Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, faut que ça change, depuis le salon HLM 2025, avec SAMV, votre assistant en mobilité quand vous n'avez plus d'ascenseur partout en France.
- Bienvenue sur Sud Radio pour cette émission spéciale, faut que ça change en duplex depuis le congrès national HLM 2025 ici à la porte de Versailles.
- On est accueillis par notre partenaire, les solutions d'assistance à mobilité verticale, SAMV, merci à eux, avec pour occasion spéciale une charte des bonnes pratiques sur l'inclusion à tous les étages.
- Vous savez, l'inclusion dans le logement, c'est lorsque vous êtes en capacité de pouvoir profiter de votre logement, que vous soyez en malade ou en situation de handicap, sans couture, sans rupture de votre parcours.
- Un ascenseur, par exemple, qui est en panne, c'est notamment ce que vise à raconter cette charte et à engager les acteurs qui signent cette charte.
- De sorte à ce que vous ne connaissiez plus les ascenseurs en panne, de sorte à ce que vous ne connaissiez plus les dégradations qui vous empêchent d'accéder à votre logement, de sorte aussi à ce que vous puissiez profiter de votre logement quand, au cours de votre vie, votre handicap vous impacte et impacte votre quotidien.
- Autour de la table, j'ai le plaisir d'accueillir Liliane Morellec. Bonsoir à vous.
- Bonsoir.
- Vous êtes représentante régionale de l'Île-de-France, d'APF France Handicap.
- Et on va parler notamment avec vous de cette, justement, charte des bonnes pratiques que votre présidente a signée ici même sur, je le disais, le stand des SAMV lors de ce congrès HLM 2025 à la porte de Versailles.
- Avec nous également Aurélie Cormain. Je commence par les femmes. Bonsoir à vous.
- Bonsoir.
- Vous êtes en charge du déploiement d'une solution à l'échelle nationale qui s'appelle Handicap Logement.
- Et je reviendrai juste après vers vous pour savoir exactement ce qu'il en retourne.
- Et puis, Francisco Garcia Canelo. Bonsoir à vous.
- Bonjour.
- Plus près du micro, s'il vous plaît.
- Vous êtes du coup président du collectif Plus Sans Ascenseur.
- Et vous avez une activité assez militante pour qu'il n'y ait plus, justement, de rupture de parcours en ascenseur.
- Alors ce soir, émission un peu spéciale. Je vous le disais, il n'y aura pas de témoignages dans la vraie vie.
- Je suis désolé. On ne fera pas non plus la story de la semaine parce qu'on va traiter de ce sujet à l'occasion de ce congrès national HLM.
- Eh bien, des questions qui touchent le logement à loyer modéré, comme on l'appelle.
- Justement, Francisco Garcia Canelo, pour qu'on comprenne bien déjà, qu'est-ce qu'un HLM en termes de logements ? C'est 5,4 millions de logements, j'ai lu, qui concernent les Français.
- Est-ce que vous pouvez nous remettre un peu en mémoire déjà ce que c'est ? Écoutez, c'est une bonne question.
- C'est une bonne idée au départ.
- Et qui peut-être aujourd'hui devient une idée un peu compliquée à vivre pour certains de nos concitoyens.
- Donc effectivement, la question du logement social aujourd'hui est au départ une idée qui était de mettre à l'abri des gens.
- C'est ça le principe.
- Aujourd'hui, on peut considérer que ce sont même des gens qui ne sont plus à l'abri puisqu'ils sont peut-être en danger.
- Ça change. Donc on va dire qu'il y a un danger social.
- En danger par rapport à quoi ? Par rapport à des problèmes de sécurité, d'insalubrité, de rupture de parcours, notamment sur le déplacement vertical ? Oui, oui. On peut définir les choses comme ça.
- Et vous avez raison au début avec nos histoires d'engagement.
- Et je tiens à remercier aussi FF de nous avoir accueillis aujourd'hui aussi au salon.
- La question, c'est que tout doucement, on s'est rendu compte que cette question de rupture, elle n'était pas isolée en fait.
- On avait plutôt une chaîne de rupture.
- Et souvent, la première rupture qui était l'ascenseur ou la panne d'ascenseur, c'était des fois, on va dire, l'arbre qui cachait la forêt.
- Et aujourd'hui, ce qu'on a plutôt envie, c'est de préserver la forêt parce que là, c'est une question écologique.
- Mais sur les questions sociales, ce qu'on a plutôt envie, c'est que ces gens-là aujourd'hui vivent.
- C'est-à-dire apaisés et que ces ruptures-là disparaissent.
- Les HLM, finalement,...
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