Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- Les débats avec vous et avec Pascal Bataille, animateur, producteur, chef d'entreprise.
- Vous avez publié « Petit traité du silence à l'usage des gens bruyants ».
- C'est paru chez Guy Trédaniel. Je rappelle que vous co-animez également « Y'a que la vérité qui compte » J'allais dire le rideau, c'est comme ça souvent.
- « Y'a que la vérité qui compte » avec Laurent Fontaine et qu'on va vous retrouver à la rentrée sur W9.
- Julien Aubert, président de l'Institut Valmy, vous êtes ancien député, mais vous êtes également à la Cour des comptes.
- Oui.
- Oui, il ne fallait pas le dire.
- Il ne fallait pas le dire.
- Vous avez le droit de le dire.
- Je l'ai dit.
- Alex Darmon, journaliste politique.
- On vous retrouve tous les vendredis dans « La vérité en face » chez Patrick Roger.
- Vous êtes face à Éric Tegner.
- Et également, on peut vous suivre sur...
- Sur YouTube.
- Les Indécis, c'est le nom de votre chaîne de débats politiques.
- Très bonne chaîne.
- Oui, oui.
- C'est gentil, merci beaucoup.
- Mehdi Raïch, analyste politique.
- Merci à vous d'être là.
- On va...
- Pas mal de sujets.
- Il y a évidemment les agriculteurs qui sont mobilisés, les tracteurs devant l'Assemblée nationale avec cette proposition de loi qui fait beaucoup réagir avec énormément d'amendements.
- La fin de vie, le délit d'entrave, le sabotage à casse.
- Yann, ce week-end, Yannis, des anarchistes revendiquent le sabotage des pylônes et ces coupures d'électricité.
- Et puis la lettre de la mère d'Elias, ce jeune garçon tué, assassiné, porte d'Orléans il y a quelques semaines.
- Et elle interroge sur les responsabilités.
- Puis on va parler de la gifle, de la gifle, enfin, de la gifle-gate.
- C'est quand même le sujet ce matin.
- Alors, est-ce qu'on doit en parler ou pas ? Oui, on doit en parler avec vous.
- Mais on va commencer avec vos coups de cœur et vos coups de gueule.
- Vous me permettez un coup de coeur ? Un coup de coeur pour l'hommage à Raphaël Nadal.
- J'ai trouvé qu'hier, les images étaient absolument incroyables à Roland-Garros.
- Je ne suis pas une grande passionnée de tennis.
- Néanmoins, j'ai trouvé que cette image était...
- Changeait de l'époque.
- C'est-à-dire qu'on avait l'image vraiment de sportif fair-play, d'un Raphaël Nadal très ému, d'un grand champion, entouré de grands champions.
- Je ne sais pas si vous avez vu l'image.
- Si, si, si, j'ai regardé.
- Moi, je suis fan de tennis en plus.
- Non, mais ceux-là, je les aime, moi, Nadal.
- Le fédéraire, tous ceux-là, oui, ils sont...
- Non, mais puis vous aviez Muray, effectivement, avec Djokovic.
- L'image était incroyable sur le cours.
- Et puis même le geste, le fait de laisser une trace à vie sur ce Roland-Garros.
- Il a quand même remporté 14 fois Roland-Garros, Raphaël Nadal.
- Je ne sais pas si on se rend compte de ce que ça représente.
- Je pense que c'est dans les plus grands exploits sportifs de l'histoire.
- Ah oui, vraiment, vraiment.
- Et qui est minoré.
- Je trouve qu'il est vraiment minoré.
- Donc oui, les images étaient superbes.
- Et puis c'était un vrai moment de communion.
- C'était un vrai bel hommage.
- C'était chic, c'était digne.
- C'était classe.
- Voilà, classe.
- Il y a une photo, on les voit tous les quatre ensemble, Muray, Djokovic, fédéraire et Nadal.
- Et la photo, elle est vraiment classe.
- Tous en costume, c'est vraiment très beau.
- Et c'est vrai que le 14 Roland-Garros qu'il a connu en grand chème, 21, quelque chose comme ça, c'est encore mieux de lui donner la trace dans le sol pour l'éternité de Châtrier que de renommer le Châtrier.
- Oui, que de donner son nom au Châtrier, qui a été compliqué.
- C'est le roi de l'ocre.
- Pour l'éternité, il sera le roi de l'ocre.
- Oui.
- C'est exceptionnel.
- Non, vous n'avez pas vu.
- Moi, j'ai beaucoup nommé hier.
- Effectivement, c'est quand même une légende qui part.
- Et je pense que c'était important de le faire de manière très élégante.
- Oui.
- C'est la France.
- Ce qui est beau, c'est cette image de fair play.
- Oui, c'est ça.
- Il y a de moins en moins de sports qui donnent cette image-là.
- Il y a encore...
Transcription générée par IA