Retranscription des premières minutes :
- Vous avez entendu dire aux Français, vous avez un sentiment d'insécurité.
- Ce que notre nation vit, c'est un sentiment d'insécurité.
- Si nous voulons répondre au sentiment d'insécurité...
- Quand j'aurai fini, je réfléchirai à la suite.
- Non, non, non, c'est pas la peine, merci.
- Nous sommes en guerre.
- Très bon teasing de Julien Delmas, il faut le dire.
- Vous avez entendu qui ? Vous avez entendu notre guide suprême.
- Évidemment, qui hier était pendant trois heures et demie.
- Exploit quand même, exploit sur TF1.
- Pour répondre aux questions d'un certain nombre d'experts, et puis de téléspectateurs.
- Les téléspectateurs, on va en parler, qui n'étaient pas toujours très, très, très roses et très heureux.
- Alors, nous allons parler évidemment de cela.
- Nous allons parler aussi de quelque chose de très grave.
- Ces agressions qui, non seulement se multiplient, mais deviennent complètement ahurissantes sur les pompiers.
- Les pompiers, ils sont là pour sauver des vies.
- Ils sont là sans armes, ils viennent pour sauver.
- Et puis, ils se font maintenant caillasser, agresser.
- Tabasser, et ça va même jusqu'à la mort.
- Qu'est-ce qui se passe encore une fois ? Qu'est-ce que c'est que cet ensauvagement ? Et de quoi est-il le nom ? On va en parler.
- Et puis, on va parler aussi, évidemment, on en a parlé hier avec Emmanuel Macron.
- Et notamment, on lui a posé beaucoup de questions sur les dépenses publiques.
- Et on va avoir Daniel Fidou, qui est ancien conseiller au ministère des Finances.
- Alors, les dépenses publiques, vous savez, c'est la question lancinante.
- Chez Experian, qu'on pose depuis des années, des dizaines d'années, où va notre argent ? Où va nos impôts ? Où ils vont ? Eh bien, écoutez, on va essayer d'y répondre et vous allez voir, c'est assez hallucinant.
- Et puis, on va parler des dealers, qui sont un peu partout, mais qui deviennent très, très, très hommes d'affaires, très marketing.
- On va parler des agressions dans les églises.
- On va parler des journalistes aussi, des journalistes qui, beaucoup, font très bien leur métier.
- Ils ont besoin de se défendre contre, peut-être, une bureaucratie, quelque part.
- Et enfin, en seconde partie de l'émission, Aram Mardi-Rossian va nous parler des Arméniens, de ce qui se passait à l'Artsak, dans le Haut-Karabakh et en Arménie.
- Un livre très fort, ne meurt que les pleutres.
- A tout de suite.
- Ici Sud Radio.
- Les Français parlent au français.
- Je n'aime pas la blanquette de veau.
- Sud Radio.
- Et hier, au pic de l'audience, vous étiez quand même près de 6 millions, 5 millions, 700 milles à écouter Emmanuel Macron sur TF1.
- Ça a duré de 8 heures à, de 20 heures à 11h30, 3h30 d'échange.
- On va en parler très peu.
- Vous avez tous les commentaires depuis ce matin divers et variés.
- Mais on va entendre.
- Écoutez, d'abord, c'était très intéressant.
- TF1 a commencé par un petit micro-trottoir.
- Qui était, en tout cas, significatif.
- D'après eux, un TF1 n'est pas une chaîne d'un cauchisme exacerbé ou d'un droitisme terrifiant.
- Donc, écoutez ce que disait un certain nombre de citoyens français.
- Elle a ruiné la France.
- Si on gérait, nous, nos budgets ménages comme il gère le budget de la France, on serait depuis longtemps interdits bancaires.
- C'est ce que le citoyen, il a été entendu depuis le Covid.
- Qu'est-ce qui a été amélioré, à part nous prendre du pognon ? Le monde est plus dur à l'extérieur.
- Mais je trouve que nous, on a beaucoup de chance d'être dans ce pays.
- On a des services publics performants.
- On est bien pris en charge en termes de santé.
- C'est un président qui ne nous voit pas, qui a du mépris.
- Est-ce que vous êtes optimiste pour la France ? Non, pas du tout.
- Avec un président qui veut pratiquement nous envoyer en guerre.
- Moi, je suis vraiment inquiète.
- Parce que je trouve que la France se préoccupe trop des affaires qui ne nous regardent pas.
- Au lieu de se concentrer sur notre propre pays.
- Il faut sauver la France aussi.
- Et voilà, c'est pas facile.
- Certains disaient, évidemment, ils n'ont pas tort.
- La France.
- Ça va, c'est quand même un beau pays.
- Mais les autres sont vraiment...
Transcription générée par IA