Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio Bercov dans tous ses états, le fait du jour.
- Journaliste pour ta première page, tu peux écrire tout ce que tu veux, je t'offre un titre formidable, la balade des gens heureux.
- Il est magnifique Gérard Lenormand, tu peux journaliste, tu peux écrire tout ce que tu veux.
- Tu peux écrire tout ce que tu veux, c'est bien ça.
- Pour un certain nombre de journalistes dans le monde entier, quand on leur dit tu peux écrire tout ce que tu veux, alors c'est une nouveauté.
- C'est bien, c'est bien, c'est bien, c'est bien.
- Mais j'ai l'impression que c'est un peu nouveau.
- Parce qu'écrire ce qu'on veut dans certains pays, et pas seulement dans des pays dictatoriaux, ça peut amener et susciter quelques appels pas si démocratiques que ça.
- Mais voilà ce que dit Marx.
- Lui, sur les messages sur les réseaux sociaux avant-hier, nous allons débarrasser les fact-checkers, vous savez, c'est les contrôleurs d'informations, et les remplacer par des notes de la communauté similaire à celle de X, en commençant par les Etats-Unis.
- Voilà. Je rappelle, très rapidement, Facebook s'est mis en place en 2016, quelques mois seulement après la première élection de Donald Trump, en 2016, un dispositif de vérification par des tiers des informations partagées sur ces plateformes.
- Destiné à lutter contre les « fake news », ce programme, écoutez-moi bien, éditeur de Sud Radio, résident de Sud Radio, se rémunère plus de 80 médias à travers le monde, dont l'agence France Presse, dans l'Hexagone, et ABC News, la société de presse aux Etats-Unis.
- Donc, l'agence France Presse était en partie financée par Mark Zuckerberg et Facebook.
- Alors, ce qu'il dit, évidemment, il, en fait, il, en fait...
- Il change un tout petit peu de... Il retourne un peu sa veste, le fondateur de Facebook.
- Les récentes élections donnent l'impression d'un point de basculement culturel vers une nouvelle priorité accordée à...
- Tenez-moi bien à la liberté de parole.
- Alors, avant de critiquer les gouvernements et les médias traditionnels qui auraient poussé à censurer de plus en plus, c'est ce que dit Mark Zuckerberg.
- Les médias et les gouvernements traditionnels nous ont poussé à censurer de plus en plus.
- Un sacré changement sémantique, il faut le dire.
- Mais il ne s'arrête pas là, Mark Zuckerberg.
- Il dit qu'il allait supprimer certaines politiques de modération sur des sujets tels que l'immigration et le genre, qui se voulaient à l'origine inclusives, mais qui ont été, j'utilise toujours les paroles de Zuckerberg, qui ont été utilisées pour étoffer des opinions contraires.
- C'est allé trop loin.
- Voilà.
- Donc, attention, les systèmes de modération automatisés sur l'évaluation de grande gravité et tout ça, voilà.
- On va recontrôler les algorithmes, etc.
- Et il dit...
- Il termine là-dessus.
- Il n'y a plus de mauvaises...
- Il y a trop de...
- Il n'y aura plus de mauvaises choses sur Facebook et Instagram.
- La réalité, c'est un compromis.
- Nous allons intercepter moins de mauvais contenus, mais nous allons aussi réduire le nombre de comptes et...
Transcription générée par IA