Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio. Le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- De retour dans le studio de Sud Radio pour les débats avec vous. 08... Bah non, on prend pas d'appel. C'est un vieux réflexe qui est revenu.
- 0826 300 300. Mais vous pouvez aussi nous appeler. Mais on n'a personne au standard. Donc ça se fera dans le vide.
- Pour commenter l'actualité, Sophie de Menton, chef d'entreprise, présidente du mouvement Éthique. Samuel Laffont, porte-parole de Reconquête.
- Bonjour à tous. Julie Plattret, maire de Châlons-sur-Saône. Bonjour. Et Frédéric Fougera, président de Tencan Paris.
- Vous êtes spécialiste en communication. Vous avez publié Anthologie de la Com' aux éditions Bréal Studi-Rama.
- Dernière minute, une surveillante d'un collège blessé au couteau par un élève lors d'un contrôle à l'entrée de ce collège.
- On va en reparler, évidemment. Le bateau pour Gaza. 5 Français refusent leur expulsion et seront présentés à un juge.
- Ce blocus humanitaire à Gaza pour Emmanuel Macron est un scandale et une honte. Et Marine Le Pen qui dénonce une Europe wokiste, empire marchand ultralibéral.
- Bref, un retour aux fondamentaux du RN. Beaucoup de sujets avec vous. Beaucoup de... Je sais pas si on aura le temps de tout traiter.
- Frédéric, on va commencer avec vous. C'est un coup de cœur ? Oui, c'est un coup de cœur. Je vais un peu vous arnaquer, parce que j'ai un coup de gueule, un coup de cœur en même temps.
- Ah bon, voilà. Ça tombe bien. J'avais imaginé au départ faire un coup de gueule contre le travel ban de Donald Trump qui vient de publier une nouvelle liste de pays.
- Dont les ressortissants sont interdits de territoire. Alors il ne s'agit pas ici de contrôler l'immigration, ce qui peut parfaitement s'apprécier et s'expliquer.
- Mais tout simplement d'interdire l'accès aux États-Unis à certaines nationalités. Pour moi, c'est une humiliation de plus pour notamment des millions d'Africains.
- Et je pense particulièrement à mes amis congolais et togolais qui se voient déclarer « persona non grata », sans raison, sans avoir rien fait.
- Juste, en fait, subir la politique, des mesures politiques, mais qui ont des impacts sur les populations civiles, même si on peut parfaitement vivre sans se rendre aux États-Unis.
- Ça me permet aussi...
- En parallèle, de dire que souvent, nous, Français, nous sommes 10 millions par an à voyager hors Union européenne.
- On ne réalise pas souvent la chance qui est la nôtre de voyager sans contraintes bureaucratiques, sans visa.
- On est... Le passeport français, c'est un des passeports qui est le plus ouvert vers le monde.
- Et cette chance-là, en fait, on ne la mesure pas parce que ça nous paraît juste normal, en fait, de voyager, de passer les frontières.
- Ce qui n'est pas le cas et loin d'être le cas pour tout le monde.
- Alors j'avais un coup de cœur quand même. Je vous partage mon coup de cœur parce qu'ici, comme ailleurs, d'ailleurs, on a la gâchette facile pour les critiques.
- Mais quand il y a des bonnes nouvelles, il ne faut pas s'en priver.
- Je voulais revenir sur les retombées économiques directes des Jeux olympiques qui sont bien supérieures à ce qui a été prévu.
- Quand on parle Jeux olympiques, on parle souvent budget, on parle souvent catastrophe économique.
- Là, c'est plus d'ailleurs de probablement plus de 76 millions d'euros qui seront reversés aux sports français en économie directe.
- Je dis probablement parce que les comptes s'arrêteront seulement à la fin du mois.
- Donc il y aura encore peut-être quelques rentrées.
- Mais c'est quoi ces bénéfices, d'ailleurs ? Ce sont les bénéfices directs du merchandising, des places, de tout ce qu'ont généré en entrée directe les Jeux olympiques.
- Alors après, il y a des bénéfices indirects. Il y a aussi des coûts qui ne sont pas forcément associés à ça.
- Mais en tout cas, ça, c'est de l'argent direct qui va en pourpartie au comité...
- Au sport ? Qui va 100% au sport. C'est le contrat qui est passé avec le comité d'organisation.
- Ça va en partie au comité national olympique, en partie au comité international olympique qui a dit qu'il allait en reverser à la France.
- Mais ça, on verra.
- Et puis c'est supposé...
- C'est...
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