Retranscription des premières minutes :
- Sud Radio à votre service. Avec Fiducial, une offre globale de services proche des entreprises.
- Nous sommes en compagnie d'Emilie Gardin, directrice de Clean Up Service. Bonjour.
- Bonjour.
- Où vous situez-vous et en quelle année a été créé Clean Up Service ? Alors, on se situe à Sancourt, dans la Somme, dans les Hauts-de-France, et Clean Up Service a été créé en 1994.
- Donc, une entreprise trentenaire.
- Il y a un petit peu 30 ans. Exactement.
- Quelle est l'histoire de Clean Up Service ? Alors, Clean Up, en fait, ça part de mes beaux-parents, qui sont agriculteurs et qui ont acheté, il y a 30 ans, 5 cabines autonomes de toilettes.
- Et qui ont développé cette société de toilettes autonomes et mobiles, sans raccordement en eau ni électricité.
- Et puis, l'entreprise s'est développée. Maintenant, on est arrivé à à peu près 1 200 cabines.
- Ah oui, effectivement. Passer de 5 à 1 200, ça s'appelle une grosse progression.
- En 30 ans.
- En 30 ans, pardon, oui. Dans quel sceau géographique rayonnez-vous ? Alors, on rayonne du Nord-Pas-de-Calais, Picardie, Champagne-Ardennes, un petit peu de Seine-Maritime, bordure de région parisienne.
- On va, en fait, de Dunkerque à Paris, jusqu'à Trois-Rouens, si on veut.
- Schématisé.
- Cadrier. Voilà.
- Quels sont vos clients ? Alors, on a surtout des clients pour les festivités.
- Donc là, c'est la pleine période qui va commencer.
- Donc, pour les brocantes, pour les festivals, les mariages, les communions, les baptêmes, etc.
- Et puis aussi, on a tout ce qui est travaux publics, nos chantiers, etc.
- Et l'agroalimentaire.
- Tout ce qui touche à l'agriculture.
- Donc, les récoltes de pommes de terre, les vendanges, les salades.
- Tout ce qui nécessite d'avoir un WC à disposition.
- Est-ce que vous avez été fortement impactée par le Covid ? Alors, nous, on a dû continuer de faire nos tournées, puisqu'on était considérés comme essentiels.
- Puisqu'il y avait les entreprises, par exemple, les postes de garde dans les entreprises, qui étaient encore en fonctionnement, avaient besoin de tourner, d'avoir cette vidange régulière.
- Et puis, on avait des chauffeurs qui ont dû tourner pendant cette période.
- Et c'était particulier.
- C'est certainement un métier très réglementé.
- Nous, on est très réglementé, surtout au niveau de la récupération des effluents, des rejets.
- Et on a une importance particulière.
- Parce que l'histoire de la société est liée à l'agriculture, au monde agricole.
- Et du coup, on attache une importance pour la revalorisation des déchets, le traitement des déchets.
- Puisque tout est collecté et ensuite retraité pour être répandu dans les champs directement.
- Puisque nous, on est vraiment au cœur de la Picardie agricole.
- Donc, on valorise les déchets de cette manière.
- C'est un métier très concurrentiel ? Alors, on a un très gros concurrent national.
- Mais on arrive à avoir de bonnes retombées.
- Puisque vous voyez la progression.
- Il y a du travail pour tout le monde.
- Donc, on n'a pas de problème.
- Est-ce que c'est un métier très féminisé ou pas ? Alors, pour la location, la livraison des WC, on a une femme.
- On a des chauffeurs.
- Il y a neuf chauffeurs actuellement.
- Et on a une femme parmi nos chauffeurs.
- Donc, c'est ouvert à tout le monde.
- Il n'y a pas de soucis.
- Merci à vous, Émilie Gardin.
- Je rappelle que vous êtes directrice de Clean Up Service à 100 cours dans la Somme.
- .
Transcription générée par IA