Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio, faut que ça change, Anthony Martin-Smith.
- Et oui, faut que ça change sur Sud Radio, normalement tous les samedis à partir de 20h30, mais exceptionnellement ce soir dimanche, parce que hier c'était le rugby.
- Vous savez, Sud Radio, c'est la radio du rugby, et puis vous restez bien évidemment connectés, parce qu'il y aura quand même du rugby ce soir sur Sud Radio.
- A mes côtés, autour de cette table, Mathéo Lamblot, bonsoir à vous.
- Bonsoir Anthony, bonsoir tout le monde.
- En deuxième partie d'émission, on va parler de quoi avec vous Mathéo ? On va parler de tandem et de maladies d'Alzheimer et maladies apparentées.
- Oh, ça promet. Antoine Dizzi, votre première dans cette émission, bonsoir à vous.
- Bonsoir Anthony, bonsoir tout le monde.
- Vous êtes de passage chez Sud Radio et on est très heureux de vous avoir avec vous.
- En première partie d'émission, dans la vraie vie, on va parler de quoi ? On va parler du coup de gueule d'un auditeur.
- Ça, j'ai hâte d'entendre.
- C'est, je crois, au sujet des propos de Madame la Ministre Charlotte Parmentier-Lecoq, ministre démissionnaire en charge de l'autonomie et des handicaps, qui la semaine dernière était à mon micro ici même.
- Et puis, quelqu'un qui revient.
- Didier Mauglet, bonsoir.
- Bonsoir Anthony, bonsoir tout le monde.
- Alors vous, vous travaillez dans le handicap, vous êtes notamment vice-président de la GFIP, mais vous êtes là surtout aujourd'hui pour vous-même et par vous-même.
- Et on est très heureux de vous avoir autour de cette table en tant que débatteur.
- Et bien, plaisir partagé.
- Et puis, en deuxième partie de l'émission, nous recevrons le directeur général de l'Union nationale de France Alzheimer et maladies apparentées, Benoît Durand, pardon pour son prénom, je ne voulais pas écorcher.
- Et puis, on démarre tout de suite, il faut que ça change.
- Et je salue évidemment mes réalisatrices, Louane et Daisy, qui sont bien ici pour nous accompagner.
- Allez, avec vous Antoine, Daisy, la vraie vie.
- Agissons ensemble pour une société plus juste.
- L'association APF France Handicap présente...
- Sud Radio, il faut que ça change, la vraie vie.
- La vraie vie, Antoine, Daisy.
- La semaine dernière, Charlotte Parmentier-Lecoq, ministre démissionnaire en charge de l'autonomie et du handicap, était mon invité.
- On a un auditeur qui, visiblement, avait un coup de gueule.
- C'est ça, aujourd'hui, dans la vraie vie.
- On va revenir sur les propos de la ministre démissionnaire chargée de l'autonomie et du handicap.
- Sébastien est avec nous, il est accompagnant d'élèves en situation de handicap, AESCH.
- AESH.
- AESH, pardon.
- Il nous a contactés car il souhaite avoir un droit de réponse aujourd'hui.
- Pour rappel, la semaine dernière, Madame la ministre avait déclaré ceci sur les AESH.
- Ils ont fini de recruter, mais c'est vrai que, même si leur nom a beaucoup, beaucoup, progressé, les besoins qu'on identifie sont aussi croissants.
- Donc, on court aussi un peu après le rattrapage de ces besoins.
- Et par ailleurs, c'est vraiment apporter des réponses du médico-social au sein de l'école.
- Bonjour Sébastien, merci d'être avec nous.
- Vous avez écrit une lettre ouverte au président de la République pour souligner l'urgence de l'agir.
- Concrètement, qu'est-ce qui, dans les propos de la ministre, vous a dérangé ? Bonsoir Sébastien.
- Bonsoir à toutes et à tous.
- Oui, tout à fait.
- Moi, ce qui me dérange, c'est...
- C'est vraiment d'entendre des personnes qui décident de certaines choses sans concerter vraiment les acteurs essentiels de l'école inclusive, qui sont les AESH, qui sont les parents, les associations, les enseignants.
- Et entendre des beaux discours, au bout d'un moment, il y en a vraiment marre.
- Alors que la réalité, c'est autre chose.
- Ce qui m'a vraiment adacé, c'est vraiment l'arrivée des PAS, les PAS, ce qu'on appelle les pôles d'appui à la scolarité.
- Alors, il y a 7 ans que je suis à l'ESH, dans les Landes.
- Et c'est vrai que, vous direz-vous-tu, il y a les piales qui sont...
- À votre accent, j'aurais dit que vous veniez du Nord.
- Ah, bon. Non, non, non.
- Il fait beau dans le sud, là, il fait chaud.
- Ah, mais vous avez bien de la chance, en tout cas.
- Donc, alors, pour reprendre...
- Excusez-moi.
- Non, il...
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