Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le 10h midi. Mettez-vous d'accord.
- Je sais pas si on va arriver à se mettre d'accord ce vendredi matin. Allez, mettez-vous d'accord avec des thèmes qui sont concernants.
- Israël-Iran, évidemment, la guerre. Ça fait une semaine que ça dure. Trump qui temporise. Et nous avons notre président de la République qui devrait s'exprimer depuis le salon du Bourget. Le Conseil constitutionnel, tiens, qui retoque la loi Attal sur la justice des mineurs.
- Je crois qu'il y a beaucoup de choses à dire là-dessus. Nous parlerons de cette vague de démission chez les maires de France.
- C'est une enquête du Cévipof pour le compte de l'Association des maires de France.
- Alors que nos débatteurs s'installent dans le studio, je vais vous saluer.
- Bonjour, messieurs. Bonjour à vous. C'est bien, hein. Vous êtes en train d'arriver en direct. Là, c'est super. J'adore, moi, ça.
- Bon, allez, je commence par vous. Bonjour, Pascal Bataille. Bonjour, Jean-François.
- Animateur, producteur. On vous présente plus auteur du petit traité du silence à l'usage des gens bruyants parus chez Guy Trédaniel, éditeur.
- Rassurez-moi, vous avez pas à vous taire, là, pendant le...
- Non, non, non. Quand je viens chez vous, j'ose enfreindre un peu cette règle que je conseille aux plus de gens possibles, c'est-à-dire de faire régner un peu de temps.
- Moins de bruit. Moins de bruit médiatique. Plus d'écale.
- Mais j'essaie de tourner cette fois ma langue dans la bouche avant de parler.
- Bon, n'hésitez pas à faire ça à chaque fois. Vous n'avez pas le temps.
- Avec nous également, Gilbert Azoulay. Bonjour.
- Bonjour. Directeur général de News Tank Education, journaliste pour l'hémicycle.
- Oui, j'ai eu la chance de travailler avec Éric Revelle, que vous connaissez bien.
- Oui, oui. Le grand Éric Revelle, grand par la taille et par le talent.
- Je vous ai amené le dernier numéro, qui sort dans quelques jours.
- Nous avons eu droit à une distribution de l'hémicycle qui est un très beau... Comment dit-on ? Un mou.
- Un mou. Un mou, un très beau magazine qui sort tous les...
- Tous les trimestres.
- Tous les trimestres. Un trimestriel. Très, très beau. Très bien foutu.
- Et là, il y a quelques chiffres exclusifs. Une interview de Rachida Dati.
- Alors, n'en dites pas trop, parce qu'il sort dans quelques jours.
- D'accord. Ah oui, on ne dit rien. On ne dit rien.
- Et puis, j'ai eu la chance de réaliser le dossier consacré à la transition écologique et sociale chez nos futures élites. Est-ce qu'ils sont prêts à relever le défi demain ? Je vais vous faire parler du climat dans un instant. Donc aussi, gardez vos arguments.
- Avec nous, Jean-Pierre Denis. Bonjour. Bonjour.
- Bonjour.
- Bonjour. Journaliste, écrivain, poète. J'aime bien rappeler que vous êtes un poète aussi.
- Directeur de la newsletter Théopolitique. Enfin, c'est réducteur. Vous avez une carrière...
- J'ai longtemps dirigé le magazine La Vie.
- La Vie. Bien sûr. Moi, je vous ai connu à l'époque de La Vie.
- Voilà. Mais il y a une vie après La Vie. Vous voyez, c'est ça qui est bien.
- La Vie continue. La Vie continue. Voilà.
- En tout cas, il fait très bon dans votre studio. Je peux vous dire que quand on a proposé le réchauffement climatique, on se sent très bien.
- Oui, mais la climatisation démultipliée, je ne sais pas si c'est la bonne idée.
- C'est comme les data centers. Tout ça, ça bouffe de l'énergie.
- Justement, transition toute trouvée pour vous saluer, Jean-Luc Benamias.
- Bonjour. Bonjour, Jean-Luc. Vous êtes à distance, vous.
- Vous n'êtes pas dans les studios. À Marseille. Je ne sais pas si ce n'est pas tant à distance que ça.
- Non. Mais Marseille, c'est merveilleux, Jean-Luc. C'est un des plus beaux endroits du monde.
- Membre de la Ligue des droits de l'homme. Moi, je vous ai connu comme député européen jadis.
- J'ai été député européen, mais j'ai été aussi pendant 25 ans journaliste, et notamment...
- Oui.
- J'ai fait... Pendant un an et demi, deux ans, j'ai édité pour La Vie et Malzère Publications un magazine radio.
- Oui. Oui. Et maintenant, vous êtes à Marseille.
- Je suis à Marseille, oui. Je continue à faire de la politique.
- Vous êtes dans quel coin, Marseille, Jean-Luc ? Chartreux,...
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