
- Bien resté là.
- C'est un début à tout.
- Non, mais c'est un secteur qui fonctionne mal, qui est concurrencé par cette fast fashion.
- Il y a une loi...
- 150 ans, c'est 41 milliards de chiffre d'affaires, etc.
- Alors, Agnès Pannier-Rulacheux veut viser la fast fashion qui inclut des anciennes comme Kiabi, Célio et Tam.
- Je veux dire, c'est quand même des...
- Voilà.
- C'est des mastodontes...
- Contre les mastodontes asiatiques, soi-disant.
- Donc, le secteur est monté au créneau.
- Il y a, alors, article 2.
- Un malus écologique pénalisant les produits considérés comme n'étant pas durables.
- Je ne répète pas, vous avez bien entendu.
- Le but étant de limiter la surconsommation des boîtes qui sont en train, des chaînes qui sont en train de faire faillite.
- C'est donc porter, évidemment, un coup à toutes celles qui exercent leur activité, principalement en France.
- Maintenant, on a inventé...
- Enfin, elles exercent en France, mais elles ne fabriquent pas en France.
- C'est bien ça, le problème.
- Le problème n'est plus là.
- De toute façon, maintenant, quand on invente un coefficient de durabilité...
- Un coefficient de durabilité...
- Avec...
- Qui va...
- Produit en 2025, 10 euros en 2030.
- Et ce coefficient est calculé selon deux critères, qui doivent être détaillés, mais ça va être détaillé.
- Le nombre de références de produits neufs.
- Hallucinant.
- Qui ne posent pas de problème aux enseignes françaises, ça.
- D'autre part, l'incitation à réparer, basée sur le rapport entre le...
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