Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » « Mettons-nous d'accord aujourd'hui avec Alexandra Spiner, enseignante déléguée spéciale en charge du décrochage scolaire à la région Île-de-France. Bonjour. » « Bonjour Valérie, bonjour à tous et à toutes. » « Jean-Luc Benamias, membre de la Ligue des droits de l'homme, ancien membre du Conseil économique, social et environnemental. Bonjour Jean-Luc. » « Bonjour à tout le monde. » « Charles Allonc, le député de l'Hérault, porte-parole de l'UDR. Bonjour. » « Et Marie-Ève Malouine, vous êtes journaliste politique, éditorialiste à la revue Politique et Parlementaire. Bonjour à vous. » « On va revenir évidemment sur ce rapport sur les frères musulmans. On va revenir sur notre sondage IFOP. Est-ce que Bruno Retailleau peut capitaliser à droite et rassembler autour des LR ? » « Bref, pas mal de sujets avec vous. Vos coups de cœur, vos coups de gueule. » « On va commencer par vous. » « On va commencer avec vous, Jean-Luc Benamias. » « C'est un coup de gueule, même si le terme est impropre. Sur l'état de famille d'un Gaza. On en parle de plus en plus, heureusement d'ailleurs. Mais ça ne règle pas le problème.
- Il est grand temps, de mon point de vue, que la communauté internationale, l'Union européenne, l'ONU, d'autres pays interviennent et permettent de nourrir ces centaines de milliers de personnes qui meurent de faim.
- De plus en plus sur nos différents pays. » « Sur nos différentes chaînes d'info et sur nos grandes chaînes, on s'aperçoit que l'état de famille est complet. » « Alors, quelle source ? Parce que moi, je vois beaucoup de choses sur les réseaux où c'est compliqué de voir et de savoir exactement quelle est la situation puisqu'il n'y a pas de journalistes qui peuvent entrer à Gaza. » « Valérie, je parlais du reportage sur France 2 hier. » « Oui, oui, je n'ai pas vu ce reportage. Mais j'ai vu, moi, des images. Alors, est-ce qu'elles sont fausses ou pas, comme cette une de l'Humanité la semaine dernière qui nous montrait un enfant ? » « C'est un enfant totalement squelettique et qui est un enfant qui est malade, qui a une forme de mucoviscidose. » « Je ne parle pas de ça. Je parle vraiment... » « Oui, oui, non, mais on a vu des images. Je n'y pas du tout la situation absolument dramatique. Mais on a vu des images aussi de supermarchés qui étaient achalandés. Donc, je ne sais pas où est l'intox dans tout ça. Mais j'entends ce que vous dites. » « Je pense qu'on a dépassé très largement le stade de l'intox. Sérieusement. Ou alors, les journalistes de France 2 et de France Télévisions... » « Vous reconnaissez donc... » « Vous reconnaissez donc qu'il y avait de l'intox. C'est déjà un bon départ. » « Pardon ? » « Vous reconnaissez donc qu'il y avait de l'intox. » « Non, mais du tout, je... » « Si vous dites qu'on est bien au-delà de l'intox. Donc, pour être bien au-delà de l'intox, faut-il qu'il y ait eu un tox. » « Non, mais l'intox, c'est... Je ne vous apprends rien sur le fait qu'il existe des fausses infos et des vraies infos. » « Absolument. D'accord. » « Surtout sur Gaza, oui. » « Mais en tout cas... » « Non, pas surtout sur Gaza, sur l'ensemble de la situation internationale. » « Situation internationale. » « C'est vraiment compliqué, en tout cas, de toute façon. » « Il y a de l'intox entre la guerre et l'intervention russe atroce en Ukraine. Il y a aussi de l'intox. » « C'est évidemment qu'on vit dans un monde où l'intox existe. » « Mais à ce niveau-là, de famine réelle sur un territoire où il y a 2 millions de personnes, ça existe où d'ailleurs ? » « Par ailleurs, ça existe sans doute au Soudan en ce moment. » « Oui, au Soudan. Au Soudan, dans un certain nombre de pays en guerre. » « C'est une guerre et que toutes les guerres sont... Enfin, c'est une espèce de la palissade, mais...
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