Retranscription des premières minutes :
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- GS 27 présente...
- Sud Radio, on parle auto, Classique Cars.
- Et avant de parler de Classique Cars, je vous annonce quand même que nous allons, avant la fin de cette chronique, comme nous disons dans le langage radiophonique, vous offrir une entrée pour ce classique festival qui se joue à Anneau-Garros.
- Et on va en parler avec l'un des trois mousquetaires présents cette année.
- Bonjour Bernard Darniche.
- Bonjour Bernard.
- Bonjour à tous.
- Ça fait plaisir de vous entendre l'ami Bernard.
- Bernard, 20 ans, alors c'est moi qui fais le pitch.
- 20 ans de carrière, 45 victoires en championnat de France, 24 victoires en championnat d'Europe et 7 victoires en championnat du monde, triple champion de France et double champion d'Europe des rallies.
- Je ne dis pas tout parce qu'on aura toutes les missions.
- Et puis il y a une question, et je la posais maintenant.
- Et quel était le surnom...
- de Bernard Darniche quand il courait ? Était-ce 1. l'alluge ? Était-ce 2. le cajot ? 0826 300 300 0826 300 300 Aude vous attend, la première personne qui a la bonne réponse.
- Elle est sympa Bernard.
- Vous le connaissez bien.
- Ça me plaît bien le cajot moi.
- Vous savez ce qu'on dit, c'est simplement parce qu'il faut que la réponse soit évidente pour que le maximum de gens puissent tenter de gagner.
- Bernard.
- Donc la semaine prochaine, vous serez évidemment au classique festival de Nogaro puisque vous faites partie des invités d'honneur avec Jean Ragnotti et Jean-Claude Andruet.
- Tous les trois, vous avez un point commun, c'est que vous avez roulé sur les Alpines à la grande époque, en fait les 70 ans d'Alpine.
- Non, non, il faut remettre les choses en place.
- Jean-Claude Ragnotti n'a jamais roulé sur Alpine.
- Ah oui, c'est vrai, il était sur Renault.
- C'est vrai qu'il a été sur Renault.
- Bon alors, Alpine, parce que moi quand j'étais gamin...
- Je vous l'ai raconté, Bernard, mais quand je passais mon permis de conduire, mon meilleur copain, chaque fois que je revenais de l'auto-école, me disait alors Darniche ou pas Darniche ? Genre, bon, est-ce que t'as bien conduit ou pas bien conduit ? Ça rigole bien.
- Alors je vais quand même vous dire aussi que vous pouvez jouer par SMS.
- J'ai oublié de le dire, excusez-moi.
- Merci à Djamel, notre réalisateur, de le repréciser.
- Donc il y a le téléphone ou participation au jeu par SMS.
- Vous pouvez composer Sud au 7-20-18.
- Voilà, vous composez Sud au 7-20-18.
- 7-20-18 par SMS.
- Je vous rappelle la question.
- Quel était le surnom de Bernard Darniche ? Ça fait beaucoup rire ça, l'ami Jean-Luc.
- Était-ce l'un en 72, surtout l'alluge, ou deux, le cajot ? Bon, allez, Bernard.
- Donc pour revenir, on va comprendre pourquoi d'ailleurs le surnom.
- L'Alpine A110, avec les nombreuses victoires.
- Mais surtout, c'était une voiture hors du temps.
- Et à l'époque, vous ne faisiez pas que de la course automobile.
- Vous fendiez la poire en permanence.
- C'est ce que j'ai eu le sentiment.
- C'est de ça qu'on en a parlé.
- Oui.
- En fait, la véritable équipe alpine championne du monde en 1973, c'était le regretté Jean-Luc Therrier, Jean-Pierre Nicolas, qui est toujours bien vivant, en bonne santé, et Dieu merci, et puis moi-même.
- Donc on avait une consigne très précise de la part de Jacques Chénis, notre patron.
- Vous faites ce que vous voulez.
- Je ne veux pas entendre parler de vous, mais vous me ramenez le championnat du monde en fin d'année.
- Et donc, on s'était mis dans une logique de cohésion absolue, tous les trois.
- Peu importe celui qui était devant.
- Ou celui qui était derrière.
- Il fallait ramener des points.
- On était vraiment dans cette chasse aux points pour ramener ce titre de champion du monde à Alpine en fin d'année.
- C'était notre seule préoccupation.
- Et entre tout ça, on avait quartier libre, on faisait ce qu'on voulait.
- Alors, on n'était pas sérieux à côté de la voiture, mais dans la voiture, on était plus que sérieux.
- Voilà.
- Je me souviens d'avoir interrogé il y...
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