Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, faut que ça change, Anthony Martin-Smith.
- Bienvenue sur Sud Radio en ce 27 décembre avec des moments en famille avec vos proches et puis Noël, Mathéo Lamblo, ça va ? Bonsoir Anthony, un léger indigestion.
- Ça va ? Trop de foie gras.
- Soir est difficile alors.
- Oui, c'est ça.
- Bon, avec vous, Salim Ejnaïni à distance. Bonsoir à vous.
- Bonsoir Anthony, bonsoir tout le monde.
- Vous aussi on dirait indigestion, voire même déconnexion totale.
- Total, oui, j'ai laissé le téléphone au placard, exactement.
- Bon, écoutez, tant que ça vous permet, vous n'êtes pas dans le placard quand même pour nous parler ? Je ne suis pas dans le placard, a priori.
- Non, ça a l'air d'aller simplement.
- Vous pouvez nous suivre sur sudradio.fr en DAB+, en voiture.
- Depuis le 18 décembre, on a déployé encore plus d'émetteurs en DAB+, en plus de l'AFM pour un meilleur son.
- Meilleure qualité sonore, évidemment.
- Il y a eu toujours de nouvelles.
- Vous nous écoutez, entre autres, au Havre.
- Hein, Mathéo ? Le Havre, ça vous parle ? On y était avec Joël Paris pour cette transat café-l'or dont on était partenaire avec Sud Radio.
- Vous avez une histoire, d'ailleurs, je crois.
- Ça restera en privé.
- Ça restera en privé, bien évidemment.
- Mais ça, c'est un clin d'œil de Noël à tous nos amis de la radio, d'ailleurs, que j'embrasse et que je salue, nos amis au web, nos amis à la réalisation et à la direction.
- Merci, en tout cas, pour toute cette année que vous nous avez permis de passer avec vous et puis nous permettre de parler.
- On va parler avec vous, mesdames et messieurs, sur sudradio, sudradio.fr pour retrouver l'intégralité des podcasts et puis également l'application mobile.
- Je salue Julien Delmas qui est à la réalisation.
- Hugo Duval avec vous qui revenait dans l'émission.
- Mais alors cette fois, pour quelque chose qui vous impacte très directement, on va en parler juste après.
- Bonsoir à vous.
- Bonsoir, Anthony.
- Bonsoir, tout le monde.
- J'espère que ça s'améliore la situation que vous allez nous décrire.
- Vous avez quand même passé de bonnes fêtes de Noël, j'espère.
- On va...
- On fait avec ? Oui, vous faites avec.
- Bon.
- Et puis, elle sera avec nous en deuxième partie de l'émission, mais elle est déjà dans le studio.
- Je vais la saluer.
- Elle s'appelle Fanny Cohen.
- Elle est directrice du Handilab.
- Bonsoir à vous.
- Bonsoir, Anthony.
- Bonsoir à tous.
- Alors, le Handilab, c'est un lieu un peu particulier, totalement inédit en Europe, très expérimental et à la fois très concret puisque vous accueillez, vous incubez des startups qui ont besoin de travailler, de créer de la cohésion, de travailler ensemble pour, eh bien, se mettre au service de l'accessibilité et de l'autonomie des personnes en situation de handicap.
- Vous me dites si j'ai dit une bêtise, mais...
- Oh, pas.
- Tout à fait.
- Ouais.
- Non, je suis un peu sûr de moi-même pour le coup.
- Mais vous ne me moquez pas, ça va.
- J'ai le droit d'être sûr de moi, non ? Vous avez eu une prétention à Noël.
- Bon, vous êtes déjà pris un jingle dans la figure, Mathéo ? Allez, c'est pour le moment.
- C'est pour le moment.
- Agissons ensemble pour une société plus juste.
- L'association APF France Handicap, présente Sud Radio.
- Faut que ça change la vraie vie.
- Et je salue le professionnalisme de Julien Delmas et sa réactivité.
- Merci, Julien, parce qu'il a été complice de ce jingle dans la figure.
- Alors, bon, plaisanterie mise à part.
- Maintenant, on arrive forcément dans cette séquence de l'émission qui n'est pas toujours très amusante.
- Et la situation qu'aujourd'hui, Hugo, vous allez nous raconter ne l'est pas du tout.
- Vous passez régulièrement dans l'émission, mais là, il s'agit de quelque chose de très personnel que vous avez, jusqu'à présent, toujours voulu garder pour vous.
- Mais là, vous en arrivez à un point où vous ne pouvez plus garder ça pour vous.
- Ça concerne votre femme ? Absolument, ça concerne Karine Duval.
- C'est ma moitié, c'est ma jambe droite, c'est mon amour.
- Et ça fait six ans que ça dure.
- Six ans où, justement, elle a voulu tout simplement reprendre son activité dans...
Transcription générée par IA