Retranscription des premières minutes :
- Mettons-nous d'accord aujourd'hui avec Arnaud Stéphan. Bonjour. Bonjour.
- Vous êtes fondateur de l'agence La Note de Com. Régis de Castelnau, vous avez publié une justice politique aux éditions L'Artilleur.
- Vous êtes membre de la rédaction de France Populaire. Et on vous retrouve sur votre blogue Vue du droit.
- Et Mathis Braska est avec nous également, responsable du développement de Toutes à l'école.
- C'est la formidable association de Tina Kieffer qui a fondé, créé une école pour les petites filles défavorisées au Cambodge.
- Vous pouvez aller vous voir sur le site de la fondation. Je rappelle qu'elle a commencé avec des petites filles en maternelle, toutes petites.
- Et qu'aujourd'hui, on a des filles qui font HEC, qui vont étudier un peu partout. Et c'est une vraie réussite.
- 1700 filles aujourd'hui. 1700 filles.
- Incroyable.
- Et si vous avez envie d'aider l'association, en ce moment, vous pouvez faire des cagnottes sur Tribi.
- Et un pourcentage... C'est un partenaire. Un pourcentage des cagnottes revient à l'association.
- Des grands projets environnementaux et aussi des projets pédagogiques pour changer un peu leur destin.
- Ce sera mon coup de cœur du jour. Voilà. Pour Toutes à l'école, on est un projet formidable.
- Virginie Leguet, journaliste, éditorialiste politique à France Info. Pas encore à Sud Radio.
- Bonjour, Valérie. Bonjour à tous. Bonjour.
- Et voilà. On va parler de différents sujets qui font l'actualité.
- Gérald Darmanin qui propose de supprimer l'argent liquide pour lutter contre le trafic de drogue.
- Bruno Retailleau qui, dans les sondages, est en train de prendre un petit peu plus d'importance.
- Les agriculteurs en colère. Bref, beaucoup de sujets. Et puis vos coups de cœur, vos coups de gueule qui vont nous permettre de débattre également de sujets qui vous ont marqués dans l'actualité. Bah Régis, on va commencer... Je sais pas si on commence avec vous.
- Je crois qu'on est obligés. S'il nous reste 2 minutes, alors allons-y. 3 minutes. Régis de Castelnau, votre coup de gueule.
- 3 minutes.
- 3 minutes. Alors je fais juste un petit préalable. Interdiction de me faire rire, hein, parce que je suis malade, là.
- D'accord. Donc j'ai beaucoup toussé. J'ai beaucoup toussé, donc j'ai des courbatures.
- Donc c'est tout à fait insupportable, donc ne pas rire. Alors je voulais dire du mal de Sandrine Rousseau, ce qui n'est pas très compliqué, parce qu'elle passe son temps à faire de la provocation. Là, elle a fait un débat avec Dupond-Moretti en disant que manger de la viande, c'était boire du sang, ce qui est grotesque.
- C'est typiquement absurde. La viande rouge, ben oui, c'est à cause de la myoglobine qui, avec le fer, se transforme en rouge.
- Mais enfin, les poules qui ont du sang aussi, c'est blanc, ou vaguement gris. Le veau, c'est blanc. C'est le genre de provocation qui finit par devenir très fréquente.
- Et elle avait été face à des agriculteurs, et en particulier un vigneron, qui avait fini par s'énerver et lui dire...
- Va faire ta soupe, salope ! Bon. Il a été... Elle a poursuivi, bien sûr. Il a été condamné, bien sûr, oui.
- Il a été condamné, mais il a été condamné à juste titre. Il a été condamné parce que salope, c'est une injure publique.
- Mais moyennant quoi ? Elle vient sur le terrain en ne mesurant pas la violence que constitue cette présence permanente pour donner des leçons au gueux, présence permanente sur toutes les chaînes.
- Alors on a aussi les acteurs qui viennent vous faire des cours de morale en permanence.
- Et là, derrière, elle a menti. Elle a menti en disant que cette décision de justice était une grande victoire sur les femmes parce que le tribunal avait dit qu'on ne devait pas envoyer les femmes à la cuisine faire la soupe. C'est faux. C'est faux.
- D'abord, la peine a été très légère, puisque c'était une amende avec sursis. Et effectivement, c'était bien une injure publique.
- En revanche, le tribunal ne s'est évidemment pas promis.
- Il a été prononcé sur la place des femmes à la cuisine. Ce genre de choses, moi, me choque parce que ce décalage, ce déséquilibre entre des gens qui ont pignon sur rue en permanence et tout leur est ouvert pour s'exprimer...
Transcription générée par IA